14 novembre 2018

L'Angleterre refuse de rendre l'or du Venezuela


Voici un nouveau volet (voir plus bas Ctrl-F Maduro) qui illustre le livre 666 consacré au vol de l'or par les gouvernements, en particulier américain. Maduro, président d'un pays nommé Vénézuela, a fait savoir via le gouverneur de sa Banque Centrale au gouverneur de la Bank of England qu'il voulait récupérer une partie de l'or de son pays qui, pour une raison qui nous dépasse, était toujours stocké à Londres.

Le gouverneur anglais lui a répondu qu'il ne lui rendrait pas ses 14 tonnes, soit 550 millions de dollars, car les Etats-Unis ont mis son pays sur la "liste noire" depuis quelques jours...

Il fallait oser !

........... (respiration et reprise de souffle)

Ceci vous confirme à 100% le livre 666 et cette revue de presse: la banque a expliqué (entre autres) qu'elle craignait que Mr Maduro ne se l'approprie à des fins... personnelles.

Wouaaaou ! Là aussi il faut oser. Mais regardez bien la raison fallacieuse:

"The Bank of England has sought to clarify what Venezuela wants to do with the gold, one of the officials said. Venezuela’s central bank did not respond to a request for comment. The Bank of England declined to comment. The plan has been held up for nearly two months due to difficulty in obtaining insurance for the shipment, needed to move a large gold cargo, one of the officials said. “They are still trying to find insurance coverage, because the costs are high,” the official said".


On se demande comment Chavez avait réussi à ramener ses 160 tonnes voici 6 ans... Bref, dès que vous n'êtes pas d'accord avec les Etats-Unis, vous êtes mis au ban de l'Humanité et tous vos biens saisis, même si vous êtes une entité intemporelle comme un pays. Il faut dire que Maduro a interdit l'usage du dollar US dans ses devises et préconise l'usage de l'euro, du yuan et du rouble, en plus du troc et des paiements en or.

Notez au passage que même s'il récupère ces 14 tonnes, Maduro devra les hypothéquer aussitôt pour obtenir des prêts en devises, le bolivar local ne valent même pas une feuille de papier toilette. Et ce sera une banque occidentale qui va les récupérer. Lire ici Reuters et ici The Tmes pour le croire.

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