"Un État ou un pays dirigé par les citoyens les pires, les moins qualifiés ou les moins scrupuleux."
L’accord que ces banquiers ont manigancé était fait pour sauver les banques du capitalisme.
– Selon l’article récent de Matt Taibbi : Dix ans après le crash, nous n’en avons rien appris.
Alors que les dirigeants de Google tentent encore de se dépeindre comme des génies de la technologie et de la contre-culture, leur réaction à la victoire de Donald Trump dans une vidéo interne récemment divulguée laisse perplexe, à se demander s’ils comprennent quoi que ce soit à ce qui se passe autour d’eux.
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Michael Krieger @LibertyBlitz
L’un des grands points à retenir de cette vidéo de Google qui a fuité est la faiblesse, la superficialité et le coté perroquet de ses cadres.
Ils sont d’une fadeur embarrassante, sans originalité et ignorent la réalité qui les entoure.
6:34 AM – 14 sept. 2018
118 j’aime 33 personnes en parlent
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Il y a deux choses à retenir de cette vidéo.
Tout d’abord, les dirigeants de Google sont soit totalement ignorants, soit dans un déni délibéré de l’état du pays qu’ils habitent.
Deuxièmement, ils sont des hypocrites éhontés lorsqu’il s’agit des soi-disant valeurs qu’ils prétendent être à la base des règles de leurs entreprises.
En d’autres termes, ils sonnent collectivement comme tous ces politiciens faussaires qui perpétuent le statu quo et dont tout le monde a marre.
En effet, le déni est si puissant que Sergey Brin, cofondateur de Google, a affirmé à plus d’une reprise que de nombreux électeurs de Trump étaient motivés par « l’ennui ». Comme si ce n’était pas assez insultant, il ajoute que la montée de l’autoritarisme et du totalitarisme au XXe siècle était probablement aussi due à l’ennui.
Bien que je ne puisse pas parler par expérience personnelle de la montée du fascisme et du communisme il y a un siècle de cela, j’ai vu assez du XXIe siècle pour vous dire que 63 millions de personnes n’ont pas essayé de jeter une grenade métaphorique dans le système politique parce qu’elles « s’ennuyaient ». Ces gens étaient en colère et désabusés, et à juste titre. N’oublions pas que 2016 n’a pas seulement vu la montée en puissance de Trump, mais que Bernie Sanders a presque battu Hillary Clinton malgré une primaire truquée. Était-ce aussi dû à l’ennui ?
Alors que Brin est déjà suffisamment mauvais, Kent Walker, vice-président de Google pour les affaires mondiales et chef du service juridique, rajoute la cerise sur le gâteau. C’était vraiment douloureux de le voir régurgiter sans cesse des phrases vides sur les valeurs de Google et sur l’engagement de l’entreprise à faire du monde un endroit où il fait bon vivre. Il s’est lancé dans une grande conférence sur le fait qu’il y a deux mondes, celui du « mur » et celui du « carré ». Google, selon M. Walker, est profondément engagé dans le monde ouvert du carré, qui consiste, selon ses propres termes, en un engagement « pour un internet libre et ouvert ».
Je trouve cela fascinant puisque Google travaille actuellement sur un moteur de recherche spécialement conçu pour la censure du gouvernement chinois. The Intercept est à la pointe des reportages sur ce projet secret nommé Dragonfly. Voici ce que nous avons appris dans un récent article.
"Google a construit un prototype d’un moteur de recherche censuré pour la Chine qui relie les recherches des utilisateurs à leurs numéros de téléphone personnels, ce qui permet au gouvernement chinois de surveiller plus facilement les requêtes des gens, peut révéler The Intercept.
Le moteur de recherche, dont le nom de code est Dragonfly, a été conçu pour les appareils Android et supprimerait les contenus jugés sensibles par le régime du Parti communiste chinois au pouvoir, tels que les informations sur les dissidents politiques, la liberté d’expression, la démocratie, les droits humains et les manifestations pacifiques.
