11 mars 2019

Pollution : comment elle nous amène au président Macron (3ème partie)


INTRODUCTION

Si nous sommes pris par les « élites » pour les imbéciles que nous sommes devenus, c’est à nous seuls qu’il appartient de ne pas le rester. Plus largement informés, nous pouvons tirer le meilleur des évènements, devenir plus forts et ainsi être en mesure d’aider ceux qui veulent progresser dans ce sens. Je m’efforce de contribuer à la prise de conscience du fait que si « tout va mal » autour de nous, c’est individuellement qu’il nous appartient de faire ce qu’il faut, pour que « tout aille mieux » collectivement. Le but de mes écrits n’est pas de vous faire peur, mais de vous préparer, car c’est en sachant les choses qu’on peut mieux les gérer. Je m’attache à avoir une réflexion factuelle, sur « un temps long » et à ne pas donner dans le catastrophisme, sans pour autant éluder les réalités « dérangeantes ». Les analyses que je vous propose étant l’expression de « ma vérité » au moment de leur rédaction, je vous donne l’accès à mes sources, afin que vous soyez en mesure d’avoir VOTRE appréciation, éventuellement différente des miennes et ainsi construire VOTRE vérité, la seule qui vaille à mes yeux.

Bonne lecture.

Chers amis lecteurs, vous connaissez bien ma pratique de « la parole tenue ». Nous allons donc ensemble terminer ce samedi, ma série de billets consacrée aux diverses formes de pollutions et à leur directe connexion avec les actions, ou l’inaction aux dires de certains, de notre président de la République.
 
Pollution financière

Cela peut paraitre curieux d’évoquer une pollution financière, et pourtant… Il faut d’abord comprendre et admettre que nous vivons dans un monde « fini ». En effet, pour le moment, l’humanité vie sur un globe appelé la Terre qui n’est, par définition, pas extensible. Au nom d’une « croissance économique infinie », et surtout pour « faire encore plus d’argent », nous saccageons les terres et les mers, puis nous dilapidons toutes leurs ressources fossiles qui, par nature, sont « finies ». Les désaccords des « Z ‘experts » quant à la date ou les réserves mondiales de pétrole vont commencer à diminuer, alimentent les polémiques qui permettent l’existence et la survie des « grands merdias ». Le simple bon sens voudrait que l’on active nos neurones afin de découvrir les manières d’utiliser des sources « naturelles » d’énergies, telles que le soleil, la mer, l’univers.

Chers amis lecteurs, soyons libres de penser, de rêver et d’agir en dehors « du système » et de la pensée unique, tel que le fit en son temps l’inventeur de génie, Nicolas TESLA. S’il est instructif de lire tous les ouvrages le concernant, je vous recommande tout particulièrement (et dans cet ordre), de lire : « Mes inventions » de Nicolas Tesla (139 pages passionnantes), puis « Au-delà de l’impossible » de Didier van Cauvelaert ( 303 pages enthousiasmantes). Vous comprendrez alors, très nombreuses preuves à l’appui, qui était vraiment le « génie TESLA », mais surtout, ce qu’il a voulu apporter à l’humanité : l’énergie électrique illimitée, libre et gratuite… Rien que ça !!! Mais alors, pourquoi ne l’a-t-il pas fait ? Simplement parce que « la puissance financière » l’en a empêché…

V’la ti pas que « pépère Hubert » nous fait le coup du complot des riches financiers qui sabordent toute forme de progrès !!! Que nenni mes amis, je vous dis que nenni… tiens, voilà que « je rime » encore !!! Victor Hugo, sors de mon corps .

Pour vous donner envie de lire les deux ouvrages que je viens de citer, regardez cette courte vidéo qui vous explique qu’un certain John Pierpont MORGAN a d’abord financé les travaux de Tesla pour mieux le contrôler et faire disparaître ses inventions. Pourquoi, me demanderez-vous ? Tout simplement du fait que si les inventions de « l’ami Nico » avaient été exploitées, l’électricité présente dans l’atmosphère aurait été distribuée à tous GRA TUI TE MENT… Autrement dit, toutes ces inventions représentaient le pire cauchemar d’un banquier : Ne pas pouvoir gagner BEAUCOUP d’argent. C’est qu’en son temps, John Pierpont, J P pour les intimes, était un grand financier dont je vous ai longuement expliqué le rôle dans la création de la FED, autrement dit, la banque centrale américaine. Elle est en réalité, une entité financière PRIVÉE, qui s’est arrogé le pouvoir d’émettre la monnaie du monde (le dollar) et de la vendre moyennant intérêts, aux états dont elle a corrompu les dirigeants pour les mettre au pouvoir. En tant que de besoin, je vous rappelle la phrase déjà citée dans mon billet titré « Macron président… et mon patrimoine ? ». Elle est de Mayer Amschel BAUER, fondateur de « la dynastie » ROTHSCHILD : « Donnez-moi le contrôle sur la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font ses lois ».

