Voici le contexte autour duquel s’organise le concours (avec des prix à 1 000€ pour les deux gagnants) :
« Pour gagner la bataille de l’insertion et de l’intégration, nous devons également lutter contre les idées reçues, les peurs inappropriées, les mensonges, les « infox » comme il convient de dire désormais. Chacun le fait à son niveau. Mais nous avons voulu proposer à des étudiants en communication, design graphique, photographie, audiovisuel, multimédia, arts appliqués et arts plastiques de nous faire profiter de leur intelligence et de leur créativité et ainsi de servir cette grande cause humaniste, afin que leur regard neuf, leur dynamisme nourrissent une communication institutionnelle, parfois un peu trop institutionnelle. À travers ce concours, ces futurs professionnels pourront mettre tout leur talent au service d’une grande cause : la lutte contre les préjugés sur les réfugiés. »
Pourquoi ce concours pour les migrants ?
On vous laisse découvrir :
« Les organisateurs, institutionnels et associatifs, ont souhaité croiser leurs approches sur la question, pour ouvrir une voie supplémentaire à la déconstruction des préjugés négatifs et par là même à une meilleure reconnaissance de l’humanité des personnes réfugiées, pour faciliter et promouvoir leur insertion dans notre société.
En associant les étudiants à cet objectif, les organisateurs font le pari de la créativité et de l’œil nouveau sur un problème – le rejet de l’autre, de l’inconnu – pourtant ancien et trop souvent répété au cours de l’histoire. Les étudiants devront puiser dans leurs ressources créatives pour sensibiliser le grand public et changer les regards en faveur de cette grande cause d’intérêt général. »
Si le concours vise principalement à sensibiliser le public sur les réfugiés, les organisateurs le concèdent, le projet a des visées bien plus globalisantes :
« On distinguera donc les réfugiés statutaires des migrants économiques, des expatriés, des étudiants étrangers, ou de toute personne étrangère qui fait le choix de s’installer en France. Notons que la situation de ces derniers, qui ne sont pas l’objet premier de ce concours, bénéficiera cependant par effet de synergie de l’apport positif d’un tel projet. »
L’objectif ? « Convaincre nos concitoyens de l’opportunité réciproque que constitue l’accueil de personnes réfugiées dans notre pays ». Le public ciblé ? « Toute personne a priori hostile ou réticente à l’accueil de réfugiés en France. »
Lire l’article entier sur breizh-info.com
Voici trois vidéos qui vous donneront une idée des missions de la DIAIR et de la DIHAL, qui fonctionnent évidemment avec notre argent.
La DIAIR, c’est son site qui en parle le mieux :
« Annoncé à l’été 2017 dans le plan d’action pour garantir le droit d’asile et mieux maîtriser les flux migratoires, un délégué interministériel chargé de l’accueil et de l’intégration des réfugiés a été institué auprès du ministre de l’Intérieur. Celui-ci a pour mission de participer à la définition et à l’animation de la politique d’accueil et d’intégration des réfugiés. »
La DIHAL s’occupe théoriquement de l’accès au logement des personnes sans abri de notre pays, mais on dirait que la mission a été étendue aux migrants :
Alain Régnier, préfet nommé Délégué interministériel chargé de l’accueil et de l’intégration des réfugiés en conseil des ministres du 24 janvier 2018, lance le 20 juin 2018 la Journée mondiale des réfugiés :
Ce sont ces gens-là, ces officiels, qui ouvrent les portes de la France à des clandestins pour lesquels ils disposent d’un budget, d’appartements et d’emplois. Tout ce qui manque au peuple français.
Moralité : on n’a pas fini de voir des Gilets jaunes en colère (pléonasme) !
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