Des détails non divulgués précédemment sur ce plan, obtenus vendredi par The Intercept, montrent que Google a compilé une liste noire de mots clés censurés qui comprenait des termes tels que « droits de l’homme », « protestation étudiante », et « prix Nobel » en mandarin.
Les principaux groupes de défense des droits de l’homme ont critiqué Dragonfly, affirmant qu’il pourrait en résulter que l’entreprise « contribue directement aux violations des droits de l’homme, ou en devienne complice ». L’une des principales préoccupations exprimées par ces groupes est que, au-delà de la censure, les données des utilisateurs stockées par Google sur le continent chinois pourraient être accessibles aux autorités chinoises, qui ciblent régulièrement les militants politiques et les journalistes.
Des sources familières avec le projet ont dit que les prototypes du moteur de recherche reliaient l’application de recherche sur le smartphone Android d’un utilisateur avec son numéro de téléphone. Cela signifie que les recherches des individus pourraient être facilement suivies – et tout utilisateur cherchant des informations interdites par le gouvernement pourrait être exposé à un risque d’interrogatoire ou de détention si les agences de sécurité peuvent obtenir les résultats de la recherche auprès de Google."
Je dois être un plébéien mourant d’ennui parce que ce genre de choses ressemble beaucoup à l’exact opposé d’un « internet libre et ouvert ». Ce qui m’amène au point clé de ce billet : les cadres de Google sont de sales et dangereux tas de merde. Comme les politiciens de Washington, de gros tas de merde. En fait, les deux mots qui me viennent à l’esprit en réfléchissant sur cette vidéo sont le déni et l’hypocrisie. Quand le déni et l’hypocrisie deviennent un mode de vie pour les membres les plus riches et les plus puissants d’une société, vous obtenez une réaction de la part de ceux qui voient clair dans leurs mensonges et leurs arguments creux.
Brin dit que les électeurs de Trump s’ennuient et Hillary les qualifie de déplorables, mais leur préjugé est essentiellement le même. Selon eux, le problème réside dans les électeurs et non dans le système. Que l’élite déconnectée se ballade en T-shirt et jean dans la Silicon Valley ou en costume chic à Washington, il est clair que ces dirigeants de la société ne voient rien de mal en un pays de plus en plus défini par une corruption structurelle endémique et un bellicisme impérial. Ils refusent simplement d’évaluer honnêtement un système qui est si généreux et lucratif pour eux, même s’il déraille complètement.
La guerre en Irak ? Une erreur de bonne foi. Les renflouements de banquiers criminels en 2008 ? Injuste, mais nécessaire. C’est ainsi qu’ils voient les choses et cela rend les gens apoplectiques. Face à un marché boursier en plein essor et à une « reprise » économique grotesque et asymétrique au cours de laquelle les plus riches ont bénéficié des sauvetages, les gens restent en colère et ils ont toutes les raisons de l’être. Les États-Unis ne sont pas une économie de marché libre, mais une kakistocratie dans laquelle les « élites » se sont placées au-dessus de la loi et même de l’échec. Nous renflouons les criminels pour qu’ils puissent nous renvoyer tout ça à la gueule dix ans plus tard.
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Ben White @morningmoneyben
Gary Cohn dit à Reuters que personne n’est allé en prison après la crise financière parce qu’aucune loi criminelle n’a été enfreinte. « J’aimerais que quelqu’un me dise quelles lois ont été enfreintes. »
Michael Krieger @LibertyBlitz
C’est la merde que nous devons écouter dix ans après avoir renfloué ces criminels.
11 h 45 – 18 sept. 2018
63 j’aime 22 personnes en parlent
Il y a deux choses à retenir de cette vidéo.
Tout d’abord, les dirigeants de Google sont soit totalement ignorants, soit dans un déni délibéré de l’état du pays qu’ils habitent.
