Et puis tout de même, dans le genre prise de conscience tardive ça se rapproche tout près de la perfection. Il me souvient des années quatre-vingts, la « marche des Beurs », « touche pas à mon pote », tout ça, quand ces gauchiards de malheur ainsi que les humanitaristes de tout poil, arboraient au revers de la veste cette espèce de main de Fatma jaunâtre censée signer l’appartenance au Camp du Bien. Ils adorent, généralement, tous ces imbéciles, arborer un machin distinctif au revers! Pour les plus futés c’est la Légion d’Horreur, pour la piétaille le truc à la mode du moment, celui-qui fait bien voir que vous pensez comme il faut ou, plus exactement, que vous laissez à d’autres le soin de penser à votre place.
Et pourtant moi je me souviens très clairement du discours menaçant de Houari Boumedienne, vous savez, quand il avait déclaré "Un jour des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire." Il exigeait un « nouvel ordre mondial », le type, sans quoi il nous promettait…ce qui s’est produit depuis…et c’était devant l’Assemblée Générale de l’ONU…le 10 Avril 1974! Bientôt quarante-cinq ans! Et nous autres, les salopards du Nord, qu’avons nous fait alors? Ben oui, le regroupement familial, avec les allocs et tout le toutim, merci les Giscard-Chirac! Au lieu d’entendre le message, au demeurant d’une clarté cristalline, nous nous empressâmes de baisser le froc, tout en payant la vaseline par dessus le marché! Voilà ce qu’elle a trouvé de mieux à faire, la Répupu! Et je me souviens aussi, quelques années plus tard, vers les quatre-vingts, un jeune Beur fils d’immigré, la première génération, qui nous crachait sa haine à la gueule, avec, à la clé, un petit avertissement sans frais: « et vous n’avez encore rien vu, dans quelques année nos petits frères ce sera nous puissance dix! ». Et nous autres, les bons républicains, nous récitions quoi, comme catéchisme, dans le même temps? Eh oui, « touche pas à mon pote« , parbleu, "l’immigration chance pour la France" , tout ça! Et aujourd’hui la grosse pochetrone de Lille qui découvre ! C’est à se les prendre et à se les mordre -remarquez, je dis ça-je dis rien, j’ai plus la souplesse-. Aujourd’hui, c’est clair, il n’y a plus rien à faire, on est foutu, irrémédiablement, tout le monde le sait mais on continue à donner le change…
Comme Gnafron-Collomb, le comique de l’Intérieur en rupture de banc, Vendredi dernier à Grenoble, histoire de préparer son petit week-end bien pépère entre les grattons et le tablier de sapeur, il a sorti, le vieux schnock: « Il nous faut aller plus loin à Grenoble (à Lyon, par exemple?…NDLR). Sur ce territoire sécuritaire (sic) la situation est préoccupante« . Mais il a plus d’un tour dans son sac, Gâtouillard Premier, il détient la solution: 35 flics de plus! Et voilà le travail! Dans une ville qui compte facilement cent-mille voyous de tout poil, on règle la question avec trois douzaines de poulets! Et comme ça, dans la capitale fameuse de l’Isère, avec son maire écolo qui supprime les caméras de surveillance parce qu’elles nuisent aux libertés individuelles des droguistes, la Répupu va nous mijoter un retour en force! Vive Gérard Gnafron, Lord Gaga si vous préférez; et pour finir sur la note triomphale, il a proféré, le corniaud: « je veux hisser le drapeau de la République dans chaque quartier« ! Non mais vous vous rendez compte! Il n’a plus l’air bien capable de hisser grand-chose, la pauvre vieille savate, mais là, il franchit toutes les bornes du culot grotesque et du foutage de gueule ridicule! Ça aurait pu les faire rigoler comme des baleines à bosse, les caïds des quartchiers en question, sauf qu’ils ont bien autre chose à foutre qu’à écouter les divagations des vieux politicards blancos qui ne les gouvernent plus depuis belle lurette! Les couleurs de la Répupu, ils n’en ont rigoureusement rien en branler, ces mecs, ils tiennent solidement leurs territoires et ce ne sont pas les quelques malheureux flicaillons prévus à Grenoble par Gnafron de Beauveau ou exigés à Lille par Miss Outrabière, qui changeront quoi que ce soit à la situation. Les « territoires perdus de la République », le sont pour de bon, perdus, et pour toujours! Ils apparaissent comme les têtes de pont d’une conquête dont la généralisation ne saurait tarder, elle est déjà en marche, comme la Répupu de Présipède! En marche vers la Charia!
