Le candidat Macron a vécu dans un milieu totalement déconnecté du monde réel et il a été entouré très adroitement pour le bercer de folles illusions. Il y a aussi un caractère très « particulier » que des médecins ont cliniquement analysé et qui se confirme chaque jour.
Très rapidement, on commence à se rendre compte qu’il y a un réel problème avec le président Macron. Ses proches, dans le domaine politique, commencent à craindre l’inconnu et d’aucuns s’éloignent progressivement de lui. L’affaire du garde du corps a été le déclic.
Avertissement des faiseurs de roi ?
Certains le pensent. Pourtant, le poulain de la Haute finance déroule son programme sans se soucier du mécontentement. Il a menti et menti sempiternellement, flouant bien des gens trop crédules, qui n’ont rien vu venir et pas compris qu’il n’y a strictement rien à espérer de ce type d’homme, surtout aujourd’hui où le système est totalement cloisonné.
La Main anonyme a l’art de faire passer une dictature pour une démocratie. Les inégalités se creusent de plus en plus, au fur et à mesure que les indices de la bourse grimpent. Les statistiques sont bidouillées et les experts bien choisis pour expliquer que tout va bien, alors que les désordres mentaux de la classe politique ne peuvent même plus être cachés.
Nous sommes dirigés par des gens malades, des personnalités sans aucune rectitude morale, aucune colonne vertébrale. Dès que cela sent le sapin, les rats quittent le navire, comme le « frère » G. Collomb, tout de même ministre de l’Intérieur. Ami de la première heure dans le combat politique pour le poulain des loges, il abandonne son jeune premier pour la mairie de Lyon.
Faire le guignol pour séduire les électeurs et diriger un pays sans prendre la mesure de la gravité des circonstances est une honte. Faire de l’Elysée un lupanar pour être « dans le temps », est une ignominie. Ce type d’homme, efféminé et incapable de respecter sa parole, n’attire guère la sympathie. Marquer son autoritarisme en saquant les conducteurs pour les contraindre à rouler toujours moins vite, est une des longues erreurs de ce quinquennat qui n’est pas certain d’aller à son terme. Donner des leçons quand on ne cesse de choisir des individus à des postes importants, exigeant l’absence de conflit d’intérêts alors que ce n’est pas le cas, dépasse le ridicule.
Chaque jour, le pouvoir macronien affiche des faiblesses, la dignité de la fonction part en lambeau. Et le système social tient fébrilement. La retenu à la source en matière fiscale va accentuer la pauvreté des jeunes employés.
Qu’en sera t-il une fois que les événements annoncés dans le prochain numéro de LIESI sonneront à la porte de tous les pays ?
Nous voyons la République mourir dans l’opprobre, exactement comme l’avait annoncé l’abbé Souffrant, il y a plus de deux siècles…
Le président Macron voulait donner l’image d’un Monarque républicain, flouant les commandements divins et usant de la communication pour faire passer le message. Il va se retrouver de plus en plus isolé. Nous n’avons même pas un personnage de la stature de Louis XVI, pieux et bien instruit, capable de rédiger un testament pour faire date dans l’Histoire. Emmanuel Macron a voulu, comme ses prédécesseurs, être le président des très riches. Il a poursuivi la destruction de la classe moyenne et il se construit progressivement un Quartier Général, isolé de beaucoup de frères de la première heure.
Est-ce que le président Macron aime la solitude ? Est-ce qu’il pourra la supporter avec son ancien professeur d’école ?
Il veut relancer l’Europe qui a massacré l’avenir de la jeunesse. Quelle hauteur d’esprit ! Décidément, ce politicien des très riches ne fera pas date dans l’Histoire. Que c’est pitoyable… Tellement misérable. "Tout est liquéfaction", confiait De Gaulle à un ami travaillant à l'époque pour la CIA dans le domaine politique français. Que dire en 2018 ?
Source lettre LIESI : https://www.liesi-delacroix.com/
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