ROTHSCHILD ??? Ce nom me rappelle quelque chose… ou plutôt quelqu’un… Mais qui cela peut-il bien être ??? Mon petit doigt me dit que vous entrevoyez le cheminement de ma pensée. La pollution financière du monde par la « véritable fausse monnaie » qui inonde et dégrade tous les rouages de nos sociétés. Cette fausse monnaie qui n’a pour valeur que la confiance que nous avons en elle. Pour combien de temps encore ? Cette fausse monnaie émise par un groupe de banquiers privés avec « l’aimable complicité » des dirigeants politiques… Y compris des nô ô tres. Ils sont corrompus comme les zô ô tres !!!

Prenons l’exemple du financement de notre ex-président banquier ex-banquier président, dont une partie du financement de la campagne électorale reste à ce jour inexpliquée…. Ce même président qui à nommé une certaine Sylvie GOULARD comme ministre des armées… du 17 mai 2017 au 20 juin de cette même année (35 jours, c’est court) !!! Démissionnée démissionnaire pour cause de soupçons dans une affaire d’emplois fictifs… Ce n’est pas fini… Parallèlement à sa fonction de députée européenne de 2009 à 2017, elle a travaillé en tant que « conseiller spécial » pendant environ deux ans, d’octobre 2013 à janvier 2016, au sein de l’Institut Berggruen, un think tank américain situé en Californie, pour des revenus supérieurs à 10.000 euros mensuels brut !!!

Carrière politique terminée, pensez-vous logiquement ? Et bien non. En politique pas de logique… re rime . Là voilà « ressuscitée » le 17 janvier 2018 comme second sous-gouverneur de la Banque de France !!! Il faut dire qu’avec « son CV », elle avait tout du profil idéal pour ce poste.

C’est cette même Sylvie qui déclare dans la revue « Alchemist » d’octobre 2018 qu’elle va « mobiliser » le stock d’or en gestion à la Banque de France, pour garantir des « swaps or contre devise » (contrats d’échanges or contre des devises) et du « leasing d’or » (prêts d’or), avec comme partenaire… La banque J P Morgan !!! Pour les stocks de la Banque de France, l’incertitude demeure.

Bien évidemment, le monde de la banque présente cette opération comme positive pour la France. Mais… il y a danger de se retrouver à mettre les réserves d’or de la France en gage pour garantir des opérations financières. Le contrat avec la JP Morgan n’a pas été rendu public, et aucune commission du Sénat ou de l’Assemblée Nationale ne semble se pencher sur ce sujet épineux.

Vous voyez bien que « la pollution financière », voulue par notre cher très cher « Macron 1er », répond parfaitement à la définition du dictionnaire Larousse citée dans mon premier billet de ce triptyque. Pour mémoire : Pollution : Dégradation de l’environnement par des substances ou des nuisances diverses. Bien qu’elle puisse avoir une origine entièrement naturelle, elle est principalement liée aux activités humaines. CQFD.

Tel un prestidigitateur, notre « pollueur Macron » nous fait prendre des vessies pour des lanternes. C’est comme s’il arrivait à nous faire croire que par l’effet de sa seule volonté, un verre cassé se répare tout seul. Illusion. La vie, surtout politique, n’est qu’illusion .

Avant de passer au chapitre « Le dessous des cartes », je dois vous préciser que dans cette série de billets, j’ai volontairement fait l’impasse sur les effets de l’élévation de la température de notre planète dont nous voyons tous les jours les conséquences sur notre vie et celle des animaux. Attention cependant aux phénomènes dont nous ne percevons que les prémices. Mis en avant par certains scientifiques, contesté par d’autres, ce sujet fera ultérieurement l’objet de développements spécifiques de ma part.

