20 juin 2017

Codex Lunas : La Lune ne sera plus jamais la même. Partie #2


La NASA nous a présenté le portrait d’une lune grise, poussiéreuse, sèche, d’une monotonie à rendre fou d’ennui. Une lune sans surprises, analysée et réfléchie sous toutes ses coutures, qui répondait tout à fait aux attentes telles qu’édictées par nos brillants scientifiques bien avant la première fusée Apollo.

Exit les anciennes croyances et observations de la lune. Exit les canaux et les mers. Exit les lumières qui apparaissaient ici et là. Exit la verdure qui sourdait avec les saisons et même l’air qui se distinguait parfois au ras du sol. La Lune n’était plus qu’un éternel caillou mort, sec, sans atmosphère, virevoltant dans l’espace.


Et des voyages sans surprises. Trois individus enfermés pendant trois semaines dans une minuscule boite en fer blanc par plus grande qu’une 2 CV posée au sommet d’une bombe titanesque à détonation contrôlée construite par le plus bas soumissionnaire conforme, lancée dans le vide sous l’autorité d’un ordinateur de bord de la capacité d’une grosse règle à calcul, avec l’espoir de se poser à la surface d’une autre planète située à 380,000 km, avant de refaire le voyage en sens inverse et d’en revenir sains et saufs, avec un trésor géologique constitué de quelques poches de cailloux et de poussières, un « must » qui aura servi et sert encore à justifier cette lancée.

Pas une fois, ni deux, mais ils ont répétés ce voyage à la surface de l’éternel-caillou-sans-surprise à six reprises. En ajoutant les missions préparatoires, les missions non habitées, les satellites d’analyses, et l’armée de scientifiques, de techniciens, de manœuvres et de sous-traitants qui ont été nécessaires à la réalisation de cette architecture pendant plusieurs décennies, la mission Apollo n’était certainement pas une mince entreprise.

Pendant 14 ans, d’innombrables efforts ont été investis à la réalisation de ce programme, en plus de la vingtaine d’astronautes ayant été utilisés à ces missions, c’est plus d’une trentaine d’autres qui ont mis leurs vies en jeu pour repousser un peu plus les frontières de l’espace. En tout, le programme Apollo a nécessité plus de 1,5 million de travailleurs, dont 400,000 employés directs, qui ont coûté aux contribuables la somme de 35 milliards de dollars. Et ce n’était là que la version civile de la chose, puisque l’armée américaine y avait déjà investi plus de 25 milliards de dollars. À cette somme, la Russie engagea un autre 15 milliards de dollars et une quantité similaire de ressources sur la facture totale avec son programme spatial Soyouz.

En tout, 75 milliards de dollars ont été investis dans la course à la lune, une quantité gigantesque de ressources qui somme toute auront rapporté - une connaissance inestimable de la géologie très ancienne de la Lune – acquise au cours des 12 jours (12 jours total) passés sur cet éternel caillou, ainsi qu’un extraordinaire - 384 kilos de précieux cailloux et de poussières - pareils à ceux qu’on retrouve sur la terre.


Lancé par la fameuse enlevée de Kennedy « We choose to go to the moon! », l’expédition au caillou-loin-dans-l’espace prenait subitement une vague allure de compétition de cour d’école qui allait alimenter durant une décennie une course effrénée à la vie à la mort avec la Russie. Beaucoup de ressources et d’excitations pour un résultat qui jonglait déjà avec le connu bien avant que ne débute la construction de la première fusée Apollo.



Comme s’ils répétaient une mauvaise pièce de théâtre, ils ont recommencé à six reprises.

Il va de soi qu’une telle entreprise a eu comme conséquence de soulever l’ire du payeur de taxes américain, en plus des nombreuses questions sur les motifs véritables de ces expéditions.

Géologie, connaissances scientifiques et transfert au domaine civil, dirent-ils en cœur, alors que des 20 astronautes ayant effectué le voyage à la lune, 19 étaient des militaires et un seul était un civil scientifique. Les connaissances scientifiques de la Lune sont d’un intérêt limité qui ne justifiait aucunement une telle dépense.

Pas les connaissances scientifiques sur la lune, reprirent-ils en cœur, mais celles de la course à l’espace! Ils nous apprenaient qu’en rétrospective, tout le programme Apollo n’avait eu comme objectif que de donner une avance stratégique à l’Amérique dans la course à l’espace.

D’un coup de crayon, la « course à la lune » venait de disparaître pour faire place à la « course à l’espace », une course à la militarisation de l’espace terrestre immédiat, un concept paradoxal garantissant la liberté de l’espace terrestre par sa domination par l’Amérique.

Malgré toutes les explications, la grande image ne cadrait simplement pas. Si certitude il y avait, elle était que l’Amérique était capable de se mentir à elle-même.

Des drapeaux plantés sur la Lune qui battent au vent, des studios de production cinématographique prêts à prendre la relève d’un alunissage raté, des étoiles inexistantes dans un ciel d’encre, un soleil qui ressemble à un projecteur haute intensité, des milliers de photographies et de mètres de pellicules perdues, ou oubliées sur la lune, ou manquante par les pannes de caméra à plus d’une reprise, ou brouillée. Tout cela par une NASA qui semble inventer des réponses au fur et à mesure des questions. La controverse sur la série Apollo et le voyage à la Lune est comme un feu de paille qui ne s’éteindra jamais, opposant les idées jusqu’à mettre en doute tout le programme Apollo.

Une opposition telle, qu’aucune idée intermédiaire n’arrive plus à se glisser.

Il est possible que la vérité soit ailleurs.

Si la NASA a communiqué de l’information sur ses missions, elle en a caché beaucoup plus encore. NASA signifie « National Aeronautics And Space Administration », un nom qui dit tout. C’est une agence gouvernementale qui fut créée dans le but de transférer au domaine civil des connaissances acquises par les militaires.

Architecturée autour d’un ADN militaire remontant à la fin de la guerre, elle n’a jamais eu comme mission d’informer le public, sinon en ce qui concernait la matière civile et dans la mesure où cela n’interférait pas avec la sécurité nationale.

S’il est un endroit où il est possible de constater facilement l’application d’une censure par les spécialistes de l’espace, c’est justement dans les produits dérivés disponibles de la NASA et des autres organisations spatiales, comme entres autre les photos satellites de la Terre, de la Lune et de Mars, toutes disponible à travers des fournisseurs de solution comme Google Earth.

Des hachures, du faux brouillard, de la fausse glace, de la répétition d’images, une résolution parfois si basse, qu’elle est surpassée par celle de la Lune ou de la planète Mars. De nombreux stratagèmes ont été utilisés pour cacher des images satellites de la terre en dépit de la mission apparente d’informer. Il y a bien sûr une censure qui sert aux fins de la sécurité nationale, mais de nombreux endroits sis dans les coins les plus reculés de la planète et même jusqu’au plus profond des mers, ont été ainsi dissimulés. Parfois ce sont des surfaces très grandes, alors qu’à d’autres elles ne sont que des rapiéçages qui ne dépassent pas quelques kilomètres carrés.

Un des endroits particulièrement marqués par cette censure des cartes satellites, c’est la Lune.

Quelle que soit la distance de laquelle on l’observe, elle est constellée de rapiéçages qui nous empêchent toujours d’embrasser globalement l’image que nous avons sous les yeux. Les images de la lune ont toutes été filtrées, nettoyées en profondeur avant d’être uniformisées par l’ajout d’une teinte de gris, réduisant significativement l’appréciation des contrastes pour toutes les distances et sous tous les angles.

En plus de cela, c’est le floutage tous azimuts. Au point où l’on pourrait croire que c’est là le fruit des technologies extrêmes de la photographie de l’époque. Du changement de résolution important, jusqu’au nettoyage des blancs éclatants et des noirs profonds de toute variation, en passant par la mauvaise qualité de l’émulsion des pellicules et un assemblage des images d’une qualité médiocre.

Un patchwork tel, qu’il offre un contraste plus clair lorsque la distance s’accroit et que la résolution se réduit.

Ajoutons-y l’aura de mystère qui règne autour de la première mission d’Apollo 11 dont les pellicules et photos originales du voyage auraient été égarées par la NASA. Malgré le fait surprenant qu’il n’y aurait jamais eu de mission militaire, d’insistantes rumeurs ont fait entendre qu’après que le congrès eu coupé les subsides d’Apollo 18, 19 et 20, les budgets nécessaires sont simplement parvenus d’une autre source et il y aurait eu des missions secrètes ayant pris place sur la Lune.

L’analyse des différentes marche sur la lune, relève des caractéristiques singulières qui reviennent d’une mission à l’autre et qui fournissent certains indices sur les motivations dérobées du programme Apollo.

En dépit d’une rigoureuse formation militaire, tous les astronautes ayant mis le pied sur la lune ont été à un moment ou à un autre en pâmoison devant des rochers qui crevaient la couche de poussière. Dans toutes leurs ballades en véhicule électrique à la surface de la lune, comme une religion, ils visitaient tous les amas de roches qu’ils pouvaient apercevoir.

