Charles Darwin
La science est catégorique sur le sujet : non il n’y a pas eu de géants civilisés sur la terre en des temps lointains, l’homme intelligent et évolué n’est apparu que très récemment dans l’histoire du monde ! Les Darwin, Cuvier, Wallace et autres paléontologues, ont eu raison de toutes les croyances, les mythes et les religions, balayant ainsi d’un revers de manche des pans entiers de l’histoire du monde avec pour référence les découvertes scientifiques « qui se veulent » incontournables.
Certes la science a permis de faire de grands pas à l’humanité et quel que soit le domaine considéré les faits sont indéniables. Pourtant, on oublie de noter que la science elle-même évolue et que ce qui était vrai hier ne l’est plus forcément aujourd’hui.
Tous les domaines sont touchés par cette loi non écrite : histoire, paléontologie, archéologie, astronomie, médecine… Nous avons tous pu noter que sont mis au placard des faits scientifiques d’hier contestées par des chercheurs d’aujourd’hui.
C’est cela qui fait évoluer la science et c’est un bien. Mais voilà, sans brandir les tribunaux philosophiques, force est de constater que les savants trop « novateurs » doivent entamer une lutte de longue haleine pour arracher la reconnaissance de leurs pairs lors de découvertes insolites. De plus, si d’aucun s’aventure à changer l’ordre des structures établies depuis longtemps, alors des voix s’élèvent du temple de la science pour réfuter de nouvelles connaissances. C’est ainsi qu’au cours des siècles et encore aujourd’hui, beaucoup de faits ont été occultés parce que trop dérangeant ou n’entrant pas dans le moule raisonnable de l’Académie.
La paléontologie est encore aujourd’hui balbutiante. De plus en plus rapidement de nouvelles pistes viennent réfuter les anciennes et l’on recule de plus en plus l’origine de l’homme. Toumai semble être le plus ancien de nos ancêtres mais jusqu’à quand ? Demain, au hasard d’une découverte, qu’en sera-t-il ? Peut-on vraiment croire à cette histoire d’être simiesques et primitifs qui furent nos aïeux ?
La science bien que très honorable est un dogme qui a remplacé celui qui primait au temps de l’Inquisition avec la Papauté : hors de l’Église point de Salut ! était-il dit. Aujourd’hui c’est la science qui a raison de tout car elle fait régner le dogme de la raison et hors de la sacro-sainte science nulle place à des hypothèses hardies et fondées, qui pourraient accélérer les choses.
Tout compte fait cela est tout de même appréciable dans la mesure où cette méthode joue le rôle d’un garde-fou évitant à des esprits égarés de plonger dans les abîmes insondables du n’importe quoi.
Les géants et l’origine de l’humanité
Depuis l’Antiquité, force est de constater que de nombreux peuples firent des découvertes étranges aussi bien de traces de vies que d’objets enfouis dans le sol. Il n’est pas question de citer ici des trouvailles auxquelles on a attribué –faute de connaissances scientifiques suffisantes- des origines grotesques. Que se soit dans des textes antiques ou plus récents, on retrouve des récits dont l’honnêteté ne peut être mise en doute et qui rapportent des découvertes d’ossements géants que l’on a attribués à des humains.
Il se trouve que, souvent, par méconnaissance, on a imputé jadis à des humains ce qui n’était que des ossements de dinosaures. Voici pourquoi et de bonne foi, beaucoup de personnes ont pu se méprendre par le passé devant des tas d’os aussi gigantesques soient-ils. Pourtant, même si nombreuses furent les méprises, nombreuses aussi furent les révélations d’hommes éclairés, dont la parole ne peut être mise en doute, face à des restes absolument stupéfiants. Voici une liste non exhaustive puisée dans des ouvrages anciens qui présentent des faits troublants :
Caius Julius Solin rapporte que pendant la guerre de Crète lors du débordement d’une rivière on trouva les os d’un homme de 16,7 m de hauteur selon le rapport du lieutenant Fraccus.
Pline nous dit dans son Histoire naturelle Livre 7 chap. 6 que l’on trouva également en Crète après l’effondrement d’une colline du à un tremblement de terre, les restes d’un homme de 22m de hauteur que l’on croyait être les restes du géant Orion.
Philostrate raconte que sur le renversement d’une côte sur la rive d’Oronte on découvrit le sépulcre de l’Ethiopien Ariadne de 14m de haut et que l’on trouva aussi dans une caverne du Mont Sigée un squelette de 10, 71 m.
