L’obésité infantile constitue aujourd’hui une raison qui autorise l’Etat à enlever les enfants à leurs parents. Les autorités considèrent que si un enfant est obèse, la faute est à rechercher chez les parents qui n’auraient pas été capables de nourrir convenablement leur enfant. On suppose que l’obésité infantile résulte d’un régime alimentaire. Nous savons cependant tous que les enfants sont différents en matière de poids et de nourriture. Certains enfants peuvent se nourrir très mal (malbouffe) la plupart du temps et ne jamais prendre de poids, alors que certains enfants peuvent suivre un régime alimentaire sain et bio et prendre des kilos.
Le Dr. J. Bart Classen a publié une étude qui donne la preuve accablante que l’obésité infantile ne dépend pas essentiellement d’un régime alimentaire, mais bien d’une « inflammation induite par les vaccins ».
Communiqué de presse
Un article récemment publié dans le « Journal of Endocrinology, Diabetes & Obesity, 5(3) : 1107 par l’immunologiste J. Bart Classen, MD. fournit de nouvelles preuves des dangers présentés par les vaccins..
Le document examine les preuves sans cesse croissantes que de nombreux cas d’obésité, de diabète de type 2 et de syndrome métabolique sont des maladies inflammatoires, et que l’inflammation provoquée par les vaccins est la cause de l’épidémie de ces maladies.
En recevant un vaccin, le système immunitaire de certains individus devient hyperactif conduisant à une destruction auto-immune des cellules sécrétrices d’insuline et au développement du diabète de type 1. Beaucoup d’autres individus produisent du cortisol et d’autres molécules pour supprimer l’inflammation induite par le vaccin. Cette augmentation de la production conduit au diabète de type 2, à l’obésité et au syndrome métabolique. Le nouveau document examine les preuves qui montrent que les vaccins, et non nécessairement l’alimentation provoquent des épidémies d’obésité, de diabète de type 2 et du syndrome métabolique.
Le Dr J. Bart Classen déclare :
« Le nouveau document examine la preuve que les vaccins sont beaucoup plus dangereux que ce que le public peut être amené à croire. Des tests adéquats n’ont jamais été effectués pour indiquer qu’il existe une amélioration générale de la santé par la vaccination. Un problème majeur avec les vaccins est l’approche à dose unique passe partout. Afin d’induire une protection contre l’infection dans 1% d’une population avec un système immunitaire parmi les plus faibles, les vaccins stimulent le système immunitaire des 99% restants de la population, ce qui entraîne des épidémies de maladies inflammatoires. »
ABSTACT/RESUME :
Il existe une épidémie d’obésité, de diabète de type 2, de syndrome métabolique et de maladies associées. Les patients souffrant de ces maladies ont souvent des marqueurs d’inflammation accrue. De nombreux chercheurs ont publié que la surcharge nutritionnelle provoquait l’épidémie d’obésité et l’inflammation associée qui conduit au diabète de type 2 et au syndrome métabolique. Une vision contrastée a fourni de nombreuses preuves que la surcharge immunitaire induite par les vaccins a provoqué une épidémie d’inflammation. Et, c’est cette inflammation qui a provoqué des épidémies d’obésité, de diabète de type 2 et de syndrome métabolique. Les données de ces manuscrits prouvent que la surcharge immunitaire et non la surcharge nutritionnelle, a été le principal facteur contribuant aux épidémies et à l’inflammation associée aux épidémies d’obésité. Plusieurs éléments de preuve sont examinés, y compris la preuve que l’inflammation précède l’obésité chez de nombreux patients, le manque d’inflammation chez de nombreux patients obèses, une épidémie d’inflammation chez des patients minces et une épidémie d’obésité chez des enfants de moins de 6 mois. L’échec de la lutte contre l’épidémie d’obésité est lié à l’accent mis sur la nutrition, et à l’ignorance de la cause racine, la surcharge immunitaire induite par les vaccins. Une fois qu’un patient a développé un syndrome métabolique avec des éléments favorisant le diabète de type 2, les thérapeutes soumettent trop souvent leurs patients à une surcharge immunitaire accrue en administrant des vaccins annuels contre la grippe, ainsi que de nombreux autres vaccins. Cette manière de faire rend le syndrome métabolique plus difficile à inverser. Le plan visant à réduire l’obésité doit être axé sur la prévention de la surcharge immunitaire, et ne pas culpabiliser les patients pour leur alimentation. L’épidémie d’obésité peut être inversée par l’arrêt des pratiques de vaccination qui entraînent une surcharge immunitaire.
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