 
(Notez bien que toutes les images qui suivent sont originales et n’ont subi d’autres modifications qu’un ajustement des contrastes permettant de les rendre visibles.)

Comme dans la mission au cratère Ballet d’Apollo 17, ils allaient même jusqu’à se photographier dans des mises en scène avec de vulgaires morceaux de basaltes.

Dans ce segment d’image panoramique provenant du cratère Ballet lors de la mission d’Apollo 17, il est possible d’apercevoir à la gauche de la photo une mise en scène mettant en vedette une pièce de basalte fraichement déterrée maintenue à un angle de pose par le piolet de l’astronaute.

Tout géologue patenté expliquera qu’en plus de sa position naturelle permettant de voir l’ensablement autour, l’intérêt géologique d’une telle pièce n’est pas tant sa surface, mais sa composition, visible par les strates de sa tranche, qui laisse apercevoir les couches déposées par les différentes époques. Prendre la peine d’arracher la pierre de sa gangue de terre pour la monter de façon à avoir une image nette de sa surface alors que les respirations, les secondes mêmes sont comptabilisées, démontre un intérêt peu banal.

Lorsque nettoyée et réorientée (à droite de l’image en bas) la surface de la pierre laisse voir des marques sombres auxquels les hasards de la nature ont conféré de bien curieuses formes qui s’apparentent vaguement à des profils et des visages humains avec les yeux, le nez et même les peignures.

Sous cet angle, la nature de la lune semble bien différente de celle de la Terre, puisque de telles stries et même des découpes de pierre évocatrices des formes humaines ou animales y apparaissent très souvent. L’œil exercé pourra en relever quelques-uns sur cette seule photo.

Tout ce qu’il faut pour douter d’une présence sur la Lune.



Il n’y a pas que là.

Dans toutes les missions Apollo où les rochers émergent, il est possible de retrouver ces découpes et ces stries aux formes d’apparence animales et humaines parfois marquées.

Des visages aux allures d’ermites, de singes, d’Indiens, de reptiles. Ici dans le Tortilla Flat, les astronautes vaquaient dans un champ de roches rempli de ces formes (les formes ont été éclaircies). Elles n’étaient qu’à deux mètres devant eux.

Des formes qui prennent un air entêtant dès qu’on en découvre l’existence!




Il est connu depuis l’Atlantide que lorsque surviennent les catastrophes climatiques, les grands prêtres sont les premiers à quitter et ils disparaissent pour revenir plus tard.



À gauche, une des pierres longuement scrutées par les astronautes lors du voyage d’Apollo 17. Sur la droite de cette pierre apparait un magnifique visage de la génération des Nubiens ou des Kousch. À sa droite, le visage de Kheops 2600 av. J.-C.




Leur dieu Napata était sous la protection d’Amon, un lézard.

 
En fait, le lézard est tiré d’un bélier dont les cornes ont été coupées, lui conférant un aspect de lézard.

Un territoire conquis et la récupération des symboles au moindre effort.

Pour en revenir à notre caillou lunaire longuement scruté par l’équipage d’Apollo 17, avec sa forme trapézoïdale et ses deux trous sombres sur le dessus, il y a une relation.




Lors de la mission Apollo 15, les deux astronautes en promenade sur le véhicule lunaire se sont arrêtés près du cratère Hadley pour y récupérer des échantillons et prendre des photographies, l’objectif étant de produire un panoramique de 360° en haute résolution autour des astronautes comme ils le firent à de nombreuses reprises.

Les images de la série composant ce panoramique ont été grandement altérées, au point où elles contribuèrent largement à la croyance populaire qu’elles avaient été prises en studio.




Cratère Hadley Apollo 15 : Source Google Moon, Nasa.



En haut, le paysage de la scène, tel que recomposé par les données géographiques et l’imagerie, à partir de l’endroit d’où la photo panoramique fut prise. En dessous, la photo panoramique elle-même, telle que prise par le cosmonaute, avec les anomalies.



Les deux images ont été ajustées pour correspondre et les lignes rouges identifient les correspondances.



En vert, les parties manquantes. À droite complètement de la photo panoramique, il manque près de 30° sur le 360° de l’image, effaçant du coup un segment entier de montagne.

Les sections orange sont celles qui ont été dupliquées, comme il est possible de voir sur l’agrandissement du bas. Cela signifie que l’image originale a été retirée pour être remplacée par un copier – coller d’une section à proximité. Là où l’image n’a pas été segmentée en totalité, un fin découpage a permis de ramener les sections ensemble, au point où la parallaxe ne reflète pas la réalité.

La section en jaune quant à elle n’appartient pas à cette prise de vue. Elle provient d’une autre prise de vue de la même scène, mais à un autre moment, qui a été adaptée à cet endroit.

Dans l’ensemble, c’est plus de 120° de cette image qui ont été soit altérée ou simplement retirée. Évidemment que de telles manipulations possèdent tout ce qu’il faut pour soulever la controverse. Dans cette cause, c’est un atout.




C’est dans les détails que la vérité se retrouve. Voici que la visière du cosmonaute, qui est teintée d’un film d’or pour parer contre le soleil, est un véritable miroir et permet de découvrir une scène tout à fait inattendue, laissant voir des « choses » qui n’apparaissent pas sur le panoramique.




Lorsque corrigée, colorée, retournée et placée devant le cosmonaute, là où la scène devrait apparaitre dans le paysage, voici ce qu’il peut approximativement voir devant lui.

Au bas en blanc apparait le bras de l’astronaute manipulant un outil. Devant lui à sa gauche apparaissent deux personnages à chapeau, dont un semble tirer sur un appareil avec sa bouche. Un peu à l’arrière apparait ce qui pourrait être aussi un personnage. À droite un autre personnage qui semble féminin.

Au loin, vers le centre de l’image, l’autre astronaute qui prend les photos n’est qu’une tache blanche sur une tache noire. Derrière lui apparait ce qui semble être deux véhicules.

Si on effectue les opérations de découpages de l’image panoramique à l’inverse, on obtient approximativement l’espacement nécessaire à cadrer les personnages disparus de l’image d’origine.

Il est significatif de constater que malgré une attirance selon toute apparence immodérée pour les rochers, toutes les missions Apollos ont été parachutées dans des zones complètement désertiques de la Lune recouvertes d’une épaisse couche de poussières, loin des zones rocheuses où l’eau est susceptible d’exister, ou l’homme est susceptible de vivre, où les communautés et les cités sont susceptibles de s’installer. Il faut y voir une stratégie qui n’a rien à voir avec l’information au domaine public.

Ça a été plus que du ramassage de cailloux et de poussières.





Ferroan Anorthosite (du nom de la pierre donné par les géologues) est un de ces vulgaires cailloux ramenés des Highlands lunaires par Apollo 16. Il est exposé au National Museum of National History de Washington. (L’image est d’origine. Seule la luminosité de la partie du bas a été corrigée indépendamment du reste.)


La NASA savait, les astronautes savaient, toutes les missions sur la Lune ont été réalisées pour cette seule raison et il y a eu, sans aucun doute, des vols supplémentaires à ceux qui furent rendus publics.

Ils ne pouvaient pas ignorer et s’ils n’ignoraient pas, sachant ce qu’ils sont, ils n’avaient aucune raison d’agir autrement qu’ils ne l’ont fait, avec leur aura de mystère et la profusion de mensonges. Car ils ont fait beaucoup plus que de ne pas répondre aux questions sous le sceau du secret. Ils ont confectionné des mensonges visant à tous nous induire en erreur.

Tout n’a pas été dit. C’est dans les petits détails que les mensonges se révèlent.

Bilan de cette histoire? La lune n’est pas en chocolat. Qu’on se le dise.

La lune commence à révéler une histoire. Et nous n’en sommes qu’au tout début. Certainement pas celle que nous connaissons, mais il faudra vivre avec, car c’est écrit dans le Codex Lunas.




Codex Lunas : La Lune ne sera plus jamais la même. Partie #3 Ce que nous apprends la Lune.

Ils y ont tous y ont laissés leurs traces. Il y a là beaucoup plus de dormeurs géants au pied carré, qu’à n’importe quel endroit sur les continents terrestres. Figée dans le temps, la Lune devient un porteur d’un message millénaire de notre histoire et nous apprend beaucoup sur notre passé.



Aussi performants soient-ils, il arrive que les ordinateurs et les spécialistes de la NASA oublient des détails apportant de précieux indices.

Et c’est précisément ce qu’il est possible de retrouver à la surface de la Lune.

Des visages, des profils de personnages plus grands que nature, qui nous ressemblent. Une ressemblance qui souvent dérange.

La représentation de gauche pourrait-être un punk avec un œil maquillé qui dépasse d’une coiffure blonde partiellement rasée, un veston et un grand chapeau noir. La représentation suivante ainsi que celles des deux femmes immédiatement en dessous, possèdent des allures nettement boliviennes. Les femmes ont des bébés dans les bras. En bas, des chiens à l’allure de dalmatien qui jouent.

