20 septembre 2018

Salle de shoot : l’insécurité ruine les commerçants du nord de Paris


Deux ans après l’ouverture de la salle de shoot, située dans le 10ème arrondissement de Paris, les commerçants du quartier dénoncent « un préjudice économique ». À cause de l’insécurité, certains ont mis la clé sous la porte tandis que d’autres songent à partir.

« Je suis à deux doigts de déposer le bilan ». Pierre, un restaurateur d’une quarantaine d’années, en a gros sur le cœur. Comme lui, de nombreux commerçants situés dans le quartier de la salle de shoot, près de l’hôpital Lariboisière et de la gare du Nord (Paris 10ème), sont excédés. Trafics de drogue, bagarres, toxicomanes qui se droguent en pleine rue, vols ou encore menaces font partie de leur quotidien.

Dans une lettre envoyée fin mai au ministère de la Santé et restée sans réponse, une trentaine de commerçants du quartier dénonçaient des « nuisances quotidiennes » et « un préjudice économique et commercial » engendré par la salle de shoot. Ouverte depuis octobre 2016, cette salle permet aux toxicomanes de faire leurs injections par voies intraveineuses dans de bonnes conditions sanitaires. « On nous a mis cette salle de shoot sans concertation et on se retrouve avec des toxicomanes ingérables. C’est de pire en pire », déplorent les commerçants et les riverains. Ils estiment vivre dans « un quartier sacrifié » et se sentent abandonnés par les pouvoirs publics.

Passionné par la gastronomie, Pierre a investi toutes ses économies dans son restaurant. Et son affaire marchait bien jusqu’à l’ouverture de la salle de shoot. « Entre 2011 et 2016, mon chiffre d’affaires a augmenté de 300 %. Entre 2016 et 2018, il a diminué de 40 % », détaille-t-il. Avant de poursuivre : « Nous étions cinq employés et nous ne sommes plus que trois. Je ne me verse plus de salaire depuis deux ans ».

« Beaucoup de clients nous disent qu’ils ne reviendront plus dans notre restaurant à cause de l’insécurité », détaille Julie, qui travaille avec Pierre. Elle raconte que « des mecs défoncés entrent parfois dans le restaurant pour demander des clopes ». Sans compter les bagarres quotidiennes sur le trottoir. « On ne peut plus travailler le soir, c’est impossible de mettre des gens en terrasse », conclut Pierre, qui a été menacé de mort plusieurs fois. Son restaurant, dont la valeur a baissé de 100 000 euros depuis son ouverture en 2011, est aujourd’hui au bord de la faillite. Les images filmées par le collectif « Riverains Lariboisière Gare du Nord » – des résidents du quartier de la salle de shoot – permettent de se faire une idée de la situation.

 
Commentaire d'une lectrice :
"Sea, sex, sun and drug, pour les jours sans soleil. Ce laxisme n'est qu'apparent, il participe du chaos généralisé ET organisé.
De l'île de Wight à Woodstock, l'expérience s'est répandue comme une traînée de poudre blanche.
Même un mauvais élève de gauche, en sociologie, aurait pu prévoir les dégâts collatéraux d'une telle salle. C'est devenu le lieu de rendez-vous des dealers, des junkies en manque, des vols à l'arraché, de toutes les violences que génère une telle faune aux abois. Quoi de plus logique ?
J'ai reçu des témoignages d'habitants, complètement effondrés. Les mêmes qui ont voté Hidalgo et Macron. L'addition est salée, je n'en tire aucune gloire, c'était pourtant pas faute de les avoir prévenus. Ils sont à plaindre. Parce qu'ils ont refusé de se donner les moyens de vivre dans une ville digne de ce nom, parce qu'ils ont choisi "l'ouverture à l'autre". C'est un choix. Les voilà confrontés au réel. "

Commentaires vus sur le site source :

 ""Le 20 septembre à 00:39 par koss
Salle de shoot : l’insécurité ruine les commerçants du nord de (...)

La salle de shoot aujourd’hui ça fait rire avec ses drogués de 30kg, comparé aux costauds ex-combattants d’Al Qaïda encore plus défoncés qui divaguent entre Stalingrad et Barbes. La prépa survivaliste c’est maintenant.""
Zorro est arrivé.
""Le 20 septembre à 08:50 par Enki
Salle de shoot : l’insécurité ruine les commerçants du nord de (...)

Non, notre pays aspire à vivre mieux ! C’est dans ses gènes, son Sang.

Ce sont les âmes de ces dites zélites délitées qui sont le MALincarné !

Nous sommes en guerre spirituelle. Elle se décline sur Terre par un sacrifice humain auquel ces drogués ont donné leur consentement implicite. La drogue, marchandise pas comme une autre dont profite le haut de la pyramide comme aussi des guerres, autre rituel sacrifiCiel.

Ces zélites ravalent le MAL dans le peuple pour le contraindre à se soumettre. D’où son déclin programmé. Pas dans la nature des êtres de se shooter, non ?

Comme aussi, chaque personne assassinée dans la terreur nourrit BAAL et autres entités démoniques présentement en plein contrôle ici sur Terre. Plus il y a de terreur et de Choc et Stupeur (nom de l’opération américaine en Iraq), plus grand est le pouvoir accordé aux adeptes, ces élites possédées par les démons. Ils-elles s’en nourrissent .

Ouvrir une salle de shoot sous prétexte sanitaire : une dissimulation, comme l’OMS ; le loup ne se déguise-t-il pas en agneau ?

Chaque drogué se piquant, ouvre un portail stellaire dans lequel s’infiltre le démon afin qu’il entre en possession de ce « shooté », influencer son ego dès lors bloqué.

Le bon sens comm’UN et non celui de le com’ voudrait que la mairesse de Paris n’ait pas autorisé un tel établissement. C’est pas son souci puisque évidemment ces zélites sont elles aussi d’une même famille d’âmes que ces drogués ! Le bas et le haut de gamme de la pyramide sont du même acabit et engeance !

Dans le film Ma vie est un enfer (1991), quelques scènes dans un bar parisien où l’on voit des démons incarnés se livrer à des démonstrations. Un serveur a même la moustache et la chevelure d’un Hitler :) Le film a été tourné à Paris.

Paris se prépare à devenir l’antre des démons. Le Petit Poucet, le sait. Ses frères, non.

Mélanie Calvat, voyante de La Salette revient souvent sur l’incendie de Paris.

Le terme shoot et ses multiples traduction en français est très évocateur. Le shoot équivaut à faire jaillir l’énergie vitale des humains en rapport donc avec leur sang car l’intraveineuse est en contact avec le sang, où l’ego est fixé.

Sang des Christian qu’ils souillent et corrompent. L’argent, flux générés par la drogue : métaphore du sang.

Pourquoi la blanche .... extrance est-elle si convoitée ?

Sale chute au Bar Isis""


Au sujet de Bar-Isis :
http://secretebase.free.fr/complots/edifices/paris/paris.htm


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