"Nous sommes sur la bonne voie, nous garderons la même trajectoire" , affirme leur comparse François de Rugy.
Le soir du 17 novembre, l’ambiance au diner à l’Elysée ne fut pas bonne. Quand on fut énarque et inspecteur des finances, on n’aime pas s’entendre dire qu’on ne sait pas gérer le pays, surtout par ces « fumeurs de clopes qui roulent au diesel » que sont les Gilets Jaunes, comme dit Ben Gamin Grivaux.
Le Winner de la start-up française, quelques jours plus tôt, faisait fuir Poutine arrivé en retard aux Champs Elysées et parti avant la fin de la cérémonie parce que lassé d’écouter les bullshits de Macron. Il insultait Trump en le qualifiant d’ennemi peu avant son arrivée, puis en lui imposant sous le nez une pétasse spécialement importée des Etats-Unis où elle s’est rendue célèbre en chantant « Trump est un tyran, Trump est un salaud« . Pour finir, il humiliait le président serbe (dont le pays a donné 1,2 million de morts pour la France en 14-18) en le reléguant dans une tribune secondaire, alors qu’il mettait le musulman mafieux président du Kosovo au premier rang de la tribune officielle.
Le voilà transformé en loser par une bande inorganisée de Gilets Jaunes incapables de comprendre que s’il les réduit à la misère par des rafales de taxes (1), « c’est pour leur bien ». Alors qu’en réalité, le plan européo-mondialiste de Macron est bien d’éradiquer la classe moyenne pour n’avoir plus que deux classes, une super-élite immensément riche au sommet, et un peuple pauvre et soumis en bas.
Cela dit, il ne fait que poursuivre la politique de tous les gouvernements socialistes précédents avec l’échec économique qui en découle, l’incapacité à développer la prospérité du peuple français par des taux de croissance honorables.
Le tableau Eurostat ci-dessous montre que les peuples qui ont expérimenté pendant 40 ans le socialisme ont appris comment en sortir pour créer de la croissance et de la prospérité par une bonne gestion et le refus de trop d’immigrés.
Le bas du tableau est occupé par ceux qui pratiquent encore l’économie socialiste, et ce n’est pas par hasard que l’on y retrouve la France en compagnie de la Grèce, de l’Espagne, de l’Italie et de la Grande-Bretagne.
Cette classe moyenne des travailleurs qui ont besoin de leur voiture pour aller travailler et qui paient des impôts l’a parfaitement compris, d’où sa révolte. Mais les pauvres aussi, qui savent désormais qu’avec Macron, ils n’ont aucune chance de sortir de leur condition misérable d’assistés sociaux permanents qu’on fera se déplacer « en trottinettes à cinquante euros » (Elisabeth Borne, ministre de quelque chose), « parce que c’est bon pour la Planète » disent ceux qui ne se déplacent qu’en voitures avec chauffeurs, en TGV et avions en première classe.
Alors il a imité de Gaulle en 68, partant le lendemain matin en Allemagne, (Baden-Baden et Massu en moins).
Pour quoi faire ? Un discours au Bundestag paraît-il, laissant Philippe se dépatouiller dimanche soir pour expliquer aux Français que le gouvernement « les a compris »… mais qu’il est hors de question d’arrêter les hausses de taxes.
Et pourquoi donc ?
La théorie de John Maynard Keynes dit que créer de la dette est sans importance pour un État qui par définition ne peut pas être mis en faillite. Si pour une raison quelconque on doit s’arrêter de creuser la dette quelque part, il suffit de créer une nouvelle dette ou de creuser plus une autre dette. C’est l’extrapolation financière de la théorie du sapeur Camember : Si ayant creusé un trou vous n’arrivez pas à remettre dedans toute la terre qui en a été sortie, creusez une second trou assez grand pour pouvoir y mettre la terre des deux.
C’est le dilemme que doit résoudre le gouvernement.
Depuis quarante ans, il était admis que faire des budgets en déficit n’était pas grave. Les crises financières ont pourtant démontré le contraire !
La Commission européenne a donc décidé qu’il était interdit de dépasser 3 % de déficit annuel. Le gouvernement pourrait appliquer la solution Camember enseignée à l’ENA en continuant à dépenser sans compter et creuser la dette (2300 milliards d’euros).
Parce qu’il est hors de question de faire des économies. Le couple Macron-Philippe veut pouvoir continuer à dépenser sans compter pour, par exemple, augmenter encore les salaires des membres des cabinets ministériels (déjà augmentés de 30 % en deux ans et dépassant fréquemment les 10 000 euros nets par mois).
Mais prequ’un an de PIB (2600 milliard d’euros), c’est un seuil difficile à franchir sans remettre en cause la crédibilité financière de la France.
En l’absence de vraies réformes, la seule solution consiste à augmenter les recettes indéfiniment en augmentant les impôts et taxes. Cela évite de faire des économies et présente un second avantage : en mettant les Français dans la misère on les amènera à venir avec soumission et reconnaissance manger, dans la main de leurs élites devenues richissimes, les miettes qu’elles voudront bien leur laisser.
La population afro-maghrébine et les banlieues subventionnées regardent le spectacle sans bouger et espèrent que le gouvernement sera ferme.
Imaginez qu’il cède, arrête la hausse et la multiplication des taxes, les dizaines de milliards déversés sur les cités, les banlieues et les immigrés pourraient diminuer. Au lieu de vivre « comme au bled » en se la coulant douce, il faudrait se mettre au travail à l’européenne, ce n’est pas dans leur culture et ils ne veulent pas changer de culture pour adopter l’occidentale.
