Plus profondément, le mouvement maçon compose à mon sens des cercles de spiritualité non religieuse dont les préoccupations humanistes et les interrogations face au mystère de la vie ne sont pas sans faire écho à ma foi et à mon engagement chrétien. Au regard du fait religieux, c'est une spiritualité d'action, engagée dans son temps, où la contemplation n'a pas une place centrale ; je n'imagine pas par exemple un maçonnisme monacal. Cependant, comme les Églises, la maçonnerie développe un sentiment d'appartenance communautaire, facteur d'identité et de solidarité. Comme les Églises et comme la République, elle prône la fraternité.
Au vu de ce ressenti, l'influence de la franc-maçonnerie ne me paraît ni plus, ni moins importante que celle d'autres fortes communautés de pensée de notre pays qui s'impliquent dans la vie sociale. Il ne faut pas fantasmer à partir du halo de secret qui entoure le mouvement maçon. Pour le vote des lois, il n'y a pas de "bloc maçon". Il y a répartition, d'ailleurs à peu près égalitaire à mon avis, entre la droite et la gauche."
Ce politique débonnaire nous prendrait-il pour des bisounours ?
Attention : en cas de départ de Macron, on donnera à ce dinosaure, homme du passé et sous forte influence idéologique, les rennes de la France.
On prendrait les mêmes pour recommencer ?
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