L’ancien dirigeant de l’EDL, la Ligue de Défense Anglaise (« English Defence League »), suivi par des centaines de milliers de personnes sur YouTube (et banni de Facebook, Twitter et Instragram), Tommy Robinson, doit en effet être de nouveau jugé pour « outrage au tribunal » en raison d’une vidéo amateur qu’il a tourné devant un tribunal et diffusé sur les réseaux sociaux, en marge d’un procès criminel, afin de dénoncer les exactions des gangs de violeurs et de pédophiles pakistanais, qui sévissent au Royaume-Uni, parfois dans le silence au nom du politiquement correct, depuis des années. Son crime ? Avoir voulu filmer, pour les dénoncer, 4 pakistanais condamnés par la suite pour le viol collectif d’une adolescente.
Il a déjà effectué 13 mois de prison pour cela. Mais le procureur général, Geoffrey Cox, qui a étrangement mis 5 mois pour se décider, a déclaré qu’il était dans l’intérêt public d’intenter d’autres poursuites contre le journaliste dissident, dont le vrai nom est Stephen Yaxley-Lennon. La première audience dans cette affaire doit avoir lieu à la Haute Cour de Londres le 22 mars. En le condamnant de nouveau, la justice anglaise pourrait le condamner tout simplement à mort : durant ses précédentes détentions, il a plusieurs fois été attaqué par des gangs de musulmans radicaux voulant sa mort en raison de son engagement politique.
Dans une vidéo, Tommy Robinson appelle les Britanniques à venir le soutenir massivement, devant le Palais de justice, le 22 mars prochain. Il voit dans ce procès « la persécution d’un journaliste qui dénonce le gouvernement et l’establishment. Avec le soutien du public britannique, je vais contester cette décision. Je suis innocent. Je n’ai enfreint aucune loi. »
À noter que la presse anglaise, aux ordres (de qui ?), n’a à aucun moment soutenu Tommy Robinson – et a même essayé de lui causer du tord, comme ce journaliste mal intentionné de la BBC qui s’est fait piégé. À l’heure actuelle, Tommy Robinson se retrouve menacé et traqué par l’extrême gauche, certains « antifas » ayant même menacé sa femme et ses enfants, par les islamistes radicaux, et donc… par la justice anglaise.
Dans le silence complice le plus total, de ceux qui par ailleurs n’ont de cesse de dénoncer ici ou là les régimes autoritaires, les atteintes à la liberté de la presse, au droit de manifester, à la liberté d’opinion…
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