09 décembre 2018

Gilets jaunes : Les cocus sortent du placard


« Est-il bien opportun, en plein génocide par substitution, de lancer une révolution sociale ? En plein désastre écologique, de lancer une révolte antiécologique ? En plein effondrement des comptes, de lancer un programme de dépenses ? Ce qui ruine la France, c’est le Grand Remplacement. »
(Renaud Camus)

Rien n’est opportun que ce qui ne compte pas vraiment. Les Gilets jaunes n’ont rien à faire de l’écologie, ils puent et ils font du bruit. Ce sont des ploucs, indiscutablement. En plus, je suis sûr qu’ils écoutent Johnny, ces cons !

Ils ne sont pas opportuns, non. Ils arrivent au mauvais moment. La planète n’en peut plus, le Pacte de Marrakech est à portée de signature, il fait froid, il fait moche, les caisses sont vides, et le Grand Remplacement bat son plein. On n’est jamais opportun quand on n’en peut plus, quand trop c’est trop, quand on a faim et froid et qu’on s’inquiète pour sa subsistance. Pourquoi maintenant, leur disent ceux qui ont le ventre plein et des revenus assurés ? Ce n’est pas le bon moment ! Cette taxe, c’est vraiment rien du tout ! Bien sûr que ce n’est rien du tout, cette taxe, mais quand tu n’as plus rien dans ton porte-monnaie, tu n’as plus rien. (Ça vous est déjà arrivé, de reposer vos courses à la caisse, parce que vous vous rendez compte que vous ne pouvez pas ?)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.