Deuxièmement, ils sont des hypocrites éhontés lorsqu’il s’agit des soi-disant valeurs qu’ils prétendent être à la base des règles de leurs entreprises.
En d’autres termes, ils sonnent collectivement comme tous ces politiciens faussaires qui perpétuent le statu quo et dont tout le monde a marre.
En effet, le déni est si puissant que Sergey Brin, cofondateur de Google, a affirmé à plus d’une reprise que de nombreux électeurs de Trump étaient motivés par « l’ennui ». Comme si ce n’était pas assez insultant, il ajoute que la montée de l’autoritarisme et du totalitarisme au XXe siècle était probablement aussi due à l’ennui.
Bien que je ne puisse pas parler par expérience personnelle de la montée du fascisme et du communisme il y a un siècle de cela, j’ai vu assez du XXIe siècle pour vous dire que 63 millions de personnes n’ont pas essayé de jeter une grenade métaphorique dans le système politique parce qu’elles « s’ennuyaient ». Ces gens étaient en colère et désabusés, et à juste titre. N’oublions pas que 2016 n’a pas seulement vu la montée en puissance de Trump, mais que Bernie Sanders a presque battu Hillary Clinton malgré une primaire truquée. Était-ce aussi dû à l’ennui ?
Alors que Brin est déjà suffisamment mauvais, Kent Walker, vice-président de Google pour les affaires mondiales et chef du service juridique, rajoute la cerise sur le gâteau. C’était vraiment douloureux de le voir régurgiter sans cesse des phrases vides sur les valeurs de Google et sur l’engagement de l’entreprise à faire du monde un endroit où il fait bon vivre. Il s’est lancé dans une grande conférence sur le fait qu’il y a deux mondes, celui du « mur » et celui du « carré ». Google, selon M. Walker, est profondément engagé dans le monde ouvert du carré, qui consiste, selon ses propres termes, en un engagement « pour un internet libre et ouvert ».
Je trouve cela fascinant puisque Google travaille actuellement sur un moteur de recherche spécialement conçu pour la censure du gouvernement chinois. The Intercept est à la pointe des reportages sur ce projet secret nommé Dragonfly. Voici ce que nous avons appris dans un récent article.
"Google a construit un prototype d’un moteur de recherche censuré pour la Chine qui relie les recherches des utilisateurs à leurs numéros de téléphone personnels, ce qui permet au gouvernement chinois de surveiller plus facilement les requêtes des gens, peut révéler The Intercept.
Le moteur de recherche, dont le nom de code est Dragonfly, a été conçu pour les appareils Android et supprimerait les contenus jugés sensibles par le régime du Parti communiste chinois au pouvoir, tels que les informations sur les dissidents politiques, la liberté d’expression, la démocratie, les droits humains et les manifestations pacifiques.
Des détails non divulgués précédemment sur ce plan, obtenus vendredi par The Intercept, montrent que Google a compilé une liste noire de mots clés censurés qui comprenait des termes tels que « droits de l’homme », « protestation étudiante », et « prix Nobel » en mandarin.
Les principaux groupes de défense des droits de l’homme ont critiqué Dragonfly, affirmant qu’il pourrait en résulter que l’entreprise « contribue directement aux violations des droits de l’homme, ou en devienne complice ». L’une des principales préoccupations exprimées par ces groupes est que, au-delà de la censure, les données des utilisateurs stockées par Google sur le continent chinois pourraient être accessibles aux autorités chinoises, qui ciblent régulièrement les militants politiques et les journalistes.
Des sources familières avec le projet ont dit que les prototypes du moteur de recherche reliaient l’application de recherche sur le smartphone Android d’un utilisateur avec son numéro de téléphone. Cela signifie que les recherches des individus pourraient être facilement suivies – et tout utilisateur cherchant des informations interdites par le gouvernement pourrait être exposé à un risque d’interrogatoire ou de détention si les agences de sécurité peuvent obtenir les résultats de la recherche auprès de Google."