Ce sont des effigies qui par leurs contrastes particuliers ou simplement par le hasard, sont passées à travers les filtres de floutage de la NASA et qui demeurent reconnaissables. Mais ce ne sont pas les seules, la Lune en est recouverte.

La genèse apparait importante et beaucoup ont des bébés dans les bras.

Toutes les races y sont représentées. Des blancs, des noirs, des Asiatiques et des Sud-Américains. Mais il y a aussi d’anciennes races possédant des crânes différents et des mâchoires élongées.

Les chiens et plusieurs animaux de ferme y sont présents en grande quantité

Ce ne sont pas des découpes de territoires, mais des images dessinées au sol en utilisant des matières colorées et des jeux d’ombrages du lever de soleil. Chacune mesure de quatre à dix kilomètres de longueur et plusieurs sont exemptes des poussières lunaires laissant croire à une création ou une réfection très récente.

D’autres sont beaucoup plus grandes.


Il y a ces races qui ressemblent à celles de la terre, comme cette fillette aux bouclettes.


Ou encore ce père accompagné de son enfant, un profil semblable au nôtre.


Dans une mise en scène en forme de Lune, ce visage n’apparait pas très différent du nôtre, mais c’est là manifestement une race étrangère.






Ou cet autre visage triangulaire aux allures romaines et au menton proéminent qui recouvre un large territoire.








D’autres de ces races ont été très différentes et nous sont inconnues




Une apparence simiesque comme sur la terre.






Parfois avec le crâne allongé.











Plusieurs de ces races inconnues possèdent des yeux anormalement grands. Peut-être un attribut conséquent à la luminosité lunaire.

D’autres ont des yeux de lézard avec la pupille verticale.







Certains présentent des ménageries entières, avec des animaux de toutes les races et souvent des scènes de naissance nouvelle présentant des bébés, comme celle-ci qui est une réplique de la crèche occupant tout le fond d’un immense cratère.




D’autres sont dignes de véritables chefs-d’œuvre comme cette représentation trois quarts arrière d’un homme aux allures d’artiste au béret, accompagné d’une femme à collerette à la coiffure élaborée en rococo.



Ce ne sont pas les seules modes similaires à celle de la terre. Le 14e siècle au 18e siècle y est grandement représenté.



Des visages et des allures familiers.




Plusieurs représentations sont inscrites dans une image beaucoup plus grande en filigrane, souvent des lézards des reptiles ou des dragons. De fait, ces représentations reptiliennes sont souvent accompagnées de petits visages triangulaires aux grands yeux, qui ne sont pas sans rappeler ceux des gris extraterrestres. Ici un vieil homme à droite interagit avec une sorte d’animal s’apparentant au gris. Tout cela mesure plusieurs centaines de kilomètres carrés.




À l’époque de l’Atlantide. Ils ont eu une histoire climatique désastreuse qui a pratiquement détruit la viabilité de la lune. Socialement, c’est une histoire qui n’est pas si éloignée de la nôtre. Comme nous ils ont eu leurs héros, leurs drames et leurs guerres. Ils ont eu de nombreux contacts avec nous, mais pas que cela, ils ont eu une implication importante dans les affaires de la terre.

De fait, j’ai retrouvé plusieurs centaines de dormeurs géants, cette façon qu’avaient les anciennes cultures d’immortaliser leur pérennité, en représentant le profil de leur visage ou d’un personnage sur leurs terres. À petite échelle, à grande ou même à très grande échelle, c’était là la façon d’indiquer aux dieux l’endroit ou disséminer leurs bénéfices. L’emplacement de l’œil possédait son importance, puisqu’il indiquait la position de la communauté ou de la cité.

Ces lignes et ces dormeurs-géants racontent l’histoire de nations ayant vécu dans le passé et dans certains cas, un passé pas si lointain. Elles sont l’ADN social d’une communauté de semblables, représentant des évènements que ces anciens jugeaient capitaux pour la postérité et qu’ils confiaient aux dieux. Elles racontent l’histoire ancestrale des sélènes dans une bande dessinée épique qui se cadence au rythme des yards comme les pages d’un livre. Une véritable fresque racontant les ancêtres, « Attention! » leurs disaient-ils, « nous sommes ici et voilà ce que nous avons fait. »

Le reste est histoire de vie. Les petits dormeurs géants de quelques kilomètres construits autour de cratères finissent par s’agglomérer aux couleurs de dormeurs très grands.

L’analyse des différents visages et personnages fait émerger quelques thèmes récurrents. Certains êtres possèdent des caractéristiques différentes de nos profils. Un visage triangulaire, des yeux très grands et protubérants, une cage thoracique plus développée, des jambes plus courtes, sont tous là des caractéristiques des sélènes, les habitants de la Lune.

D’autres profils relèvent de nos races terrestres. Blancs, asiatiques, noirs et Sud-Américains y sont à profusions. Alors que d’autres races quant à elles, relèvent de notre histoire ancienne, comme les anciens Mayas au crâne déformés.

 
Dans tous les cas, la genèse est en cause. Beaucoup de scènes mettent en vedette des bébés que des parents exhibent fièrement. Parfois ce sont des crèches entières, identiques à celle de la naissance du Christ que l’on fait sous le sapin de Noël avec les animaux et le vieux qui se penche sur une jeune couchée, tenant un bébé à bout de bras.





Y aurait-il une meilleure façon de se représenter la vie, que par un spermatozoïde pénétrant un ovule?



Rien de mieux aussi pour faire naître un conflit intellectuel, que d’apprendre que ce spermatozoïde s’étend sur plus de 260 kilomètres. Reiner Gamma est un mystère de la lune sur lequel tous les scientifiques se sont butés. Ils ont cru que c’était là une chaîne de hauts sommets avant de réaliser que le soleil n’y laissait pas d’ombre. Ils n’ont aucune explication sur les processus ayant pu conduire à une telle « formation géologique ». En d’autres mots, c’est là un dessin à la surface de la Lune.


Je relève des indices qu’il y existe des collèges prônant des philosophies qui se définissent sous l’égide d’emblèmes. Un, regroupant plusieurs locations, utilise l’emblème d’un homme barbu avec un visage doux s’apparentant à un grec ou à un Jésus. Les races qui y sont représentées sont d’un développement plutôt uniforme et possèdent un profil qui s’apparente au nôtre. Les dormeurs géants témoignent qu’ils sont manifestement fiers de leur travail pour produire un être renouvelé ou meilleur, ou mieux adapté.



 
L’autre utilise comme emblème le lézard ou le dragon, ou le reptile, ou le serpent. Les races y apparaissent selon une séquence sans suite. Le visage étroit en pointe, le nez crochu, la face de lune, les yeux bridés et le front fuyant, sont toutes des caractéristiques remarquables des races des dormeurs géants qui apparaissent dans les territoires sous cette égide, mais il y a aussi des races qui s’apparentent aux nôtres modernes.


Ce sinistre visage de tyrannosaure rex, qui fixe la terre comme le ferait un prédateur ayant ciblé sa proie, est un des nombreux qui peuvent être retrouvés à la surface de la lune.



Le visage de lézard est constitué autour de deux dormeurs-géants dos à dos. En ce sens, il est comme le Dieu Janus des Romains, un des dieux les plus importants de leur panthéon, plus que ne l’était Jupiter encore. Un des visages de cet emblème était tourné vers le passé et l’autre vers l’avenir.



Médaille romaine avec le Dieu Janus.


Deux visages d’hommes dos à dos sur une ligne de temps, signifie que le passé ne regarde que le passé, et que l’avenir ne regarde que l’avenir, entre les deux, une coupure. Cela symbolise l’ancien homme et le nouvel homme, la destruction de tout ce qui était avant, pour recréer à neuf. Une symbolique qui fut utilisée par la suite pour les couleurs du Saint-Empire avec son emblème aux deux aigles opposés.


Janus était un seul dieu, pas deux. Prenez maintenant du recul et regardez la médaille comme si les deux visages n’en faisaient qu’un. C’est un lézard.

Un des profils qui apparait un peu partout en arrière-plan sur les territoires couverts par cet emblème est celui des gris, ces petits êtres qui relèvent aujourd’hui d’une mythologie extraterrestre.

Les lignes de temps apportent beaucoup, mais aussi les suites de dormeurs géants, construits sur les ruines des précédents dont il est toujours possible d’apercevoir les formes, racontent une histoire. Une histoire qui n’est pas si différente de la nôtre avec ses guerres, ses conquêtes et ses drames.

Comme sur la terre, les dormeurs géants sont sculptés ou dessinés. Les plus gros et les plus anciens sont des simiesques sculptés dans les vallonnements du sol, ou sur des parois de montagne. Des individus qui comme nous, sont attriqués avec des vêtements qui pourraient être modernes, des lunettes, des chiens et une famille. Comme sur la terre, ils ont cessé pour laisser ensuite la place à des types possédant des profils de plus en plus récents.

La position de ces dormeurs géants sculptés, qui encerclent les grandes mers, les étendues basses, autour de cratères différents des autres, et même sur des descentes de montagne indiquant des chutes, montre qu’il y avait à une époque de l’eau à profusion, et qu’une société similaire à la nôtre, occupait alors les terres disponibles comme nous le faisons nous-mêmes sur notre Terre.