Fesellus nous assure qu’en 1516 Jean Tranciforte, comte du bourg de Mazarino ayant fait creuser son champ y trouva une tombe dans laquelle se trouvait le corps d’un géant de près de 9,7m. Il dit encore qu’entre Syracuse et Leontin on trouva à Mellitis un sépulcre avec de nombreux os de géants.
Dans la même région en 1547 dans le territoire de Palerme, dans une montagne que l’on creusait pour obtenir su salpêtre, on trouva les restes d’un géant de 8,7m.
Phlegon dit que les Carthaginois découvrirent dans une caverne deux coffres dans lesquels reposaient des os humains de géants. Il dit encore qu’en Égypte près de Litres existait un lieu où l’on découvrit des géants aussi grands que ceux découverts en Sicile (De Reb Mirabilis).
Tertullien lorsqu’il voulait prouver la résurrection cite les squelettes de géants qu’on trouvait dans les champs à son époque. De resurreccion carnis.
Suétone parle d’ossements de géants découverts dans l’île de Caprée.
Plutarque rapporte que Sertorius, se trouvant en Mauritanie ouvrit le sépulcre d’Antée y trouva un squelette de 34,15m.
Antonius Pagafeta nous dit que dans le détroit de Magellan il existe des hommes d’une taille prodigieuse.
Sigilbert rapporte qu’en 1171 en Angleterre un débordement d’eau fit ressurgir les restes humains d’un géant mesurant 16 m de hauteur.
Fulgiesus chap. 6 livre 1 nous dit que sous le règne de Charles VII on découvrit un sépulcre abritant les restes d’un géant mesurant 9, 71 m dans les collines du Vivarais près de Valence.
Coleius Rhodiginus rapporte que près de la même ville on trouva sous le règne de Louis XI un géant de 5,84 m
En 1505 on trouva dit-on à Rouen le squelette « d’un chevalier » gigantesque dont le crâne contenait un boisseau de blé et dont le tibia atteignait la ceinture des hommes de l’époque (il devait mesurer 3,30m)
En Allemagne en 1594, dans la contrée de Greifswald on fit repolir et regratter des tombeaux de géants. Les tailleurs de pierre y trouvèrent des squelettes longs de 3,63m et 5, 28m avec des ruches à côté.
L’abbé Pègues nous révèle dans son ouvrage intitulé Les Volcans de la Grèce, que :
Dans le voisinage des volcans de l’île Théra, on découvrit des géants aux crânes énormes, enfouis sous des pierres colossales dont l’érection dut nécessiter partout l’emploi de forces titanesques.
Cieza de Leon qui fut le premier explorateur européen de la fantastique cité de Tiahuanaco obtint de son guide la déclaration suivante :
Tiahuanaco fut construite en une nuit par des géants inconnus venus d’un monde lointain.
Tous les peuples sans se concerter parlent de semblables découvertes.
Les Patagons
La plus impressionnante description de « géants contemporains » se trouve dans l’ouvrage : Relation du premier voyage de Magellan autour du monde. En effet, Magellan et son équipage découvrirent près de la Terre de Feu un peuple étrange de haute taille, dernier vestige d’une civilisation certainement très ancienne. La description qu’ils en font permet de supposer que ces géants devaient mesurer plus de 3mètres de hauteur. Plus tard Magellan donna à ce peuple le nom de Patagons et au pays, la Patagonie. Voici un morceau choisi relatant la rencontre :
Ayant continué au sud leur navigation, ils arrivèrent à un pays habité par un peuple fort sauvage et d’une stature prodigieuse. Ces géants faisaient un bruit effroyable ressemblant au mugissement des bœufs. Nonobstant leur taille gigantesque, ils étaient si agiles qu’aucun Espagnol ne pouvait les égaler à la course. Les marins poussèrent ensuite un peu plus loin vers le sud qu’ils croyaient inhabité. Mais voilà qu’un sauvage des contrées voisines vint les visiter. Il avait l’air vif, vigoureux chantant et dansant tout le long du chemin. Etant arrivé au port, il s’arrêta et répandit de la poussière sur sa tête. Les hommes descendirent du navire, allèrent vers lui et l’amenèrent à bord. Sa taille était si haute que la tête d’un homme de taille moyenne de l’équipage de Magellan ne lui allait qu’à la ceinture et il était gros à proportion.
