04 juin 2018

La Deutsche Bank sera-t-elle le Lehman Brother des Européen ?


La Deutsche Bank a été une pièce maîtresse, manœuvrée par le Conseil des Treize afin de renforcer le potentiel stratégique de la Russie, précisément en vue des événements attendus : à savoir la concrétisation du plan conçut par le Maréchal Ogarkov dans les années 70. Les méandres des activités de cette banque allemande a des implications politiques et financières incluant de nombreux banquiers occidentaux, le Kremlin, le président américain, des politiciens, des hommes d’affaires et oligarques russes, des banquiers du secteur bancaire d’anciennes nations du bloc soviétique (comme la Moldavie), etc. Un système de corruption impliquant tout le processus décisionnel des Etats. En 2014, il y eut les JO d’hiver de Sotchi. On s’est bien gardé de révéler que la Deutsche Bank avait été le plus grand prêteur occidental pour ces JO d’hiver. Le groupe ALFA du bloc de commandement russe revient en force. Le Kremlin et l’entourage de Donald Trump. La City, la Deutsche Bank et la banque d’état russe VTB.

L’ancien PDG de la Deutsche Bank, J. Ackerman, a reconnu dans une interview de juin 2016 que le blanchiment d’argent avait été le modèle d’affaires de Chypre. Son nom est associé à celui de Wilbur Ross, le généreux donateur pour D. Trump (son actuel ministre du Commerce) et pour le Premier ministre israélien B. Netanyahu. Conclusion sur la véritable histoire d’une banque européenne stratégique pour le Conseil des Treize. Trois dates fondamentales du Plan Occulte : 31 décembre 1999 / 11 septembre 2001 / 21 août 2013. Les confidences de « Lionel » du 21 janvier 2017 : voilà le nouveau monde qu’imposeront d’ici seize mois les maîtres occultes de l’Échiquier planétaire.

La récente actualité autour de DEUTSCHE BANK n’est absolument pas fortuite. Depuis de nombreuses années, dans le cadre de la lettre LIESI et surtout de LISO, nous avions indiqué que la plus importante banque allemande connaîtrait un effondrement spectaculaire. Il est en soi normal que le projet de la Haute finance, passant par l'implosion de la zone euro à partir du secteur bancaire, cible… la plus grosse banque allemande.

La récente actualité financière revient donc sur la DEUTSCHE BANK, mais dans le cadre d’une guerre commerciale (annoncée par la source « Lionel » en janvier 2017) avec l’Europe, la rupture unilatérale des Accords avec l’Iran par l’agent sioniste Donald Trump (dont la survie financière a été en partie le fait de manœuvres consentantes de la direction de la DEUTSCHE BANK – voir les numéros publiés sur ce sujet).

L'agence de notation financière Standard and Poor's (S&P) vient d’abaisser d'un cran, à BBB+, la note de la dette à long terme de la Deutsche Bank. Elle pointe «des risques d'exécution considérables pour la nouvelle stratégie du groupe sur fond d'un marché défavorable».

A cela il faut ajouter le commentaire du Federal Deposit Insurance Commission (FDIC), l'organisme américain de garantie des dépôts bancaires, précisant que la plus grosse banque allemande menaçait la survie du secteur bancaire !

Ce n’est pas tout : la banque centrale américaine annonce qu’elle classe la Deutsche Bank dans la catégorie des institutions « en difficulté » (Wall Street Journal).
Logiquement, le cours de la banque allemande a presque plongé de 10% pour se reprendre vendredi. Néanmoins, comme le souligne Sputniknews : « …les ventes ont frappé également ce qu'on appelle les CoCo bonds de la banque — ou ‘contingent convertible bonds’. A présent, leur rendement est même plus bas que ceux de l'Ukraine ».

Logiquement, le note de solvabilité financière de Deutsche Bank sera encore rétrogradée.

Est-ce pour autant que le gouvernement de Berlin devient plus humble, faisant un mea culpa pour son attitude bien légère dans cette affaire ? Pas du tout ! Quelques-uns de ses politiciens ont des mots très durs contre les Italiens alors que l’Allemagne est en première position pour provoquer une onde de choc systémique sur la planète finance. Bien évidemment, ce n’est pas elle qui poussera le premier domino dans l’abîme, mais cela viendra du cartel bancaire, propriétaire des banques centrales occidentales qui, cette fois, ne feront rien pour éviter une crise comme le pensent ces « idiots utiles » dont parlait Lénine à propos des Occidentaux.

Est-ce que les gens prennent conscience du danger ? 

Non, le 1er juin on s’est rué sur les actions et les banques européennes dans un contexte où les néo-conservateurs de Washington et de Chicago manifestent plus lisiblement leur haine de l’Europe.

Certainement que quelques retardataires ont compris le message envoyé par la banque centrale américaine et ont coupé court à tout lien avec ce qu’il convient d’appeler un « Lehman puissance dix »…

Source Lettre Liesi

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