Je dois être un plébéien mourant d’ennui parce que ce genre de choses ressemble beaucoup à l’exact opposé d’un « internet libre et ouvert ». Ce qui m’amène au point clé de ce billet : les cadres de Google sont de sales et dangereux tas de merde. Comme les politiciens de Washington, de gros tas de merde. En fait, les deux mots qui me viennent à l’esprit en réfléchissant sur cette vidéo sont le déni et l’hypocrisie. Quand le déni et l’hypocrisie deviennent un mode de vie pour les membres les plus riches et les plus puissants d’une société, vous obtenez une réaction de la part de ceux qui voient clair dans leurs mensonges et leurs arguments creux.
Brin dit que les électeurs de Trump s’ennuient et Hillary les qualifie de déplorables, mais leur préjugé est essentiellement le même. Selon eux, le problème réside dans les électeurs et non dans le système. Que l’élite déconnectée se ballade en T-shirt et jean dans la Silicon Valley ou en costume chic à Washington, il est clair que ces dirigeants de la société ne voient rien de mal en un pays de plus en plus défini par une corruption structurelle endémique et un bellicisme impérial. Ils refusent simplement d’évaluer honnêtement un système qui est si généreux et lucratif pour eux, même s’il déraille complètement.
La guerre en Irak ? Une erreur de bonne foi. Les renflouements de banquiers criminels en 2008 ? Injuste, mais nécessaire. C’est ainsi qu’ils voient les choses et cela rend les gens apoplectiques. Face à un marché boursier en plein essor et à une « reprise » économique grotesque et asymétrique au cours de laquelle les plus riches ont bénéficié des sauvetages, les gens restent en colère et ils ont toutes les raisons de l’être. Les États-Unis ne sont pas une économie de marché libre, mais une kakistocratie dans laquelle les « élites » se sont placées au-dessus de la loi et même de l’échec. Nous renflouons les criminels pour qu’ils puissent nous renvoyer tout ça à la gueule dix ans plus tard.
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Ben White @morningmoneyben
Gary Cohn dit à Reuters que personne n’est allé en prison après la crise financière parce qu’aucune loi criminelle n’a été enfreinte. « J’aimerais que quelqu’un me dise quelles lois ont été enfreintes. »
Michael Krieger @LibertyBlitz
C’est la merde que nous devons écouter dix ans après avoir renfloué ces criminels.
11 h 45 – 18 sept. 2018
63 j’aime 22 personnes en parlent
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La vidéo fuitée de Google confirme ce que beaucoup d’entre nous savions déjà, à savoir que ces cadres « don’t be evil » sont une bande d’imposteurs superficiels, taillés dans le même tissu que les banquiers rapaces ou les politiciens véreux. Les plus puissants ne vont pas réformer ou changer fondamentalement un système qui leur est si bénéfique. C’est à nous de le faire. C’est pourquoi nous sommes dans une période populiste, et c’est pourquoi le populisme ne disparaîtra pas de sitôt.
La seule question est de savoir sous quelle forme la prochaine manifestation de populisme se présentera. En matière de politique américaine, les actions de Donald Trump seront décisives. S’il entraîne le pays dans une autre guerre au Moyen-Orient, ou s’il sauve à nouveau les banquiers du capitalisme, il discréditera complètement le populisme de droite et ouvrira une énorme fenêtre d’opportunité au populisme de gauche. D’autre part, Trump a encore une chance d’être le président transformateur qu’Obama a refusé d’être, il lui suffit d’éviter plus de guerre et de s’assurer que les escrocs des entreprises soient tenus responsables de toute future crise. Je continue à douter qu’il ait le désir ou la possibilité de faire ça, mais on ne sait jamais.