Illustration : Les géants Patagons d’après une gravure d’époque
Magellan fit boire et manger ce géant, qui fut alors joyeux jusqu’à ce qu’il eut regardé son visage dans un miroir qu’on lui avait donné entre autres bagatelles. Il tressaillit en reculant d’effroi et renversa deux hommes qui étaient près de lui. Il était si bien avec les Espagnols que ceux-ci se trouvèrent bientôt en la compagnie de plusieurs de ces géants…
Peut-on nier toutes ces chroniques des temps passés ? Doit-on prendre ces historiens pour des naïfs ou des menteurs ? Certainement pas d’autant que l’Histoire se réfère à eux encore aujourd’hui. Plutarque ou Pline sont des repères en la matière et ils savaient, comme le saurait un enfant aujourd’hui, qu’on ne met pas dans un sépulcre des os d’animaux mais bien un être humain. Qui donc étaient ces géants du passé avec des tailles aussi hautes : 3, 6m – 5, 2m – 9m – 16m – 22m ou 34 m de hauteur ?
A la lumière des textes anciens
Pourquoi de tous temps les civilisations ont-elles insisté sur ces races de géants qui vivaient sur la planète à des époques immémoriales ? Malheureusement rien ne subsiste de ces évènements passés qui apporteraient une plus grande lumière sur nos origines, si des archéologues avaient pu se pencher sur ces tombes antiques et ces ossements humains. Mais à l’époque, ces découvertes faisaient peur et on se dépêchait vite de les faire disparaître pour ne pas s’attirer de mauvaises influences mais surtout par manque d’intérêt. C’est ainsi que de véritables trésors disparurent comme disparurent dernièrement -pour d’autres raisons- ces vestiges atlantes : les statues de Bâmiyân ! (voir article de G.Delaage)
Le Ramayana et les Pourânas
Les Gibborim ou géants de la Bible sont en fait les Rakshasas des Hindous et représentent tous deux les Atlantes avant la submersion du continent. Ces fameux Rakshasas présentés dans le Ramayana et dans les Pourânas, sont les célèbres géants qui combattirent Ram mais dont certains le rejoignirent grâce à Hanuman le géant au faciès de singe (ce qui correspond à l’apparence qui leur était propre alors). La Doctrine Hermétique nous enseigne que certaines de ces races antiques avaient des visages rappelant la physionomie des statues de l’île de Pâques, derniers vestiges encore visibles des Lémuros-atlantes.
Photo ci-dessus : Fresque représentant la bataille des Rakshasas et des singes à Angkor – © D. Wilmot
La Mésopotamie
D’après Eusèbe, les prêtres babyloniens nous disent que Babylone fut fondée par ceux qui échappèrent au Déluge : c’étaient des géants, ils construisirent la tour dont il est question dans l’histoire. Ces géants « fils de Dieu » reçurent une instruction complète des choses secrètes et instruisirent les prêtres à leur tour. Ils laissèrent en dépôt dans leurs temples les connaissances dont ils étaient les témoins. Il y aurait beaucoup à dire sur cette transmission de la connaissance en Mésopotamie. De nombreux auteurs, en toute sincérité, se sont engagés dans des hypothèses hasardeuses quant à ces géants fondateurs de l’histoire mésopotamienne. Certains même se sont engouffrés dans des théories fumeuses qui se situent bien loin de ce que la Doctrine Hermétique nous enseigne.
Photo : Gilgamesh et le lion
La Bible
Particulièrement dans la Genèse, la Bible nous présente ces géants extraordinaires des premiers temps. Qu’ils soient nommés Anaquims, Gibborim, Emim, Nephilim ou autres Rephaim, ces êtres gigantesques qui parsèment les textes de l’Ancien Testament ne sont pas des fables inventées par les commentateurs. L’erreur qui consiste à les considérer ainsi vient de ce que les rédacteurs de la Genèse, qui rapportaient les évènements du passé, ont fait en sorte de les insérer dans le décor de leur époque, d’où un certain anachronisme.
Ils ont bel et bien existé, nous dit la Doctrine Hermétique, en des temps très anciens et faisaient parti de ce qu’il est communément habituel d’appeler : la race lémurienne des premiers temps qui, au fil des millénaires d’évolution, se transforma par la fusion avec la race atlante. Ils sont aussi représentés par les fameux Titans dont parlent les poèmes d’Hésiode et d’Homère, ou bien encore les Cyclopes dont l’un d’entre eux, Polyphème, eut maille à partir avec Ulysse et ses marins. Moïse nous présente Og un roi dont le lit mesurait plus de 5m.
