
« On ne peut pas faire la politique de l’autruche » et « avoir peur des débats n’a jamais permis de faire avancer les sujets », justifiait jeudi le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux.
(…) Mais le Premier ministre ne semble pas exactement sur cette longueur d’onde. A deux reprises, Edouard Philippe a parlé de quatre thèmes – et non de cinq – pour le débat à venir.
SOS Racisme avait été le premier à tirer la sonnette d’alarme, mettant en garde contre « toute tentative consistant à jeter les immigrés en pâture des frustrations sociales » ou d’en faire des « boucs émissaires ».
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