En août 1972, juste entre les missions Apollo 16 et Apollo 17, une tempête solaire a eu lieu, émettant de dangereuses radiations. Sur Terre, nous sommes protégés par notre champ magnétique, formant la ceinture de Van Allen, mais dans l’espace, cela aurait été dangereux pour les astronautes.
La capacité de prévoir ce genre d’événements devient de plus en plus importante, alors que la NASA se prépare à envoyer la première femme et le prochain homme sur la Lune dans le cadre du programme Artemis. Les recherches en cours ont peut-être trouvé une nouvelle méthode fiable pour prédire cette activité solaire. L'activité du soleil augmente et diminue tous les 11 ans. Selon les prévisions pour le prochain cycle solaire, ce sera le plus faible des 200 dernières années. Le maximum de ce prochain cycle - mesuré en termes de nombre de taches solaires, une mesure standard du niveau d'activité solaire - pourrait être inférieur de 30 à 50% à celui du plus récent. Les résultats montrent que le prochain cycle débutera en 2020 et atteindra son maximum en 2025.
Les taches solaires sont des régions du Soleil dont les champs magnétiques sont des milliers de fois plus puissants que ceux de la Terre. Moins d’entre eux au point d’activité solaire maximale signifient moins de radiations dangereuses.
Tant les prévisions que l’amélioration de la capacité à faire de telles prévisions de la météo spatiale sont de bonnes nouvelles pour planifier des missions d’exploration humaine au cours de périodes de rayonnement plus faible, lorsque cela est possible.
La nouvelle recherche a été dirigée par Irina Kitiashvili, chercheuse au Bay Area Environmental Research Institute du centre de recherche Ames de la NASA, dans la Silicon Valley, en Californie. Elle combine les observations de deux missions spatiales de la NASA - l'Observatoire solaire et héliosphérique et l'Observatoire de la dynamique solaire - avec des données collectées depuis 1976 auprès de l'Observatoire national solaire au sol.
Un des défis pour les chercheurs qui travaillent à prédire les activités du Soleil est que les scientifiques ne comprennent pas complètement le fonctionnement interne de notre étoile. De plus, certains facteurs qui jouent au plus profond du Soleil ne peuvent être mesurés directement. Ils doivent être estimés à partir de mesures de phénomènes connexes sur la surface solaire, tels que les taches solaires.
La méthode de Kitiashvili diffère d’autres outils de prévision en termes de matière première pour ses prévisions. Auparavant, les chercheurs utilisaient le nombre de taches solaires pour représenter indirectement l'activité du champ magnétique solaire. La nouvelle approche tire parti des observations directes des champs magnétiques émergeant à la surface du Soleil - données qui n'existent que pour les quatre derniers cycles solaires.
Tant les prévisions que l’amélioration de la capacité à faire de telles prévisions de la météo spatiale sont de bonnes nouvelles pour planifier des missions d’exploration humaine au cours de périodes de rayonnement plus faible, lorsque cela est possible.
La nouvelle recherche a été dirigée par Irina Kitiashvili, chercheuse au Bay Area Environmental Research Institute du centre de recherche Ames de la NASA, dans la Silicon Valley, en Californie. Elle combine les observations de deux missions spatiales de la NASA - l'Observatoire solaire et héliosphérique et l'Observatoire de la dynamique solaire - avec des données collectées depuis 1976 auprès de l'Observatoire national solaire au sol.
Un des défis pour les chercheurs qui travaillent à prédire les activités du Soleil est que les scientifiques ne comprennent pas complètement le fonctionnement interne de notre étoile. De plus, certains facteurs qui jouent au plus profond du Soleil ne peuvent être mesurés directement. Ils doivent être estimés à partir de mesures de phénomènes connexes sur la surface solaire, tels que les taches solaires.
La méthode de Kitiashvili diffère d’autres outils de prévision en termes de matière première pour ses prévisions. Auparavant, les chercheurs utilisaient le nombre de taches solaires pour représenter indirectement l'activité du champ magnétique solaire. La nouvelle approche tire parti des observations directes des champs magnétiques émergeant à la surface du Soleil - données qui n'existent que pour les quatre derniers cycles solaires.
La combinaison mathématique des données provenant des trois sources d’observations du Soleil avec les estimations de son activité intérieure a généré une prévision conçue pour être plus fiable que l’utilisation de l’une quelconque de ces sources.
En 2008, les chercheurs ont utilisé cette méthode pour faire leurs prévisions, qui ont ensuite été mises à l’essai lors du déroulement du cycle solaire au cours de la dernière décennie. Il s’est bien comporté, l’intensité et le calendrier prévisionnels du maximum d’énergie solaire cadrant parfaitement avec la réalité.
