Le procureur, en charge du dossier, a estimé qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour condamner l’accusé de viol et l’a relâché.
Joakim Magnus Lamotte affirme que les autorités n’ont pas tenu compte des preuves manifestes. Adnan, le voisin d’Angelica, accompagné de son ami Samir s’étaient rendus ont allés chez elle un après-midi. Angelica prenait des somnifères, donc elle ne se souvenait pas de l’heure exacte, mais elle se rappelait que l’un d’eux l’avait poussée à tomber dans son lit et l’avait violée.
D’après son témoignage l’agression a été encore plus douloureuse, qu’Angelica avait ses règles à ce moment-là et qu’elle utilisait un tampon hygiénique.
L’enquête de Lamotte montre que la police et le procureur ont ignoré plusieurs éléments de preuve. Par exemple, ils n’ont pas analysé l’ADN retrouvé dans l’appartement de la victime, qui présentait également des « signes de viol et d’agression« .
Durant son interrogatoire par la police, Samir l’ami du violeur a reconnu qu’il se trouvait dans l’appartement d’Angelica, mais le procureur a tout de même décidé de classer l’affaire pour « manque de preuves ».
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