16 février 2019

« Qui sera le roi de ce monde sans cash ?»


La « experts » du système prônent la suppression du cash, au nom de la transparence et de la lutte contre l’argent sale.

La raison est certes fallacieuse, mais les grands médias la promeuvent.

Il suffit de répéter une fausse info à l’infini pour qu’elle devienne vérité. C’est le principe de la propagande.

Parallèlement à un rabâchage de fake news, certaines vraies news ne doivent pas être trop sues. Par exemple: comment les centaines de milliards de la mafia globalisée sont intégrés annuellement dans le circuit de la haute finance.

L’élite de la haute puissance a dans les faits décidé de vous avoir à l’oeil, et de manière permanente. La suppression du cash vous soumet au regard du Big Brother en permanence.

Dans les faits, une méga alliance qui regroupe des gouvernements, des entreprises et des fondations globales a vu le jour. Better than cash alliance fut fondée par Bill& Melinda Gates Foundation (parmi les principaux promoteurs et sponsors avec la Citi et Omidyar net.), Citibank, Mastercard, Omidyar Network de Pierre Omidyar du fondateur de eBay, USAID et Visa Inc. Une série d’organisations internationales en sont membres. On y compte la Catholic Relief Services, Care, la World Food Program, World Savings Banks Institute (Institut de l’épargne bancaire mondiale), ou la Clinton Development Initiative… 
(Extrait de Dépossession)

Voici une autre étape pour vous happer dans le circuit de la gigantesque machine informationnelle. La reconnaissance faciale que la même équipe est en train de vous imposer. Se voulant des démocrates, l’équipe prétend que la biométrie est plébiscitée par les clients… Un grand mensonge bien sûr. (cf article ci-dessous)

Mais alors quel avenir pour les libertés individuelles? Aucun. Vous êtes en cours de devenir une marchandise comme une autre, et votre traçabilité est requise. Comme pour les autres biens… Et une marchandise ne dispose pas de libertés.

Au fait, inutile de chercher à en débattre dans les médias, détenus par la même équipe qui joue aux maîtres de l’humanité.

La reconnaissance faciale pour retirer de l’argent, première mondiale signée CaixaBank
Par Delphine Cuny

Caixa Bank a travaillé avec Fujitsu et la startup espagnole FacePhi pour élaborer son dispositif de reconnaissance faciale intégré au distributeur automatique de billets. La première banque de détail espagnole, CaixaBank, propose de remplacer les codes par de l’authentification vidéo aux distributeurs de billets. Le dispositif, présenté comme une première mondiale et installé dans quatre premières agences à Barcelone, sera déployé plus largement au cours du second semestre.

Et si retirer de l’argent était aussi simple qu’un selfie ? La première banque de détail espagnole, CaixaBank, a dévoilé jeudi 14 février un nouveau dispositif dans ses distributeurs automatiques de billets qui permet de s’authentifier par la technologie de reconnaissance faciale, par le biais d’une caméra intégrée dans l’automate et d’un écran de contrôle, en lieu et place du traditionnel code personnel. « CaixaBank devient la première institution financière au monde à offrir à ses clients la possibilité d’utiliser la reconnaissance faciale pour retirer de l’argent des guichets automatiques, sans avoir à saisir leur code PIN », s’est targuée la banque catalane.

Ce dispositif « révolutionnaire » est installé dans 20 terminaux de quatre premières agences à Barcelone et sera déployé plus largement au cours du second semestre. CaixaBank a travaillé avec Fujitsu et la startup espagnole FacePhi pour élaborer son dispositif de reconnaissance faciale intégré au distributeur automatique de billets.

« L’automate dispose du matériel et des logiciels nécessaires pour valider jusqu’à 16.000 points sur l’image du visage de l’utilisateur, ce qui garantit une identification totalement sécurisée », explique la banque dans un communiqué.

Il suffit de s’enregistrer au préalable une première fois, en quelques minutes, sur la tablette d’un conseiller en agence. Il faut tout de même présenter au distributeur sa carte ou son smartphone ou sa montre connectée puis montrer son visage à la caméra et donner un signe de vie (pour éviter les tentatives d’arnaque à la photo). Les clients qui le souhaitent pourront choisir de continuer à taper leur code.

La biométrie plébiscitée par les clients

La banque espagnole indique avoir sondé de « vrais clients » avant de se lancer afin de déterminer le degré d’acceptation de l’identification par reconnaissance faciale : 70% des répondants ont dit être prêts à l’utiliser comme alternative à la saisie de leur code d’identification personnel sur un clavier.

« Parmi les avantages mentionnés par les utilisateurs, les répondants ont souligné le sentiment de sécurité associé à la reconnaissance faciale (66% des participants l’ont mentionnée), la commodité (importante pour 19% des répondants) et la rapidité (soulignée par 15% des clients) » rapporte CaixaBank.

Se prévalant d’être « leader dans la digitalisation bancaire », le groupe espagnol rappelle qu’il avait été pionnier dans la biométrie en étant la première banque en Espagne à incorporer la technologie Face ID de l’iPhone X au lancement de ce dernier en 2017, permettant à ses clients possédant ce smartphone d’accéder à leurs comptes sans saisir leurs identifiants et mots de passe.

« Le leadership technologique nous permet de fournir un meilleur service à nos clients, plus proche et plus spécialisé », a commenté le directeur général de CaixaBank, Gonzalo Gortázar.

L’ex-caisse d’épargne mène actuellement une profonde restructuration de son réseau et souhaite développer son modèle d’agence « Store », plus grande et plus moderne, en zones urbaines.

En Chine, pays friand de biométrie, Agricultural Bank of China avait commencé à déployer en 2017 la reconnaissance faciale aux distributeurs mais il fallait tout de même entrer un code ou un numéro de téléphone pour s’identifier, sans introduire sa carte. Sur un autre registre, sans recours à la biométrie, la Caisse d’Epargne avait lancé en France en 2016 le retrait de dépannage par SMS sans utiliser sa carte au distributeur.
 
Jacob de Geer sur le site du World Economic Forum  

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