Savoir comment le soleil se comportera peut fournir des informations nécessaires pour planifier les meilleurs moments pour les prochaines exploration dans les grands espaces. Cela nous permet également de protéger les technologies sur lesquelles nous comptons: missions satellitaires qui étudient l'univers depuis l'espace, atterrisseurs et rovers se dirigeant vers la Lune et Mars, et les satellites de télécommunication dans notre propre cour.
La NASA est chargée d'amener des astronautes américains sur la Lune au cours des cinq prochaines années avec un atterrissage au pôle Sud lunaire. Avec des prévisions météorologiques spatiales calmes pour la prochaine décennie, le moment est idéal.
Savoir comment le soleil se comportera peut fournir des informations nécessaires pour planifier les meilleurs moments pour les prochaines exploration dans les grands espaces. Cela nous permet également de protéger les technologies sur lesquelles nous comptons: missions satellitaires qui étudient l'univers depuis l'espace, atterrisseurs et rovers se dirigeant vers la Lune et Mars, et les satellites de télécommunication dans notre propre cour.
La NASA est chargée d'amener des astronautes américains sur la Lune au cours des cinq prochaines années avec un atterrissage au pôle Sud lunaire. Avec des prévisions météorologiques spatiales calmes pour la prochaine décennie, le moment est idéal.
LES SOLUTIONS APPLIQUÉES AU PROGRAMME APOLLO POUR PROTEGER LES ASTRAUNOTES.
D'après un compte rendu de la NASA (publication NASA SP-71 de 1964) et les informations se trouvant à l'intérieur (effets des radiations sur les matériaux, aussi bien que les interactions et le transport de radiations par ce vaisseau spatial, etc..). On démontrée que des études portant sur la protection, ont recherchées une protection raisonnable du vaisseau spatial et des astronautes de manière intensive. Un programme informatique a été utilisé pour calculer la dose que subit l'astronaute par rapport à l'efficacité de l'armature et de la géométrie structurelle du CSM : géométrie définie selon la description des dimensions et de la construction matérielle du vaisseau spatial.
Des paramètres détaillés de construction pour Apollo ont été achevés seulement après ces études préliminaires complètes et sur la mise à l'épreuve de la configuration géométrique du vaisseau spatial ont été complétées. La NASA et la NAA (le constructeur du vaisseau spatial Apollo) ont choisis un programme qui a divisé le vaisseau spatial en 370 régions, permettant la mesure critique de ces régions pour être mis en application dans la conception finale.
Un système complet de radioprotection a été mis en application pour Apollo, en raison de ces études. C'est d'abord une protection physique, constituée, d'une part par le scaphandre et de l'autre le revêtement de la cabine...
La géométrie du vaisseau ainsi que beaucoup de matériaux ont été étudiés lors de sa fabrication afin de réduire les doses d'irradiation. De plus, une répartition judicieuse de l'équipement, de l'appareillage et des réserves de bord ont d'ailleurs permis de renforcer cette défense.
Bien entendu, il n'est toutefois pas possible d'obtenir une protection uniforme, en raison de la structure même de la cabine et du fait que ses différentes parties peuvent se trouver plus au moins exposées. A titre d’illustration de ce manque d’homogénéité dans la protection, on citera les premières vingt-quatre heures du vol Apollo 8 durant lesquelles Borman et Anders absorbèrent des doses très différentes, les mesures respectives donnant 0,0004 et 0,002 gray (le gray mesure l’énergie apportée par les rayonnements et 1 gray est égal à 1 joule par kg). Ce faisant, les astronautes se dirigeant vers notre satellite naturel reçurent une dose globale de 25 à 35 millisievers (unité utilisée pour quantifier les effets biologiques des rayonnements et dérivée du gray), qu’ils purent supporter sans danger.
Il faut savoir que cette technologie comporte aussi, le système manuel de contrôle d'attitude (RCS) pour permettre aux astronautes de réorienter le vaisseau spatial, en interposant le module de service lourdement protégé (réservoirs de propergols, d'oxygène et d'hydrogène) entre eux et le rayonnement pénétrant des particules, du rayonnement X, émission solaire, et rayonnement ultra-violets, éruptions chromosphériques, champ magnétique et perturbations ionosphériques...
Un réseau (SPAN, Solar Particle Alert Network) de surveillance et d'avertissement (7 stations d'observation) est installé sur Terre et est prêt à alerter les astronautes des événements solaires imminents (ce qui ne se sont jamais produits).
A noter que dans des cas graves, on peut avoir recours à des moyens de protection chimiques. Les spécialistes ont en effet mis au point des produits pharmacologiques qui, comme l'on montré les expériences pratiquées sur des animaux, constituent une défense efficace contre les effets nocifs des radiations ionisantes.
Les organes hématopoïétiques sont des organes permettant la création et le renouvellement des cellules sanguines et sont chez l’adulte la moelle osseuse et le tissu lymphoïde (thymus, ganglions, rate et autres formations lymphoïdes). Ce sont des organes particulièrement sensibles aux rayonnements.
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