Cendrés, grisonnants, recouverts d’une épaisse couche de poussière. Si les périodes correspondent avec celles de la terre, ils ont plus de 20 000 ans. Et comme sur la terre, soudainement, la société simiesque s’arrête. Un évènement qui n’implique pas nécessairement la disparition du genre, mais certainement un profond changement dans la société, laissant des survivants qui ne possédaient plus les ressources et les connaissances pour poursuivre la construction de dormeurs géants.

Après un temps indéfini qui pourrait être de quelques milliers d’années surgit une nouvelle génération de dormeurs géants sculptés qui ne sont plus des simiesques, mais qui possèdent des traits nettement plus humains et une allure vaguement mésopotamienne. Une différence notable toutefois, cette nouvelle génération de dormeurs géants ne sont plus répartis sur l’ensemble des terres hautes, mais concentrées autour des pôles, ce qui suggère que l’évènement cataclysmique ayant conduit à la disparition de l’eau était engagée et que le seul endroit ou l’homme arrivait à survivre sans utiliser de technologie, était là où le soleil ne pénétrait jamais, les profonds cratères des pôles de la Lune. Les reliques étendues autour des pôles présentent un niveau de dégradation et d’empoussièrement qui s’accroit avec la distance au pôle. Possible que cette disparition de l’eau se soit poursuivie pendant un moment.

À une époque tout aussi ancienne, les Janus prennent pied dans une des régions les plus affectées par la chaleur. L’équateur lunaire.

Après cette époque, peut-être 10 000 à 12 000 ans avant nous, la technique change. Les dormeurs géants sculptés cessent et sont remplacés par des dormeurs géants dessinés au sol par l’usage de pigments minéraux. Cela comme sur la terre, ou en plus des pigments minéraux, sont utilisés des essences de vivaces, d’arbres et d’arbustes conférant au territoire sa couleur distinctive aux formes de l’Empire.

À toutes les époques, des hommes prétendaient voir des visages sur la Lune.

 
Selon Humboldt, un naturaliste allemand du 18e siècle, plusieurs observateurs de la lune s'accordaient à dire qu'indépendamment des inégalités d'éclat que présentent les diverses régions lunaires, il se trouve aussi en divers points des différences de teinte. La mer des Crises est d'une couleur grise, mélangée de vert sombre. La mer de la Sérénité est de couleur vert clair; et la mer des Humeurs offre distinctement la même teinte, entourée d'une étroite bordure grisâtre. Le cratère Lichtenberg, dans le voisinage des monts Hercyniens et du bord nord-ouest, offre une teinte rougeâtre, et le Marais du Sommeil est d'un jaune qui lire sur le brun. Vitruve, un cratère dont l'intérieur très sombre est entouré d'une région colorée de bleu pâle. Les plaines circulaires, dont le centre n'est point occupé par des montagnes, sont la plupart d'un gris foncé tirant sur le bleu, et qui ressemble à l'éclat de l'acier.

Sur cette carte de la Lune dont les couleurs ont été intensifiées, c’est-à-dire que les couleurs originales n’ont pas été changées, mais simplement filtrées, les anciennes couleurs des terres deviennent vibrantes. Sur la périphérie du disque, il est possible de distinguer de nombreux visages, des personnages entiers, des animaux et même des scènes.





Dès lors, il n’est plus possible de regarder les anciennes cartes de la Lune sans y rechercher la présence de ces visages, de ces personnages, de ces scènes qui auraient été déformés ou estompés par un choix de couleurs inapproprié.


Outre les emblèmes, les dormeurs géants démontrent des intentions différentes qui semble respecter un vieux édicte biblique opposant technologie et agraire. Comme si les deux voulaient atteindre le même objectif, mais de façon différente. Un s’installe dans les endroits propices et espère que les bienfaits divins pourvoiront aux nécessités. L’autre use de toute la science, toutes les technologies pour faire fi de la rudesse environnementale, qu’il utilise au contraire pour s’isoler et se protéger.



Selon Plutarque, les prosélynes se vantaient d’être plus anciens que la lune et pour cette raison portait une petite lune à leurs souliers. Plus tard, les Romains ont aussi usé de cette pratique, afin disaient-ils, d’avoir toujours sous les yeux ces marques d’inconsistances, et de les détacher de toute chose de la terre pour leur peu de stabilité.



Les lignes de temps n’apportent pas toutes les réponses. Il n’y a que quelques segments des lignes de temps lunaires qui sont en haute résolution, celles qui se sont retrouvées sous le passage des satellites de la NASA, alors à la recherche d’un site d’alunissage pour les capsules du programme Apollo. Elles sont sujettes au passage du temps. Inscrites à même les plaines, les plus anciennes sont empoussiérées au point de ne plus pouvoir décoder les évènements.

Les lignes de temps sont toutes rigoureusement droites. Sur des centaines de kilomètres, il n’existe pas de distorsion apparente.

Elles sont toutes en direction est-ouest, avec de légères déviations, la plus notable étant celle de la mer des Crises qui se dirige à une vingtaine de degrés vers le nord. Aux yeux des connaissances anciennes, la direction d’est en ouest suit la course du soleil, le principal témoin des dieux, la course la plus parfaite qui soit. Une déviation d’une telle droite sur plus de 380 kilomètres ne peut qu’être intentionnelle de la part des créateurs et cela pourrait témoigner d’une dérive de la course parfaite, une direction dont les motifs ne seraient plus une quête de perfection aussi noble.

La plus longue de ces lignes de temps est de 386 km, six d’entre elles sont de 146 km de longueur, séparées par des intervalles longitudinaux de quelque 238 km. À l’exception des lignes incomplètes et interrompues, elles débutent et se terminent toutes par une pointe qui s’étire sur une dizaine d’années, suggérant qu’il n’y a pas eu de croissance de communauté, mais une arrivée et un départ, le débarquement d’une communauté qui posséderait une mission d’une durée déterminée.

Dès l’ouverture de la ligne de temps, il se produit une division des individus entre ceux de la trame supérieure et ceux de la trame inférieure. Ceux de la trame supérieure, beaucoup plus près des yeux et des oreilles des grands personnages en filigranes, insinue une hiérarchie et que la trame du bas raconte une histoire populaire. Certaines lignes de temps ont été redessinées, avec de nouveaux personnages, sans doute de nouveaux héros, ou rois, mais aucune n’a été détruite. Elles sont laissées à l’abandon, inachevé, inscrivant par le fait même la fin d’une nation qui n’aura pas perduré.

Cadencée au rythme du yard, une fraction d’une très ancienne mesure, ces lignes racontent une histoire s’axant autour de grands marqueurs, sous la forme de colonnes spiralées qui traversent la ligne de temps. Elles laissent apercevoir des silhouettes de personnages en action dans des évènements qui ont jalonné ces anciennes communautés. Dans la plupart des cas, l’intervalle longitudinal entre les lignes de temps est de 260 000 yards (260 ans, 238 km), une donnée qui n’est pas à négliger, puisqu’elle laisse poindre la possibilité qu’il y ait eu de ces « débarquements » tous les 420 ans.



Les écarts apparents entre les époques, les races et les caractères des individus représentés, les habillements, les façons de dessiner et l’empoussièrement laissent croire que ces lignes de temps ont débuté aux très anciennes époques de la terre, pour se poursuivre jusqu’à l’époque victorienne.



Socialement, c’est une histoire qui n’est pas si éloignée de la nôtre. Comme nous ils ont eu leurs héros, leurs drames et leurs guerres. Ils ont eu de nombreux contacts avec nous, mais pas que cela, ils ont eu une implication importante dans les affaires de la terre.




Le Codex Lunas #6, qui traverse la mer des Crises est particulièrement révélateur.


Tant par sa clarté que par sa longueur, il apparait être la dernière ligne de temps à avoir été dessiné. Son intérêt vient du fait qu’il présente des tenues et des modes vestimentaires que nous connaissons, comme un marinier du 15e siècle au chapeau tricorne, des ombrelles, des lévriers anglais, des chevaux et même un profil typique d’une reine avec son ombrelle. La ligne de temps se termine sur des véhicules à roues, sur lesquels sont montés des personnages.

Il est probable que la disparition des eaux soit reliée au mouvement orbital de la Lune. Avec ses journées solaires de 14 jours, l’eau ne peut y exister. Un tel changement conduisant sur cette nouvelle révolution orbitale si singulière de la lune par son synchronisme avec la terre, qui en fait un observatoire des « choses » de la terre d’une grande efficacité, suggère un hasard pour le moins suspicieux.

L’eau a commencé à disparaitre. Les mers se sont vidées et les hommes durent creuser toujours plus profondément le régolithe de la lune pour quérir l’eau essentielle à la survie. Comme nous, ils creusaient pour atteindre la nappe d’eau et s’en faire une réserve dans un simple trou dans le sol. Des trous, qui en plus de quelques cratères laissés par des bolides de l’espace, constellent maintenant la surface de la lune.