LE DESSOUS DES CARTES

Pour ce qui est de la pollution engendrée par les dépôts sauvages des emballages en plastique, citée dans le premier volet de ce triptyque consacré à la pollution, nous sommes tous d’accord pour faire attention ou nous jetons ces résidus. Le faisons-nous tous, en permanence ? Il y a des associations qui se sont créées pour passer quelques heures par semaine à nettoyer les bords de rivières ou d’autres lieux, « Vacances propres » est l’une d’elles.

Le numéro du magazine de la chaine France 2, Cash investigation du 11 septembre 2018 titré « Plastique, la grande intox » nous apprend qu’elle est financée en grande partie par… Coca Cola, Cristalline, Danone… tous grands pourvoyeurs de déchets plastique !!! Est-ce que cela leur coûterait moins cher que de privilégier la recherche et le développement d’emballages recyclables ? Ceux-ci généreraient probablement un coût supplémentaire de leurs produits. Serions-nous prêts à accepter ce surcoût alors que par nos comportements quotidiens, nous privilégions « le moins cher » ?

Pollution chimique de l’usine du laboratoire pharmaceutique SANOFI de Mourenx, dans le bassin de Lacq en Pyrénées Atlantiques qui a fait l’objet de multiples plaintes. L’Association des riverains des sites industriels du bassin de Lacq (ARSIL) dénonçant que Sanofi émettait au printemps 2018, date des dernières mesures disponibles, jusqu’à 190 000 fois plus que le maximum autorisé d’une substance cancérogène et susceptible d’altérer la fécondité !!! Le traitement médiatique de cette information est totalement différent, selon qu’on lit Médiapart ou que l’on regarde la chaine France info !!! Notre monde politique est à ce jour incapable d’arbitrer du côté de la santé des populations vivant aux alentours de ce type d’usine, face « au poids » que représente le double chantage du lobby des laboratoires pharmaceutiques. D’un côté : « Nous sommes créateurs d’emplois locaux » et de l’autre, l’arme très trop fréquemment employée des pénuries de médicaments.

L’explication est simple, tous les lobbys ont pour objectif de faire prévaloir leurs intérêts financiers y compris par la corruption du monde politique (plus ou moins généralisée). Ils sont un des « bras armés » de l’oligarchie mondialiste dont je vous ai, dans 26 billets à ce jour, informé de l’existence et des moyens d’action. Comment, dès lors s’étonner qu’une des revendications du peuple, actuellement portée par le mouvement dit « des gilets jaunes », si peu mal médiatisé, soit de changer « tout le système politique » actuel ?

Pollution lumineuse dénoncée par l’Association Nationale pour la Protection du Ciel et de l’Environnement Nocturnes (ANPCEN) qui regrette que le nombre de points lumineux ait augmenté de 89 % depuis 20 ans. Que la quantité de lumière émise la nuit par les éclairages publics ait bondi de 94 %. Beaucoup moins médiatisée, la pollution lumineuse est pourtant toute aussi importante avec des conséquences néfastes pour la biodiversité, le climat, mais aussi la santé. Les visites des pollinisateurs nocturnes baissent de 63 % sur les sites éclairés artificiellement en comparaison de sites non illuminés et la production de fruits diminue de 13 % sur une espèce végétale lorsqu’elle est exposée à trop de lumière. Une équipe de chercheurs de l’Université de Berne et du Centre d’écologie et des sciences de la conservation de Paris a publié une étude dans la revue « Nature » qui démontre que les insectes nocturnes comme les papillons ou les coléoptères sont gênés dans leurs activités par la pollution lumineuse.

Le saviez-vous ?… Pourtant, nul n’est censé ignorer la loi !!! L’article 2 de L’arrêté DEVP1301594A du 25 janvier 2013 dispose : « Les éclairages intérieurs de locaux à usage professionnel sont éteints une heure après la fin de l’occupation de ces locaux. Les illuminations des façades des bâtiments sont éteintes au plus tard à 1 heure. Les éclairages des vitrines de magasins de commerce ou d’exposition sont éteints au plus tard à 1 heure ou une heure après la fin de l’occupation de ces locaux si celle-ci intervient plus tardivement ». Il suffit de se promener après 1 heure du matin dans les rues des grandes agglomérations pour constater que si la loi ne doit pas être ignorée… elle n’est pas beaucoup appliquée !!!

Voici maintenant une magnifique occasion de nous impliquer et mettre en pratique l’action proposée au début de ce billet : « c’est individuellement qu’il nous appartient de faire ce qu’il faut, pour que « tout aille mieux » collectivement ».