Bien sûr, on pourrait encore agir, il conviendrait de prendre des mesures sérieuses, engager des actions déterminées, privilégier l’efficacité, je ne sais pas, moi… Tenez, par exemple, vous lancez en avant garde un grand troupeau de cochons sur le quartchier, et, en seconde vague, un ou deux régiments de la Légion pour reconquérir les positions. Là oui, vous auriez la possibilité d’envoyer les couleurs au cœur des Cités sans-cible… Oui, certes, mais chassés de leurs réserves, ils s’en iraient où, les petits dealers et leurs amis islamistes, hein? Chez nous, voilà, vous l’avez dit…sauf à les réexpédier de l’autre côté de la Méditerranée… après tout il s’agit de double-nationaux, pour la plupart et de vrais étrangers pour le reste…oui mais bon, ça supposerait une sacrée logistique, sans compter que nos amis du Maghreb, nos petits salopards issus de l’immigration (parfois y suent des pieds, aussi) ils n’en voudraient pas pour tout l’or du monde! Des sauvageons incontrôlables, vous pensez! Donc, comme vous voyez, le problème se révèle totalement dépourvu de solution. Rien à faire, on va laisser la Répupu mourir de sa belle mort, n’en déplaise à Gérard et à Martine…n’empêche ça ferait un chouette couple, ça, rien que les prénoms…
Donc nous n’allons, comme d’habitude, rien faire du tout, nous laisser bouffer, au sens propre du terme et sans réagir; bien au contraire, nous allons tendre un peu plus la joue gauche et le derrière, jusqu’à ce que ce qui doit arriver s’ensuive. Et pourtant le danger semble énorme, de plus en plus palpable, je vous jure. Par exemple, tenez, vous voulez savoir ce qu’ils pensent de nous, les « Chances pour la France »? Eh bien je vous recommande le rappeur Nick Conrad, un superbe black de banlieue, élevé grassement aux prestations sociales, et qui vient de défrayer la chronique au moyen d’une petite chanson mutine sobrement intitulée « Pendez les Blancs« . Je me permets de vous en citer un petit extrait, il ne m’en voudra pas, ce charmant bambin, peut être me pompera-t-il quelques droits d’auteur, il n’a qu’à m’envoyer la note… Ça dit comme ça:
« Je rentre dans les crèches
Je tue des bébés blancs,
Attrapez les vite et pendez leurs parents,
Ecartelez-les pour passer le temps,
Divertir les enfants noirs petits et grands,
Fouettez-les fort, faites le franchement,
Que ça pue la mort, que ça pisse le sang!
Pendez les Blancs! »
Sympa, non? Ça rime à peu près et ça sonne bien, moi je trouve, et comme-ça on est fixé…moi, quand même, je déconseillerais les crèches, surtout celles de banlieue…
Juste un conseil que je lui prodiguerais amicalement à ce petit Nick (ta mère): va jusqu’au bout, mon trésor, reste dans tes racines, ta culture, assume, bordel ! Pendez les Blancs c’est amusant, mais pense un peu à tes ancêtres, ils n’eussent point hésité, eux: Mangez les Blancs! Voilà ce qu’ils auraient pu conseiller, ces braves-gens, ça c’est ta raison d’exister, mec, les blancos bien white, comme disait le presque futur maire de Barcelone, une fois écartelés, on les bouffe, y a pas de raison!
Vous croyez qu’il ira en prison, vous, le rappeur sanguinaire? Moi j’en doute…
Bon Dimanche, amitiés à tous.
Et merde pour qui ne me lira pas.
NOURATIN
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