Il faut noter qu’il existe de multiples autres façons pour le populisme de se manifester en dehors de la politique traditionnelle, la plus prometteuse étant dans le domaine de l’open source, des technologies décentralisées qui ne nécessitent pas d’autorisation et peuvent changer le monde par leur existence même. Le bitcoin en est un bon exemple dans cette période post-crise financière, mais je m’attends à ce que d’autres suivent. Surtout pour les outils de communication, car nos géants de la technologie échouent de façon spectaculaire lorsqu’il s’agit de ce qui est apparemment leur mission première – favoriser une interaction humaine mondiale ouverte.
Quand les élitistes parlent de populisme, ils le traitent comme un mot vulgaire, mais ce dégoût et cette réaction de la base populaire à une kakistocratie enracinée sont non seulement inévitables, mais normaux et sains. Cela ne veut pas dire que le populisme mènera nécessairement à un résultat positif. Nous pouvons être myopes et choisir bêtement des boucs émissaires en frappant les plus faibles ou nous pouvons affronter le vrai pouvoir d’une manière consciente en créant et en utilisant des outils qui rendent obsolète la structure de pouvoir existante.
Comme l’a dit Buckminster Fuller :
« On ne change jamais les choses en combattant la réalité existante. Pour changer quelque chose, construisez un nouveau modèle qui rend le modèle existant obsolète. »
C’est ce que nous devons faire avant tout autre chose.
Mike Krieger
Traduit par Wayan, relu par Cat pour le Saker Francophone
La vidéo fuitée de Google confirme ce que beaucoup d’entre nous savions déjà, à savoir que ces cadres « don’t be evil » sont une bande d’imposteurs superficiels, taillés dans le même tissu que les banquiers rapaces ou les politiciens véreux. Les plus puissants ne vont pas réformer ou changer fondamentalement un système qui leur est si bénéfique. C’est à nous de le faire. C’est pourquoi nous sommes dans une période populiste, et c’est pourquoi le populisme ne disparaîtra pas de sitôt.
La seule question est de savoir sous quelle forme la prochaine manifestation de populisme se présentera. En matière de politique américaine, les actions de Donald Trump seront décisives. S’il entraîne le pays dans une autre guerre au Moyen-Orient, ou s’il sauve à nouveau les banquiers du capitalisme, il discréditera complètement le populisme de droite et ouvrira une énorme fenêtre d’opportunité au populisme de gauche. D’autre part, Trump a encore une chance d’être le président transformateur qu’Obama a refusé d’être, il lui suffit d’éviter plus de guerre et de s’assurer que les escrocs des entreprises soient tenus responsables de toute future crise. Je continue à douter qu’il ait le désir ou la possibilité de faire ça, mais on ne sait jamais.
Il faut noter qu’il existe de multiples autres façons pour le populisme de se manifester en dehors de la politique traditionnelle, la plus prometteuse étant dans le domaine de l’open source, des technologies décentralisées qui ne nécessitent pas d’autorisation et peuvent changer le monde par leur existence même. Le bitcoin en est un bon exemple dans cette période post-crise financière, mais je m’attends à ce que d’autres suivent. Surtout pour les outils de communication, car nos géants de la technologie échouent de façon spectaculaire lorsqu’il s’agit de ce qui est apparemment leur mission première – favoriser une interaction humaine mondiale ouverte.
Quand les élitistes parlent de populisme, ils le traitent comme un mot vulgaire, mais ce dégoût et cette réaction de la base populaire à une kakistocratie enracinée sont non seulement inévitables, mais normaux et sains. Cela ne veut pas dire que le populisme mènera nécessairement à un résultat positif. Nous pouvons être myopes et choisir bêtement des boucs émissaires en frappant les plus faibles ou nous pouvons affronter le vrai pouvoir d’une manière consciente en créant et en utilisant des outils qui rendent obsolète la structure de pouvoir existante.
Comme l’a dit Buckminster Fuller :
« On ne change jamais les choses en combattant la réalité existante. Pour changer quelque chose, construisez un nouveau modèle qui rend le modèle existant obsolète. »
C’est ce que nous devons faire avant tout autre chose.
Mike Krieger
Traduit par Wayan, relu par Cat pour le Saker Francophone
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