Une grande partie de la population y est passée. Les autres ont réussi à se construire des aires de survies plus stables autour des pôles, ou dans les profondeurs de la lune sur sa partie visible, construisant des canaux pour amener le peu d’eau de surface jusqu’à eux. Certains ont décidé de quitter pour tenter leurs chances sur les lunes et planètes du système solaire. La terre quant à elle était encore au cœur d’une intense glaciation. Partout où il existe des photographies suffisamment détaillées, il est possible de retrouver les traces de ce culte universel, les dormeurs géants.

L’omni présence de nouveaux nés, présentés comme des fiertés nationales, une direction raciale qui suit de près la course de la terre, orientée autour de cultures qui ont marqué l’ancienne histoire, ne laisse aucun doute que nous touchons là à la genèse, eux qui ont envoyé les dix Titans se marier avec les femmes de la terre, eux qui ont aussi créé les sauveurs religieux et autres, qui ont orienté notre destinée, les dieux-qui-marchent de la période fabuleuse.

Profitant de la dépopulation planétaire qui se produit sous les crises climatiques, Ils imposent alors un nouvel homme qui paternera la nouvelle génération d’humains en semant ses gênes au grand vent, avant de les instruire de connaissances simples permettant de relancer une civilisation « corrigée ». Ces maîtres étaient idolâtrés et devenaient des modèles pour les générations suivantes.

Que ce soit Adam, Jésus, ou le nouvel homme grec, ou le nouvel homme sumérien, ou le Bouddha, ils présentent la même histoire à des époques différentes. Des histoires qui possèdent en commun l’émergence d’un nouvel être, différent des précédents, meilleurs, plus uniforme, établissant de nouveaux standards, entrainant une tendance qui allait balayer la tendance précédente. Soudainement, les simiesques ou les longues têtes aux fronts penchés des Mayas disparaissaient de la surface de la Terre sans autre forme de procès.

L’histoire traditionnelle retient que Nimrod possédait un vaisseau remorqué par quatre aigles avec lequel il pouvait voler.



Codex Lunas : La Lune ne sera plus jamais la même. partie #4 Qui sait?


 
Usant des rayons de soleil affleurant et d’une patience infinie, les anciens astronomes parvenaient à effectuer des représentations élaborées de la surface lunaire. Malgré des outils archaïques, ils en reproduisaient une géographie en trois dimensions d’une grande précision,

Dans son livre « Entretien sur la pluralité des mondes » en 1686, Fontenelle un écrivain et scientifique français, décrivait un visage de jeune femme sculptée dans les rochers de la Lune qui apparait sur les cartes lunaires dessinées par Cassini. Fontenelle arguait que des montagnes avaient depuis été renversées dans cette région, qui avait défiguré ce beau visage, ne laissant plus que des formes inaptes à créer un visage.









Fontenelle avait raison de soulever cette singularité. Sur le montage de cette image satellite de Sinus Iridum, il est possible d’apprécier la différence en insérant à l’échelle le visage de la jeune fille représentée à l’époque par Cassini,

non seulement le relief n’existe plus, mais il a été remplacé par un autre visage beaucoup plus petit (en jaune).

Le visage d’origine, dont le relief est encore discernable (en rouge), faisait plus du double de la dimension de celui moderne. De plus, marquées profondément dans le relief, les caractéristiques du visage moderne ne se retrouvent pas dans celui de Cassini, dont il n’est que la joue.

En 30 ans à peine, le visage a complètement changé. Mais il n’y a pas que le visage qui a changé, dans toute la région, de nombreux « cratères » qui apparaissaient autour de cette baie à l’époque de Cassini, n’apparaissent plus maintenant.

Et ce ne sont pas là les seules curiosités de la Lune.

En 1788, l'astronome Schroeter découvre dans un cratère, des dômes blancs et ronds qui apparaissaient et disparaissaient ensuite. Dans les années qui suivirent, les astronomes répertorièrent plus de 200 de ces dômes d’une taille qui varie entre 400 mètres à 14 kilomètres, 30 d’entre eux apparurent dans le seul cratère Tycho.

En 1885, la Revue mensuelle d'astronomie populaire publiait des observations faites sur le disque de la Lune. Une lueur rougeâtre sur le cratère Cassini, une espèce de fumée, semblable à la lueur d'une lampe dont on a trop levé la mèche, au point de la faire fumer. Plusieurs personnes présentes virent le même phénomène. Un autre astronome rapporta qu’un petit cratère à côté du cratère Hercule brillait d'une lueur.

Depuis longtemps les astronomes avaient remarqué que certains cratères comme Kepler et Aristarque, étaient plus brillants que les autres et demeuraient illuminés durant le jour lunaire, la nuit lunaire et même durant les éclipses, ce qui en a conduit à croire pour certains qu’il y avait là une cause artificielle.


Ils avaient aussi remarqué ces grandes traces blanchâtres linéaires qui parcouraient le sol lunaire.

Voici ce qu’en disait le livre « La Lune » d’Amédé Guillemain en 1866. « Dans l'hémisphère boréal, les montagnes rayonnantes sont nombreuses: Copernic, Aristarque et Kepler, toutes trois situées au milieu ou sur les bords de l'océan des Tempêtes, sont parmi les plus brillantes.- Les bandes lumineuses qui partent de chacun de ces cratères, non seulement sont moins longues que celles de Tycho, mais aussi elles sont moins régulièrement distribuées : celles d'Aristarque, par exemple ne rayonnent que du sud-ouest au sud-est; elles manquent sur toute la périphérie boréale du cratère. En revanche, les trois systèmes rayonnants semblent être en connexion les uns avec les autres, et plusieurs de leurs bandes vont se rejoindre, ce qui tient peut-être simplement à leur proximité. Comme les bandes de Tycho, celles de Kèpler, de Copernic et d'Aristarque, sont visibles, même après la pleine Lune. Euler, Mayer, Timocharis, Ératosthène, sont encore autant de montagnes rayonnantes situées, comme les trois précédentes, dans la partie orientale de l'hémisphère boréal; mais leurs bandes atteignent de moindres longueurs. La partie occidentale du même hémisphère contient encore Proclus, à l'est de la mer des Crises, Cassini et enfin Aristille et Autolycus, trois cratères situés à peu de distance les uns des autres, dans les Marais de la Putréfaction et des Brouillards. Les bandes rayonnantes de ces dernières montagnes se rejoignent comme celles de Képler et de Copernic.

Quelle est la nature de ces singulières apparences? Quelle est l'origine de ces systèmes ? Mais alors, comment expliquer leurs prodigieuses longueurs? Gomment rendre compte de leur marche par-dessus les cratères les plus élevés? demandait-il encore, pour n’émettre que des hypothèses qu’il jugeait lui-même peu probables. Les bandes lumineuses, a-t-on dit encore, sont formées de matières blanches et cristallines, douées d'un grand pouvoir réflecteur, et émergé du sol de la Lune à travers les fissures du sol, disloqué par les éruptions volcaniques. »

Ne sont-ce pas là des traces comme celles que pourraient occasionner des déplacements répétés entre des grands centres dans un désert de poussière éternel qui virevolte à chaque passage, des voies de communication?

 
Il faudra aussi expliquer les anomalies magnétiques. La Lune ne possède pratiquement pas de champ magnétique, mais les mascons sont des anomalies magnétiques découvertes sous la surface lunaire, dans laquelle un noyau ferreux dense provoque des perturbations magnétiques locales importantes. Sept de ces anomalies magnétiques ont été découvertes sur la lune. Voilà que ces mascons lunaires se retrouvent exactement à l’opposé de larges bassins de la surface lunaire, ce qui a conduit les spécialistes à dire que c’était là les cœurs de gros météorites au diamètre d’environ 300 kilomètres ayant occasionné ces impacts titanesques.


Si les anciens sélènes devaient creuser pour survivre, il faut nécessairement en venir à se demander ce qu’ils construisaient dans le fond de leurs antres.



Simili cratère au nord-ouest du cratère Sundman


Existe-t-il une relation avec ces « similis cratères », dont la texture et les couleurs imitent à s’y méprendre les éjections d’un impact profond, sauf qu’il n’y a aucune dépression?






Devons-nous aussi y voir une relation avec ces tours de pierre d’une hauteur de 5 kilomètres, qui ponctuent la surface lunaire à plusieurs endroits? Des tours qui selon la NASA ne seraient que le fruit de mauvaises données dans les ordinateurs de simulation.




Pas de vie sans eau! Voici ce que disait Fontenelle concernant l’eau sur la lune, 300 ans avant le premier voyage : « Mais les vapeurs de la Lune ne se rassembleront point autour d'elle en nuages, et ne retomberont point sur elle en pluies; elles ne formeront que des rosées. Il suffit pour cela que l'air, dont apparemment la Lune est environnée en son particulier comme notre Terre l'est du sien, soit un peu différent de notre air, et les vapeurs de la Lune un peu différentes des vapeurs de la Terre, ce qui est quelque chose de plus que vraisemblable. »


Ce fut la première estimation de la NASA au cours de la mission Apollo, il y a de l’eau sur la lune, sous forme de givre. La NASA ravisa son tir en 1998 et annonçait qu’après analyse, de l’eau avait été retrouvée sur la Lune dans une forme plus concentrée que ce qui avait été préalablement cru, de la glace solide. Un des scientistes attelés à cette tâche annonça qu’il pourrait y avoir jusqu’à 3 milliards de tonnes métriques d’eau à chaque pôle, protégé du soleil par des cratères. Ce n’est pas là une petite quantité.