Cet article 2 de l’arrêté que je viens de citer… a été abrogé et remplacé par l’arrêté TREP1831126A du 27 décembre 2018. Il reprend peu ou prou des dispositions de l’ancien arrêté en ajoutant quelques détails techniques dont l’angle que doivent respecter les lampadaires, la température de couleur des luminaires (notion que j’ai développée dans le premier billet de ce triptyque), leur puissance, leur flux lumineux… Mais, tenez-vous bien… Cet arrêté, pas plus que le précédent, ne prévoit de sanction en cas de non-application de la réglementation !!!

Y en a marre du « travail de nul » de nos « pisse texte »… Pardonnez ma trivialité, mais à l’époque du pôôôôlitiquement correct et de la novlangue, ça fait du bien de « parler vrai » pour exprimer sa révolte. Voilà, c’est dit écrit. Pour vous montrer à quel point je vous aime et pour me faire pardonner cet élan de mauvaise humeur, ma prochaine phrase va être mieux construite, rien que pour vous faire plaisir : maintenant je reprends, un peu plus calmement.

Le législateur, autrement dit les sénateurs et députés que NOUS élisons, trouve « normal » de concevoir un texte qui encadre l’éclairage extérieur, sans prévoir des mesures contraignantes si le résultat escompté n’est pas atteint !!! De deux choses l’une. Ou bien ces dispositions ont une utilité et dans ce cas il faut se donner les moyens de les faire respecter. Ou bien ce texte ne sert à rien et dans ce cas, pourquoi perdre du temps à l’élaborer ? Tout cela relève du plus élémentaire bon sens et c’est à nous de le rappeler aux personnes que NOUS élisons.

Comme je vous y ai déjà invité, notamment dans mon billet du 14 juillet 2018, c’est le moment d’agir auprès de vos parlementaires, car ce sont eux qui peuvent changer la loi pour la rendre efficace. Il suffit de vous connecter aux sites Internet qui recensent leurs présences et leurs travaux, pour les interpeller et les inciter à « faire correctement le boulot ». Pour les députés, c’est ici et pour les sénateurs, c’est là. Vous voyez comme c’est simple de faire bouger les choses.

OUI NOUS LE POU VONS. Je tiens à préciser ici que le devenu célèbre « Yes we can » de Barak OBAMA, n’est qu’une « reprise » du cri de ralliement lancé en 1972 par César CHAVEZ, un syndicaliste latino dans le cadre de sa lutte pour défendre le droit de grève des ouvriers agricoles en Arizona. « Si se puede ». Cela sonne beaucoup mieux à l’oreille et au cœur de l’Andalou d’adoption que je suis devenu.

Voici maintenant une parfaite illustration de « la langue de bois » de notre président pour ce qui est du rapport entre la pollution, l’écologie et l’argent. Dans le cadre du « grand débat national », la « réunion Marathon » qui s’est déroulé à Gréoux les bains, dans les Alpes-de-Haute-Provence le jeudi 7 mars 2019, a duré 5 heures 30 minutes et 54 secondes. Le président est interrogé en ces termes par le jeune Charly, du collège Saint André des Alpes (dans la vidéo, entre 1h 11mn 34’’ et 1h 12mn 20’’) :

« Qu’est-ce que vous entendez par écologie, alors qu’encore aujourd’hui des usines peuvent déverser leurs déchets dans la mer, les pesticides polluent nos sols et donc notre alimentation, que 20.000 tonnes de déchets électroniques en Europe sont envoyées au Nigeria et les plastiques envahissent nos océans et notre planète. Quand est-ce que vous allez réagir ? Vous en avez le pouvoir. Et une dernière question monsieur : Puisque c’est l’argent qui nous a amenés à négliger l’écologie, pensez-vous qu’on pourra acheter une nouvelle planète avec de l’argent ? ».

La question me semble clairement posée. La réponse présidentielle reste très vague et philosophique. Précampagne électorale pour les élections européennes oblige…(dans la vidéo, entre 2h 16mn 15’’ et 2 h 16 mn 37’’) :

« Il y aura toujours de l’argent dans une société, mais l’argent il ne faut ni le détester ni l’adorer. Il faut l’utiliser pour ce qu’il est, c’est-à-dire être un moyen pour faire les choses ».

Bien évidemment, toute la différence se fait sur le montant et sur son affectation !!!