Donc les Gilets Jaunes sont tous, à de rares exceptions près, des Français qui travaillent et que l’élite méprise viscéralement : ouvriers, employés, artisans, cadres, petit patrons,
Et les retraités qui voient leurs retraites fondre comme neige au soleil alors qu’ils ne récupéreront jamais, à de rares exceptions près, le capital qu’ils ont avancé à l’Etat qui avait le devoir de le gérer et de le faire fructifier, mais qui l’a dilapidé en gabegie administrative et politique au lieu de l’investir intelligemment comme le font tous les Etats bien gérés dans le monde.
Et tous ces Gilets Jaunes « bloquent » le pays sous des drapeaux bleu, blanc, rouge.
L’Imprécateur
Source
Le voilà transformé en loser par une bande inorganisée de Gilets Jaunes incapables de comprendre que s’il les réduit à la misère par des rafales de taxes (1), « c’est pour leur bien ». Alors qu’en réalité, le plan européo-mondialiste de Macron est bien d’éradiquer la classe moyenne pour n’avoir plus que deux classes, une super-élite immensément riche au sommet, et un peuple pauvre et soumis en bas.
Cela dit, il ne fait que poursuivre la politique de tous les gouvernements socialistes précédents avec l’échec économique qui en découle, l’incapacité à développer la prospérité du peuple français par des taux de croissance honorables.
Le tableau Eurostat ci-dessous montre que les peuples qui ont expérimenté pendant 40 ans le socialisme ont appris comment en sortir pour créer de la croissance et de la prospérité par une bonne gestion et le refus de trop d’immigrés.
Le bas du tableau est occupé par ceux qui pratiquent encore l’économie socialiste, et ce n’est pas par hasard que l’on y retrouve la France en compagnie de la Grèce, de l’Espagne, de l’Italie et de la Grande-Bretagne.
Cette classe moyenne des travailleurs qui ont besoin de leur voiture pour aller travailler et qui paient des impôts l’a parfaitement compris, d’où sa révolte. Mais les pauvres aussi, qui savent désormais qu’avec Macron, ils n’ont aucune chance de sortir de leur condition misérable d’assistés sociaux permanents qu’on fera se déplacer « en trottinettes à cinquante euros » (Elisabeth Borne, ministre de quelque chose), « parce que c’est bon pour la Planète » disent ceux qui ne se déplacent qu’en voitures avec chauffeurs, en TGV et avions en première classe.
Alors il a imité de Gaulle en 68, partant le lendemain matin en Allemagne, (Baden-Baden et Massu en moins).
Pour quoi faire ? Un discours au Bundestag paraît-il, laissant Philippe se dépatouiller dimanche soir pour expliquer aux Français que le gouvernement « les a compris »… mais qu’il est hors de question d’arrêter les hausses de taxes.
Et pourquoi donc ?
La théorie de John Maynard Keynes dit que créer de la dette est sans importance pour un État qui par définition ne peut pas être mis en faillite. Si pour une raison quelconque on doit s’arrêter de creuser la dette quelque part, il suffit de créer une nouvelle dette ou de creuser plus une autre dette. C’est l’extrapolation financière de la théorie du sapeur Camember : Si ayant creusé un trou vous n’arrivez pas à remettre dedans toute la terre qui en a été sortie, creusez une second trou assez grand pour pouvoir y mettre la terre des deux.
C’est le dilemme que doit résoudre le gouvernement.
Depuis quarante ans, il était admis que faire des budgets en déficit n’était pas grave. Les crises financières ont pourtant démontré le contraire !
La Commission européenne a donc décidé qu’il était interdit de dépasser 3 % de déficit annuel. Le gouvernement pourrait appliquer la solution Camember enseignée à l’ENA en continuant à dépenser sans compter et creuser la dette (2300 milliards d’euros).
Parce qu’il est hors de question de faire des économies. Le couple Macron-Philippe veut pouvoir continuer à dépenser sans compter pour, par exemple, augmenter encore les salaires des membres des cabinets ministériels (déjà augmentés de 30 % en deux ans et dépassant fréquemment les 10 000 euros nets par mois).
Mais prequ’un an de PIB (2600 milliard d’euros), c’est un seuil difficile à franchir sans remettre en cause la crédibilité financière de la France.
En l’absence de vraies réformes, la seule solution consiste à augmenter les recettes indéfiniment en augmentant les impôts et taxes. Cela évite de faire des économies et présente un second avantage : en mettant les Français dans la misère on les amènera à venir avec soumission et reconnaissance manger, dans la main de leurs élites devenues richissimes, les miettes qu’elles voudront bien leur laisser.
La population afro-maghrébine et les banlieues subventionnées regardent le spectacle sans bouger et espèrent que le gouvernement sera ferme.
Imaginez qu’il cède, arrête la hausse et la multiplication des taxes, les dizaines de milliards déversés sur les cités, les banlieues et les immigrés pourraient diminuer. Au lieu de vivre « comme au bled » en se la coulant douce, il faudrait se mettre au travail à l’européenne, ce n’est pas dans leur culture et ils ne veulent pas changer de culture pour adopter l’occidentale.
Donc les Gilets Jaunes sont tous, à de rares exceptions près, des Français qui travaillent et que l’élite méprise viscéralement : ouvriers, employés, artisans, cadres, petit patrons,
Et les retraités qui voient leurs retraites fondre comme neige au soleil alors qu’ils ne récupéreront jamais, à de rares exceptions près, le capital qu’ils ont avancé à l’Etat qui avait le devoir de le gérer et de le faire fructifier, mais qui l’a dilapidé en gabegie administrative et politique au lieu de l’investir intelligemment comme le font tous les Etats bien gérés dans le monde.
Et tous ces Gilets Jaunes « bloquent » le pays sous des drapeaux bleu, blanc, rouge.
L’Imprécateur
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