Il est une autre déclaration lancée par Fontenelle concernant la lune, qui laisse songeur. Parlant des atmosphères de la Terre et de la Lune, voici ce qu’il répliquait sur la possibilité de s’y rendre : « Ces deux airs différents, repris-je, contribuent à empêcher la communication des deux planètes. …Le grand éloignement de la Lune à la Terre serait encore une difficulté à surmonter qui est assurément considérable; mais, quand même elle ne s'y rencontrerait pas, quand même les deux planètes seraient fort proches, il ne serait pas possible de passer de l'air de l'une dans l'air de l'autre. L'eau est l'air des poissons; ils ne passent jamais dans l'air des oiseaux ni les oiseaux dans l'air des poissons. Ce n'est pas la distance qui les en empêche; c'est que chacun a pour prison l'air qu'il respire. Nous trouvons que le nôtre est mêlé de vapeurs plus épaisses et plus grossières que celui de la Lune. À ce compte, un habitant de la Lune qui serait arrivé aux confins de notre monde se noierait dès qu'il entrerait dans notre air, et nous le verrions tomber mort sur la Terre. …..Songez, répliquai-je, que vous n'arriveriez que bien malade au haut de notre air; il n'est pas respirable pour nous dans toute son étendue, il s'en faut bien »


C’est là ce qui se passerait, si la densité atmosphérique était différente de celle de la terre. Une densité atmosphérique qui serait nécessairement très réduite à cause de la gravité, elle aurait le même impact sur nous, que de grimper au sommet d’une haute montagne comme l’Everest.

Le 7 mars 1971, les instruments laissés derrière par les missions Apollo ont envoyé un signal à la terre indiquant qu’un vent humide a traversé la surface de la Lune. L’éruption du nuage de vapeur a duré 14 heures et a couvert une surface de plus de 100 milles carrés.

À cause des températures quotidiennes qui dépassent celles de l’ébullition de l’eau pendant toute la durée du jour lunaire de 14 jours, l’eau ou la glace apportée par les comètes et autres phénomènes ne résiste pas. Dès qu’elle est exposée au soleil, elle se transforme en vapeur. Comme il n’y a pas d’atmosphère, elle se dissipe dans l’espace et disparait. Il n’y a donc que les endroits où les rayons du soleil ne se rendent pas, qui sont susceptibles de conserver l’eau sous forme de glace. Les dômes de Schroeter, blancs et ronds qui apparaissent et disparaissent, sont-ils cela? L’accumulation des givres et des glaces tombés durant la nuit lunaire, avant qu’ils ne soient sublimés par les chaleurs du jour lunaire?

Les recherches laissent croire qu’il existe plusieurs sources de gaz susceptibles d’ajouter à l’atmosphère de la Lune. Les photons haute énergie et le vent solaire frappe les atomes de la surface lunaire occasionnant des réactions, l’évaporation de matériel de surface, les gaz et l’eau apportée par l’impact des comètes et autres météorites, et le dégazage de l’intérieur lunaire.



La lune est constituée de pierraille appelée régolithe. À la dissipation de cette eau, l’atmosphère s’est affaissée comblant les vides de cette masse lunaire, encapsulant du coup cet air avec ce qui restait d’eau dans la planète même. La lune se dégaze, c’est un phénomène qui a souvent été constaté par les astronautes au lever ou au coucher de soleil alors que des geysers de vapeurs s’envolaient dans le ciel.





Mais Fontenelle n’arrêtera pas de nous surprendre. Voici ce qu’il ajoute : « Songez, répliquai-je, que vous n'arriveriez que bien malade au haut de notre air; il n'est pas respirable pour nous dans toute son étendue, il s'en faut bien on dit qu'il ne l'est déjà presque plus au haut de certaines montagnes, et je m'étonne bien que ceux qui ont la folie de croire que des génies corporels habitent l'air le plus pur ne disent aussi que ce qui fait que ces génies ne nous rendent que des visites et très rares et très courtes, c'est qu'il y en a peu d'entre eux qui sachent plonger, et que ceux-là mêmes ne peuvent faire jusqu'au fond de cet air épais où nous sommes que des plongeons de très peu de durée. Voilà donc bien des barrières naturelles qui nous défendent la sortie de notre monde et l'entrée de celui de la Lune. »

Fontenelle nous dit qu’il y a de la vie là-haut. Plusieurs pages de son livre servent à une argumentation élaborée pour défendre cette conviction. Pour comprendre, il faudra certainement revoir la signification de certains mots. À une époque très ancienne, « Terre » ne portait pas la signification actuelle. Le mot « lune » est aujourd’hui présenté comme un nom générique pour désigner tout ce qui tourne autour d’une planète. Nous avons donc forgé le raccourci mental que ce mot était jadis usé pour identifier notre Lune, et que par extension il a été utilisé pour toutes les lunes. Mais ce n’est pas le cas. Il est une époque ancienne ou la lune ne possède pas de nom distinctif pour l’identifier. La Terre alors n’identifiait pas que notre planète, mais un système planétaire englobant la terre et la lune. Peut-être là un des éléments du conditionnement historique, puisque ne pas la nommer équivalait à la faire disparaitre. Ce qui ne possède pas de nom ne possède pas d’existence.

De la même façon, le mot « eau » d’antan possédait aussi une signification différente de la nôtre moderne. Pour une époque sans doute, il n’identifiait pas le liquide. Le mot moderne le plus approprié pour le décrire est « fluide ». Un fluide qui inclut l’air, mais peut-être aussi un mot générique servant à tous les fluides. Comme les anciens exprimaient les eaux d’en bas et celles d’en haut, il était donc erroné de dire que les anciens croyaient l’espace rempli d’eau comme de nombreux exégètes l’ont cru, puisque c’était là une réflexion faisant abstraction de l’atmosphère terrestre aussi appelée « eau ».

Noé dut attendre. Les eaux recouvraient même les plus hautes montagnes. Était-ce qu’en fait, ils arrivaient de la lune et ne possédaient pas les poumons capables de supporter la pression atmosphérique terrestre? Noé arrive à la fin de la période de perturbations climatiques. Suivant une inondation aussi importante, résultat d’une fonte brutale des glaces de la planète, les pressions atmosphériques ont bondi et ils durent attendre qu’elle diminue avant de se poser sur la montagne la plus haute.

Serions-nous surpris d’apprendre qu’il y a des dormeurs géants de sculptés même au sommet de l’Everest?


Il est un autre de ces mots anciens qui a dérivé, « arche » vient du mot « arc », un nom qui était donné aux croissants de Lune.



L’activité de la Lune a cessé pendant une longue période avant de reprendre, suggérant qu’ils ont appris à survivre en dépit des conditions. Pour suivre leur évolution, il n’y a qu’à suivre l’eau sur toute sa course, jusqu’à s’enfoncer dans le sol de plus en plus profondément.

Il y a de l’air et de l’eau sur la lune. Il y a du monde, des nations entières qui y ont vécus et qui y vivent encore avec la mission millénaire d’architecturer sur la Terre et peut-être pour le système solaire en entier qui sait, un « jardin de vie », rencontrant les volontés, les directions de chacune de ces nations. Nous sommes là au centre de notre propre genèse.

Des nations entières, plus certainement des élus, paraissant être sous la férule de dominants se sont plongées dans les replis de la lune, profitant des ressources disponibles pour poursuivre l’évolution.

Ils connaissent la terre sous toutes ses coutures puisqu’ils ont le plus magnifique observatoire, toujours face à la terre, avec un tour tous les 30 jours. Que demander de mieux. Pendant 160 ans, ils vivent à l’abri des évènements, ils les dirigent de loin avant de revenir.

Des rois, des reines, des prophètes tout acabit, des guerriers, des pirates et d’autres. Les plus récents sont de l’époque de la reine Victoria. Ils se font même des guerres entre eux et comme sur la terre, ils ont effacé les dormeurs géants des précédents ou des honnis de l’histoire. À un endroit, ce sont des effigies au profil des Mayas qui ont été détruites.

C’est là qu’il se mène une olympique cachée dont l’issue sera la célébration d’un élu, choisi comme le meilleur. Le gène parfait. Le nouveau géniteur de l’humanité, qui tente de racheter le grand péché des origines.

La lune est un carrefour de nations dont l’un des objectifs apparents est une action de genèse, l’ensemencement de la planète terre, comme le ferait un cultivateur dans son champ. Le sentiment d’une sorte de marché public, un souk proposant des bouts de vie d’humanoïde, d’humains, d’animaux et quoi encore, comme nous-mêmes le faisons dans une foire agricole. Une sorte d’entreprise commerciale à-la-Mosanto où des mélanges savants sont concoctés et offerts comme le sont les armes d’ici dans les marchés militaires. Assurément, notre présence sur terre n’a rien à voir avec l’évolution de l’unicellulaire jusqu’à nous.

