"Ils étaient dans une folie furieuse"
À l'intérieur, le gérant est retranché. Il sort son Flash-ball et tire. Une première fois, puis une deuxième. Le groupe d'assaillants se disperse, et la police arrive sur les lieux. "Je leur ai dit plusieurs fois 'je suis armé, je suis armé !' Mais ils étaient dans une folie furieuse", témoigne le bijoutier, visiblement ému. Avant d'ajouter : "Sans mon Flash-ball, ça tournait au massacre". Si cette arme est en ventre libre, elle est soumise à une déclaration. Le bijoutier, qui a depuis porté plainte, invoque la légitime défense. Plusieurs casseurs ont été arrêtés.
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