L’Edda
La Völuspa texte de la Voyante tiré de l’Edda des Norrois ou Islandais, nous dit :
Je me rappelle les géants
Nés à l’aube des temps,
Eux qui, il y a bien longtemps
Me donnèrent la vie
Neuf mondes je me rappelle,
Neuf immenses étendues,
Et le glorieux Arbre du Monde
Encore enfoui dessous terre.
(Compilé et traduit par Snorri Sturluson)
Là encore, il s’agit de ces géants des premiers âges, les mêmes que ceux qui furent décris dans la Bible ou bien encore les textes sacrés de l’Inde. La guerre des Ases avec les géants de la glace est célèbre et situe cette ère fantastique d’une histoire oubliée. Mais à bien y regarder, un chercheur peut très bien tracer un fil d’Ariane logique entre tous ces textes antiques et y lire la même histoire avec, à chaque fois, des détails nouveaux qui complètent l’ensemble.
La Völuspa texte de la Voyante tiré de l’Edda des Norrois ou Islandais, nous dit :
Je me rappelle les géants
Nés à l’aube des temps,
Eux qui, il y a bien longtemps
Me donnèrent la vie
Neuf mondes je me rappelle,
Neuf immenses étendues,
Et le glorieux Arbre du Monde
Encore enfoui dessous terre.
(Compilé et traduit par Snorri Sturluson)
Là encore, il s’agit de ces géants des premiers âges, les mêmes que ceux qui furent décris dans la Bible ou bien encore les textes sacrés de l’Inde. La guerre des Ases avec les géants de la glace est célèbre et situe cette ère fantastique d’une histoire oubliée. Mais à bien y regarder, un chercheur peut très bien tracer un fil d’Ariane logique entre tous ces textes antiques et y lire la même histoire avec, à chaque fois, des détails nouveaux qui complètent l’ensemble.
Le Popol-Vûh
Le Popol Vûh raconte qu’une race de Géants a peuplée le monde au cours du Second Soleil. D’après le Livre Sacré Maya il est dit que lorsque la lumière et le Soleil se furent levés à l’Est, apparurent des Géants difformes qui devinrent maîtres de la terre. Avant le commencement du monde, Ixmucané, la mère des dieux réunit ses cinq enfants, les Géants de la Terre, Les Maîtres artisans du Jour et du Soir et Kukulkan, le serpent à plumes, afin d’accomplir la création de la Terre, des plantes et des animaux. Mais quand vient le tour de l’homme, les difficultés commencent. Ixmucané veut qu’il soit façonné dans l’argile, par les Géants…
Ce sont ces mêmes géants décrits dans le Pol-Vûh qui furent à l’origine de l’édification des cités colossales comme Tihuanaco en Bolivie, Sacsayhuaman, Cuzco, Marcahuasi au Pérou. Ce sont eux encore qui construisirent les fameuses statues toltèques de Mexico aux derniers temps atlantes etc…. Et ces pays d’Amérique du Sud n’ont pas fini de nous livrer tous leurs secrets au sujet de ces civilisations disparues.
L’Égypte
L’histoire de l’Égypte que nous connaissons est tardive et bien que les égyptologues soient convaincus que cette civilisation ne remonte qu’à 4500 ans, la Doctrine Hermétique parle d’une Égypte plus ancienne, héritière de la tradition atlante après le cataclysme qui engloutit la dernière île du continent. A cette époque les rescapés atlantes qui se mélangèrent aux Égyptiens étaient des géants pour les autres civilisations. Leur taille était imposante (3,5 ou 4m) malgré la diminution due à l’évolution. Parmi eux étaient les Rois divins dont l’Égypte que nous connaissons n’a gardé qu’un souvenir diffus. Diodore de Sicile nous dit qu’à l’époque d’Isis des hommes étaient très grands et étaient qualifiés de géants par les Hellènes.