En fonction d’impératifs de temps relevant de l’évolution humaine et des cycles du climat, ils interviennent sur terre en renouvelant les races, en essaimant des formes de vies nouvelles qu’ils jugent utiles au développement de l’homme où à leurs propres intérêts, en provoquant des courants de société, en instruisant, en introduisant sur terre et ailleurs des individus, des groupes, des tribus, des fratries de jumeaux surdoués et des familles aux capacités distinctives possédant des attributs et des connaissances capables de marquer la société en poussant son développement dans une direction qui sied leurs croyances et intérêts. Grâce à une épaisse couche de conditionnement social, ils sont ceux qui maîtrisent les tenants et les aboutissants du plan de développement humain.

Avec sa situation à l’extrême limite des sens et des capacités populaires, et même scientifiques modernes, avec son mouvement autour de la terre aux 30 jours et sa révolution qui présente toujours la même face à la terre, avec une pollution atmosphérique et lumineuse inexistante (sic), la lune représente une plate-forme d’observation des plus commodes et des plus efficaces de la Terre.

Aujourd’hui, ils savent tous et n’en parlent pas. C’est la convention. Le prix à payer pour avoir les banques et la chaîne Mc Donalds chez soi.

Ils sont là, ils nous observent. Ce sont eux qui conduisent la destinée de la Terre.






Est-ce là l’origine de ces individus capable d’atteindre des âges milléniaux comme les premiers patriarches de l’histoire biblique, ou même certains individus de l’histoire plus récente?

Lorsqu’on y regarde de près, l’histoire regorge d’individus et même de cohortes d’individus au passé nébuleux, qui ont changé significativement la course de l’évolution humaine par leur apport inusité engageant un saut de paradigme dans la culture terrestre. La Renaissance et l’industrialisation, le capitalisme, des religions, des mouvements de sociétés.

Les avancées scientifiques et techniques des Allemands de la Seconde Guerre mondiale ont été de véritables pas de géant dans les connaissances humaines. Des techniques de combat nouvelles, des armes inédites, des véhicules nouveaux, de nouvelles méthodes de propulsions, de vol, de plongée, l’informatique, la cybernétique, la force atomique, en plus de tout ce qui fut occulté et découvert par la suite.


Comme s’ils n’en menaient pas assez large déjà avec leur guerre au monde à l’univers et au reste, peu de gens savent que les nazis menaient aussi une course à l’espace et que le programme des V2, en plus d’être une plate-forme assurant leur domination sur le monde, était aussi les premiers pas d’un voyage à la Lune.






Scaphandres allemands.



Difficile de faire la part des choses, les nazis étaient pleins de surprises, mais des rumeurs persistantes prétendent qu’ils auraient placés, à l’époque de la guerre ou plus tard un animal en orbite et même qu’ils auraient envoyé un groupe d’hommes sur la lune dans une mission suicide, sans espoir de retour.

C’est trop. Une telle richesse de découverte, dans une gamme aussi variée, aussi concentrée sur un aussi petit groupe, en aussi peu de temps, n’a jamais eu son pareil dans l’histoire du monde et ne s’est jamais reproduite depuis. Même en étirant la sauce jusqu’à la Première Guerre mondiale, tout cela ne peut reposer que sur le simple produit de leur intelligence et de leur labeur et de celui des conquis.

Or les nazis de haut rang appartenaient à un groupe occulte auxquels étaient attachés de nombreux scientifiques allemands, autrichiens, roumains, slovaques, serbes, hongrois, un groupe de surdoués se nommant eux-mêmes « les martiens », ayant œuvré ensuite pour les Russes et les Américains, qui furent instrumentaux dans l’apport de connaissances et de recherches, nécessaires à toutes ces découvertes.

Martiens, sélènes, il y a un point commun qu’il ne faut pas perdre de vue.

C’est de quelque part au cœur de la Transylvanie ancienne qu’ont émergé ces connaissances. Tous les concepts y étaient. Ils n’ont eu qu’à développer et les Allemands n’ont eu qu’à les utiliser dans leur guerre.



Voici un exemple avec la fusée à étages de l’Autrichien Conrad Haas en 1560, un concept qui ne fut « découvert » que 400 ans plus tard avec Saturne V, le propulseur des fusées Apollo, au développement duquel ont participé de nombreux membres des « martiens ».



Songeons à Tesla, à von Neuman, Szilard, Teller, Segner, Nemenyi, von Kármán, et ce n’est là que le sommet de l’iceberg. Cette supériorité intellectuelle tant sur les techniques, les concepts que la science derrière perdure depuis plus de 500 ans. La liste de Nobel est d’une longueur étonnante.



Les voyages dans l’espace, les ordinateurs, la cybernétique, la force atomique, la médecine, le conditionnement social et tout le reste, sont des connaissances qui nous proviennent de l’ancienne histoire, récupérée par ces groupes et ensuite par les nazis.

Ils ont œuvré tant pour les nazis, que pour les Russes et les Américains.

Ou qu’ils soient, comme une emprise par une main invisible, tous lorgnent et travaillent vers le même point. La Lune. La mission occulte.




Rudolf Hess



En mai 1941, Rudolf Hess était un nazi trônant au sommet de la chaîne de commandement militaire et d’une grande influence auprès d’Hitler. Embringué jeune dans les actes révolutionnaires d’Allemagne, il fut emprisonné avec Hitler alors qu’il écrivait son « Mein Kampf » et l’a secondé dans son ascension. Il était son homme de confiance, jusqu’à signer des lois au nom d’Hitler. Il participa activement à la rédaction des lois de Nuremberg et fut même qualifié de conscience du parti.



Le 10 mai 1941, Rudolf Hess s'envole à bord d’un Messerschmitt qu'il pilote jusqu'au nord du Royaume-Uni. Échappant aux tirs de DCA, il saute en parachute en Écosse. Il est aussitôt arrêté par les autorités britanniques et demande alors à rencontrer le duc d'Hamilton. Il fut dit que les autorités ne voulurent pas lui parler et qu’il fut emprisonné pour le reste de la guerre en Angleterre.

À ce moment, Hitler n’avait que peu à craindre des Russes avec qui il avait un pacte de non-agression, mais tout à craindre des Britanniques qu’il harcelait depuis un moment déjà avec ses V 2. Car il faut se le dire, ce qu’ont subi les Britanniques n’avait rien à voir avec ce qu’ont subi les autres pays conquis dans lesquels les forces de l’axe complétaient la conquête d’un nouveau pays en quelques jours à peine. Au mieux, un harcèlement.

Et pourtant dans les jours qui suivirent, les Allemands cessaient le pilonnage des Britanniques au V 2 et lançaient l’opération Barbarossa contre la Russie, une opération insensée, vouée à l’échec qui fut qualifié de « Terre brûlée », dans laquelle les conquérants ne trouvent plus que des ruines. Une opération perdue d’avance, une erreur stratégique majeure que n’aurait pas faite un débutant de l’école militaire et encore moins des militaires aguerrit comme les nazis.

Peu de temps après, Hitler signait le pacte tripartite, attachant l’Allemagne, le Japon et l’Italie en cas d’agression, et en plus d’attaquer de front la Russie, il accélérait sa perte en s’engageant contre l’Amérique, une force qu’il ne pouvait pas sous-estimer à ce point.

De ce jour, Hitler était à mal avec son état-major et il n’était plus qu’une parodie de ce qu’il était, puisque son objectif n’était plus de conquérir le monde, mais de se plier aux termes de sa capitulation et de montrer patte blanche en facilitant la tâche aux alliés, en transférant des connaissances stratégique et technologique de pointe. Mais la mission allait survivre. La fin était déjà écrite et le reste de la guerre allait permettre de réaliser par main interposée des tâches qui n’auraient pas été autrement entreprises. À terme il appliqua sa politique de Terre brulée en Allemagne avant sondit « suicide », facilitant le travail des Alliés.

Hitler n’était pas en situation de grave infériorité dans sa guerre. Sa reddition, faute de meilleur mot, n’a pu qu’être composée avec autre chose qui incluait nécessairement les trois super armes, soit la bombe atomique, la bombe à fusion (hydrogène) et la base spatiale, inatteignable, capable de pulvériser n’importe quel point de la planète en quelques minutes ou quelques heures.

Une base qui allait être en orbite autour de la Terre. Rien ne servait d’en créer une, puisque la lune offrait un support tout à fait adéquat et une foule de ressources. La lune n’est qu’une plate-forme orbitant autour de la terre, sur une orbite longue. De là, l’envoi d’une mission suicide, dont la responsabilité serait de réaliser un pied-à-terre pour les générations à venir, sans aucun doute à partir des oeuvres des anciennes sociétés.

