En 2016, Uber avait cumulé 2,8 milliards de dollars de pertes pour un chiffre d’affaires de 6,5 milliards d’euros.
Autant dire que l’avenir d’UBER, qui « ubérise » la société entière, n’est pas autant assuré que cela, même si à court terme, la société dispose d’une trésorerie de… 7 milliards de dollars, ce qui est colossal mais pas tant que cela vu la vitesse à laquelle Uber « brûle » son cash.
Encore une fois, cela montre que le low cost a aussi ses limites « physiques » et que la course sans fin aux bas coûts finit par poser des problèmes existentiels aux entreprises elles-mêmes.
Charles SANNAT
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