Bien évidemment, d’autres Textes et codex anciens abordent de manière précise l’origine de l’humanité et des géants bâtisseurs et créateurs. Un article comme celui-ci ne suffirait pas à exploiter l’intégralité du sujet. Il est également à noter que chez tous les peuples on trouve des lieux de sépulture, dolmens ou menhirs gigantesques : France, Angleterre, Pérou, Inde, Suède, Espagne, Afrique, Palestine, Sardaigne, Algérie, Russie, Bolivie etc…
Si tous les peuples parlent ainsi des géants comme des êtres fabuleux qui vivaient sur terre avant le Déluge, il est évident qu’ils n’ont pu inventer ces histoires très précises qui relatent un combat titanesque dont le résultat fut l’extinction de leur race. De plus ils étaient souvent qualifiés de « fils de Dieu » ou « fils des Dieux », leurs pouvoirs étaient colossaux et leur force fabuleuse. Qui étaient ces géants des origines ? A quoi correspondent-ils dans l’histoire de l’humanité ? Pourquoi la science ne s’est-elle jamais attardée sur cette époque ignorée par l’évolution des espèces si chère à Darwin ? C’est à ces questions que nous tenterons d’apporter quelques éclaircissements dans le prochain article :
Les géants et l’origine de l’humanité
Partie 2 : Les découvertes
Le Popol Vûh raconte qu’une race de Géants a peuplée le monde au cours du Second Soleil. D’après le Livre Sacré Maya il est dit que lorsque la lumière et le Soleil se furent levés à l’Est, apparurent des Géants difformes qui devinrent maîtres de la terre. Avant le commencement du monde, Ixmucané, la mère des dieux réunit ses cinq enfants, les Géants de la Terre, Les Maîtres artisans du Jour et du Soir et Kukulkan, le serpent à plumes, afin d’accomplir la création de la Terre, des plantes et des animaux. Mais quand vient le tour de l’homme, les difficultés commencent. Ixmucané veut qu’il soit façonné dans l’argile, par les Géants…
Ce sont ces mêmes géants décrits dans le Pol-Vûh qui furent à l’origine de l’édification des cités colossales comme Tihuanaco en Bolivie, Sacsayhuaman, Cuzco, Marcahuasi au Pérou. Ce sont eux encore qui construisirent les fameuses statues toltèques de Mexico aux derniers temps atlantes etc…. Et ces pays d’Amérique du Sud n’ont pas fini de nous livrer tous leurs secrets au sujet de ces civilisations disparues.
L’Égypte
L’histoire de l’Égypte que nous connaissons est tardive et bien que les égyptologues soient convaincus que cette civilisation ne remonte qu’à 4500 ans, la Doctrine Hermétique parle d’une Égypte plus ancienne, héritière de la tradition atlante après le cataclysme qui engloutit la dernière île du continent. A cette époque les rescapés atlantes qui se mélangèrent aux Égyptiens étaient des géants pour les autres civilisations. Leur taille était imposante (3,5 ou 4m) malgré la diminution due à l’évolution. Parmi eux étaient les Rois divins dont l’Égypte que nous connaissons n’a gardé qu’un souvenir diffus. Diodore de Sicile nous dit qu’à l’époque d’Isis des hommes étaient très grands et étaient qualifiés de géants par les Hellènes.
Bien évidemment, d’autres Textes et codex anciens abordent de manière précise l’origine de l’humanité et des géants bâtisseurs et créateurs. Un article comme celui-ci ne suffirait pas à exploiter l’intégralité du sujet. Il est également à noter que chez tous les peuples on trouve des lieux de sépulture, dolmens ou menhirs gigantesques : France, Angleterre, Pérou, Inde, Suède, Espagne, Afrique, Palestine, Sardaigne, Algérie, Russie, Bolivie etc…
Si tous les peuples parlent ainsi des géants comme des êtres fabuleux qui vivaient sur terre avant le Déluge, il est évident qu’ils n’ont pu inventer ces histoires très précises qui relatent un combat titanesque dont le résultat fut l’extinction de leur race. De plus ils étaient souvent qualifiés de « fils de Dieu » ou « fils des Dieux », leurs pouvoirs étaient colossaux et leur force fabuleuse. Qui étaient ces géants des origines ? A quoi correspondent-ils dans l’histoire de l’humanité ? Pourquoi la science ne s’est-elle jamais attardée sur cette époque ignorée par l’évolution des espèces si chère à Darwin ? C’est à ces questions que nous tenterons d’apporter quelques éclaircissements dans le prochain article :
Les géants et l’origine de l’humanité
Partie 2 : Les découvertes
Guillaume Delaage
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