COMMENT CELA PEUT M’ENRICHIR

Vous comprenez bien, chers lecteurs, que je NOUS incite à NOUS engager pleinement et à prendre encore plus, toujours plus, nos RES PON SA BI LI TÉS. Il nous faut aussi garder tout notre bon sens, c’est notre plus grande richesse et elle est inépuisable. Voyons ensemble quelques exemples :

Une approche « administrative » : Dans une commune du nord de la Chine, les autorités ont fait construire une tour de béton de 100 mètres de haut. A sa base, une gigantesque « serre » dont la surface fait plus de 3 500 m2, soit la moitié d’un terrain de football. Son rôle ? Chauffer l’air qui entre dans l’édifice afin qu’il gravisse naturellement la tour et passe par une série de filtres emprisonnant les particules indésirables. Selon des scientifiques, toute particule d’un diamètre inférieur à 2,5 microns est capturée (notamment les nitrates et les anhydrides sulfureux). Cette gigantesque « usine à gaz », c’est vraiment le cas de le dire, … Pour « purifier » 10 millions de mètres cubes d’air par jour !!!

Une approche « de bon sens » : En Australie comme partout ailleurs, les collecteurs d’eaux pluviales charrient de nombreux déchets et les rejettent dans la mer. Pour minorer grandement cette pollution des océans, les autorités ont pensé qu’équiper la sortie des collecteurs d’eaux pluviales d’immenses filets, était efficace et peu onéreux. CQFD.


Nous sommes tous partagés entre « utilité et nuisance » concernant les dizaines de courriels que nous recevons chaque jour et auxquels « il faut » répondre quasi immédiatement !!! Connaissez-vous ATOS ORIGIN ? C’est une des plus grandes sociétés françaises de services du numérique qui est dirigée par Thierry BRETON. Ex-ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie de février 2005 à mai 2007, c’est surtout un enseignant et un spécialiste des technologies de l’informatique. Classé en 2017 et 2018 parmi les 100 patrons les plus performants du monde, c’est sans aucun doute une personnalité hors du commun.

Preuve en est qu’il a eu en février 2001, « l’idée saugrenue » de l’interdiction du courrier électronique dans l’entreprise. Son objectif étant qu’Atos devienne une entreprise « zéro email » sous trois ans. À la place, l’entreprise a construit un réseau social interne, organisé autour des 7500 communautés ouvertes représentant les différents projets nécessitant une collaboration. Au lieu que les employés soient interrompus dans leur travail par les carillons des nouveaux emails reçus, ils choisissent de participer à la discussion selon leurs besoins, leurs envies et leurs disponibilités.

Bien qu’Atos n’ait pas encore totalement éliminé les courriels, ses efforts portent leurs fruits : le volume d’emails a diminué de 60%, passant d’une moyenne de cent par semaine par employé à moins de quarante. La marge opérationnelle d’Atos est passée de 6,5% à 7,5% en 2013, le bénéfice par action a augmenté de plus de 50% et les frais administratifs ont baissé de 13% à 10%.

Pourquoi ne pas suivre ce bel exemple de « dépollution d’Emails », puisqu’il donne de multiples résultats positifs ?

Cette lutte contre les pollutions doit s’effectuer dans les autres aspects de notre vie et notamment, en matière patrimoniale. N’avez-vous pas le sentiment d’une continuelle augmentation des frais, « divers Zé avariés », comme aurait dit le regretté Coluche, qui viennent polluer la tranquillité et le repos des liquidités que nous avons, en toute confiance, mises bien au chaud chez nos chers banquiers ? Absurde autant que ruineuse stratégie que celle de « placer » ses liquidités, qui sur un livret A, ou un compte de dépôt, un compte épargne logement (CEL), un compte à terme ou pire, les laisser « inertes » sur son ou ses comptes à vue. Les effets de l’inflation, pas l’officielle, mais la réelle, celle que nous constatons journellement en remplissant nos filets à provisions… (sacs en coton bien sûr, pour ne plus polluer les océans avec le plastique) sont mortifères pour nos « Zéconomies ». De même, les divers frais bancaires ont pour conséquence notre appauvrissement, qui certes est peu visible, mais est bien réel. Pourtant, comme ont déjà pu le constater une partie de mes clients, il est possible de sécuriser nos liquidités pour les mettre hors d’atteinte des nombreuses « pollutions bancaires »…

Chers amis lecteurs, prenez bien soin de vous. Je vous aime et vous salue.

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