[…]L'exploitation de l'énergie atomique menace l'humanité de mort. Bombes atomiques, Tchernobyl, atteintes génétiques, déchets non neutralisables et instockables.
[…]Le FREUDISME, dont les réalités physiologiques et particulièrement endocrinologiques démontrent la fausseté et la perversité, s'attaque à la famille, aboulise, pornographie, déflore nos sentiments les plus sacrés, le respect des parents, de la mère, de l'enfant, de son innocence. Car Freud n'a jamais pu comprendre que l'homme normal n'est pas dégagé de sa fameuse "libido", mais qu'il l'encadre étroitement dans un ensemble de règles de conduite et de pensée qui ne lui permettent pas d'envahir les sphères nobles de l'existence : la famille, l'esprit de sacrifice, et d'amour, qui en est le moteur, la connaissance, la pensée...
[…]Le MARXISME se répand comme les tentacules d'une pieuvre sur la planète entière. L'Enseignement est désormais une pépinière de voteurs-consommateurs souvent ignares, parfois illettrés ou analphabètes, de drogués, de clients disco, de délinquants, de pouilleux vestimentaires décérébrés...
Sous le masque doucereux de la neutralité et de la tolérance, le laïcisme a depuis longtemps barricadé toutes les issues vers le Spirituel. J'ai pu constater cette chute verticale en quarante années d'enseignement secondaire et supérieur. Le laïcisme a livré l'enfant au zombisme, au fanatisme révolutionnaire, à l'athéisme. Il s'agit de l'athéisme non militant, indifférent, le véritable athéisme, celui de l'australopithèque ou du chimpanzé. L'athéisme militant est une religion fanatique, une participation négative au Sacré. On ne nie pas ce qui n'existe pas on ne manifeste rien. Le véritable athée n'exprime rien : le concept de Dieu lui est étranger. Athée est un révolté contre Dieu. Il a hélas, au niveau de son intelligence, de bonnes raisons pour se justifier. Il n'y a aucune neutralité à la déséducation internationale, fabricante de voyous de toutes natures, du drogué au politicien serpillière, et les enseignants distillent le Saint Évangile de Karl Marx, et les fantasmes freudiens.
Même les films que l'on propose aux enfants, y compris les dessins animés, ne sont qu'exemples et encouragements à la violence. La télévision inculque la supériorité du criminel paré de toutes les vertus, victime de la société (il est vrai qu'elle le fabrique en série).
Une musique débile pathogène en général, psychopathogène et criminogène en particulier, est omniprésente, Les sonorités frénétiques et hystériques qui potentialisent vandalisme et meurtre, des Michaël Jackson, et Madona, sont offerts en pâture à une jeunesse suicidaire, zombifiée, sans idéal et sans espoir...
[…]La délinquance ne cesse de croître. Comment pourrait-il en être autrement parmi les jeunes sans assises spirituelles, morales, gavée de sonorités hystériques menant au crime, à la drogue ou au suicide. Dans de telles conditions les ruptures de couples, la misère des enfants ne peuvent que croître en progressions géométriques.
[…]Une médecine chimique aux effets iatrogéniques et tératogènes, règne sur la planète entière, avec un progrès très réel de la chirurgie qui s'utilise pour les plus affreuses abominations (vols d'organes d'enfants des pays du Tiers Monde, trafics effroyables de greffes etc, trafics et expériences sur des enfants "réputés non nés"(voir "Bébés au feu"-Apostolat des éditions, rue du Four 75006 Paris).
La dégénérescence biologique devient abominable à contempler, comme une surpopulation Incontrôlée qui faisait dire judicieusement à COUSTEAU, qu'il faudrait que 300.000 personnes disparaissent quotidiennement, pour rendre son équilibre à la planète. LA POPULATION MONDIALE CROÎT QUANTITATIVEMENT MAIS ELLE A DISPARU QUALITATIVEMENT.
"Les concepts de santé et de médecine sont radicalement étrangers l'un à l'autre" disait le Docteur Henri Pradal, expert à l'Organisation Mondiale de la Santé. Il gagna 17 procès contre les trusts fabricants de médicaments chimiques, qui couvrent majoritairement la thérapeutique. Il suffit d'ailleurs de jeter un coup d'œil au VIDAL pour mesurer le Niagara des "effets secondaires", qui sont souvent "plus graves que la maladie qu'ils prétendent traiter" ont dit de nombreux médecins eux-mêmes dans des revues médicales spécialisées. Par exemple les Œstrogènes de synthèse administrés pour une tumeur bénigne de prostate, infligent un cancer mortel et en prime, avant le décès, un ulcère de l'estomac...Ce n'est qu'un exemple parmi une foule d'autres.
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