Il faudra admettre que les choses sont allées vitement pour les Alliés et les Russes. Aussitôt, accompagnés de nouveaux venus allemands, autrichiens, hongrois, tout le gratin d’Europe de l’Est y était, ils se sont mis à l’œuvre en utilisant toutes les ressources disponibles et en architecturant d’ambitieux programmes de la course à l’espace, cachant que cela était en fait une course effrénée à la lune.

En octobre 1945, était créé le premier bataillon de l’Armée Américaine dirigée dans la récupération des connaissances nazies et celle des scientifiques associés au sommet de ces recherches, dont Wernher von Braun le spécialiste des V-2, n’est qu’un parmi tant d’autres. En janvier 1946, le programme américain de recherche outre espace était engagé avec la capture de 60 fusées V-2, qui furent toutes essayées. Le 15 de mars, les Américains produisaient leur propre V2. Le 22 de mars, une première fusée américaine quittait l’atmosphère de la terre.

Que ce soit vrai, ou que ce soit le fait d’une mission inhabitée, que cela ait été fait du temps des nazis ou plus tard par des missions secrètes russes ou américaines, quelque part entre ce moment et le milieu des années 50, ils ont réalisé qu’il y avait du monde là-bas. Et le contact a manifestement été tendu, puisqu’en 1958, ils menaçaient d’y faire exploser une bombe H.


 
Général Reinhard Gehlen



De fait, avec les rumeurs d’agissements nazis partout dans le monde depuis la fin de la guerre, avec des organisations d’après-guerre comme celle du général Reinhard Gehlen, un des porteurs de cette idéologie occulte, instrumental dans le transfert des cerveaux aux États-Unis, il n’est pas possible de dire que la mission nazie est terminée. Or le plan des nazis visait la domination d’une élite sur le reste de la population. Et dans cette domination, les trois super armes étaient clés.



Le reste n’est qu’une opération de maquillage pour le grand public.

En 1948, l’US Air Force met sur pied le projet « Sign » un projet d’étude scientifique en réponse à une série d’évènements impliquant des OVNIS. Quelques mois plus tard, les participants au groupe produisaient un rapport secret appelé « Estimate of the situation », concluant qu’il n’existait pas d’explications possibles à ces évènements, autres que celle d’une hypothèse extraterrestre. Le rapport original fut conservé secret, alors que le Pentagone publiait quelques semaines plus tard un nouveau compte rendu aussi appelé « Estimate of the situation », faisant fi des OVNIS pour laisser reposer l’explication sur les autres puissances, particulièrement les Russes. Le rapport caché par le Pentagone fut dévoilé seulement en 1956.

Même le passage à un programme civil comme la NASA, ne visaient qu’à assurer les énormes ressources financières nécessaires à la réalisation de cette aventure.

En 1950, des astronomes professionnels et amateurs se sont regroupés pour faire part de leurs observations et dresser un catalogue des curieuses anomalies observées à la surface de la Lune depuis l’aube des temps. Tous ces phénomènes ont été recensés, répertoriés et étudiés suivant leurs caractéristiques, puis dans un catalogue à la NASA, sans que la diffusion grand public ne soit envisagée.

En 1952, c’est le carrousel de Washington, un évènement dans lequel sont vues une série de lumières survolant la Maison-Blanche. Rapidement associée aux ovnis, une conférence de presse explique que c’était là le fruit d’inversion de températures, un phénomène purement météorologique.

En 1958, au moment même où les États-Unis planifiaient l’installation d’une base sur la lune avec un équipage permanent de 21 hommes appelée Lunex Project, ils envisageaient aussi le lancement d’une bombe à hydrogène sur la Lune, avec comme principal objet dirent-ils, d’intimider les Russes. À la même époque, les Russes ont aussi eu leur projet de bombe atomique sur la Lune, pour intimider les Américains dirent-ils.

Les bombes atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki avaient déjà 13 ans. La Russie possédait la bombe atomique depuis huit années, la bombe à hydrogène depuis trois. Les deux grandes puissances savaient exactement ou l’autre dansait. Jouer à « mon père est plus fort que le tien » en jetant une telle saleté sur la Lune, était une démonstration inutile sous un prétexte enfantin, une explication qui ne tient simplement pas la route. Les Russes l’ont prouvé quelques années plus tard, en faisant détoner la « Tsar bomba », la plus grosse bombe atomique jamais conçue, un engin capable de 100 mégatonnes capable de plus de puissance que tous les explosifs utilisés lors de la Seconde Guerre mondiale, dans un endroit désert. Il n’y avait rien à intimider ici.

En 1957, la mise en service du premier réacteur nucléaire sur le territoire américain. Malgré les accidents d’une grande dangerosité, il allait s’en construire 132 en quelques décennies. 59 de plus en Russie. Aujourd’hui, il y a 425 réacteurs nucléaires en service dans le monde. 425 bombes impossibles à désamorcer, qui moyennant 425 minuscules missiles, tueraient la plus grande partie des terres habitables de la planète. Était-ce là une façon de protéger la terre en menaçant les terres de la planète d’inhabilité?

Mais en 1958, nous sommes déjà dans un montage théâtral appelé « Guerre froide », un évènement savamment orchestré par un des membres du groupe des « martiens ».

En 1959, l’Armée américaine cette fois planifiait l’installation d’une base permanente sur la lune avec 12 hommes appelée Project Horizon. En 1962, dans le programme Zvezda, la Russie planifiait la construction d’une base sur la Lune, avec un équipage de 12 personnes.

En 1962 Kennedy annonçait le voyage à la Lune. Lors de son discours à la lune, il ajoutait : « les dangers inhérents à l’espace sont une menace pour tout le monde ». Quels sont donc ces dangers qui sont une menace pour tout le monde? Il ajoutait de plus: « Nous avons fait le serment de ne pas voir l’espace envahi par des armes de destruction massive, mais par des instruments de connaissance et de découverte ». À qui donc avez-vous fait ce serment?

Or la conquête de la Lune de Kennedy était une variable visant la révélation grand public de ce qui serait trouvé sur la lune lors du voyage Apollo, détruisant du coup le secret et par le fait même toute la valeur d’une telle arme et de l’accès à un tel bassin de connaissances.

De concert avec la CIA dans ses organisations, le général Gehlen était de ceux qui désiraient le plus grand des secrets sur ces questions. Il était de ceux que la décision de Kennedy de claironner haut et fort la conquête de la lune sur la rue dans l’objectif d’y révéler ce qui s’y passait, n’eut pas l’heur de plaire. Un des participants aux organisations du général Gelher était Lee Harvey Oswald.

Une année plus tard, Kennedy était tué à proximité de l’endroit où il avait fait cette annonce.

En 1969, Apollo 11 se pose sur la lune.

Pour « soi-disant s’en sortir », s’il s’avérait que la capsule spatiale devait atterrir ailleurs qu’en territoire américain dirent-ils, les premiers astronautes recevaient une carte de référence qui traduisait en différents langages : « Je suis un étranger. Je viens en paix. Menez-moi à votre chef, et il y aura une récompense massive pour vous dans l’éternité. » 1970 n’est pas précisément celle des mangeurs d’hommes dans leurs cavernes. « Je suis un Américain » aurait été un bien meilleur choix de mots.

Il est significatif de constater que malgré une attirance, selon toute apparence immodérée pour les cailloux et rochers tout acabit, toutes les missions publiques Apollos ont été parachutées dans des zones complètement désertiques de la Lune recouvertes d’une épaisse couche de poussières, loin des zones rocheuses où l’eau est susceptible d’exister, ou l’homme est susceptible de vivre, où les communautés et les cités sont susceptibles de s’installer.

En 1974, le LEK Lunar Expeditionary Complex russe visait à installer une base sur la lune.

En 2005, le projet Constellation visait à retourner faire un voyage sur la Lune.

En 2006, le Japon planifiait d’avoir une base sur la Lune pour 2020.

En 2007, la Russie annonçait qu’elle aurait une base sur la Lune pour 2027.

L’Agence spatiale chinoise se propose d’envoyer un homme sur la lune pour 2022.

Le Lunar Outpost de la NASA planifie d’avoir une colonie sur la Lune pour 2024.

L’Agence Spatiale européenne planifie une base permanente sur la Lune pour 2024.

L’Agence spatiale indienne planifie une base permanente sur la Lune pour 2030.

C’est la période des lumières des juifs de l’Est, la Haskala. Autrichiens, austro-hongrois, hongrois, allemands, plus de scientifiques de l’Europe de l’Est et des pays limitrophes ont contribué au développement de ces sciences et technologies au 20e siècle, que l’ensemble des scientifiques des autres pays réunit. S’il est un point commun qu’il faut retenir, ce sont ces mêmes individus sur lesquels s’est reposée la course à l’espace des nazis, des Russes et des Américains. Comme une seule entité, ils ont agi en direction d’un seul objectif, sachant qu’au fil d’arrivée il y avait un passeport de connaissances garantissant la domination totale sur la Terre, pour une éternité.

Ainsi dans l’inculture perpétuelle, tout peut recommencer éternellement.

Va savoir ce qui nous attend !

Pierre de Châtillon

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