Ce n’est pas un scoop, Breizh-info a de plus en plus de lecteurs. Et ces lecteurs sont de plus en plus nombreux à écrire à leur site favori pour signaler des faits ou faire part d’expériences qu’ils ont vécues, ce dont nous les remercions vivement. Ces témoignages illustrent en effet, mieux qu’un long discours, l’époque dans laquelle nous vivons. Ainsi celui reçu ce samedi d’un lecteur nantais. Nous vous le livrons, brut de fonderie.
« Ce vendredi soir vers 20h je faisais la queue, avec mes enfants, comme tout citoyen normal à la caisse du Super U de DALBY à Nantes. Devant moi un autre monsieur attendait pour passer et devant lui trois jeunes de cité, visiblement mineurs, casquette vissée sur leur tête, passaient en caisse pour acheter de l’alcool. Faisant son métier, la caissière leur demande une pièce d’identité. Réponse : aucun d’eux n’avait de pièce d’identité. La caissière appelle alors sa superviseuse qui leur refuse la vente et reprend l’alcool. Le monsieur qui était devant moi passe en caisse et paye. Puis ce fut notre tour.
A ce moment là, les trois jeunes reviennent avec une quatrième personne de leur connaissance, un majeur. Ce dernier présente une pièce d’identité et demande à passer tout suite. Une des caissières fait remarquer à voix haute qu’il faut faire la queue comme tout le monde, mais l’agressivité verbale des jeunes fait vite baisser la tête à tout le monde.
« Ce vendredi soir vers 20h je faisais la queue, avec mes enfants, comme tout citoyen normal à la caisse du Super U de DALBY à Nantes. Devant moi un autre monsieur attendait pour passer et devant lui trois jeunes de cité, visiblement mineurs, casquette vissée sur leur tête, passaient en caisse pour acheter de l’alcool. Faisant son métier, la caissière leur demande une pièce d’identité. Réponse : aucun d’eux n’avait de pièce d’identité. La caissière appelle alors sa superviseuse qui leur refuse la vente et reprend l’alcool. Le monsieur qui était devant moi passe en caisse et paye. Puis ce fut notre tour.
A ce moment là, les trois jeunes reviennent avec une quatrième personne de leur connaissance, un majeur. Ce dernier présente une pièce d’identité et demande à passer tout suite. Une des caissières fait remarquer à voix haute qu’il faut faire la queue comme tout le monde, mais l’agressivité verbale des jeunes fait vite baisser la tête à tout le monde.
« C’est sûr que ce n’est pas une gentille petite famille qui va mettre le feu au Super U. »
Arrive alors la superviseuse. Celle-ci nous interpelle et, sans nous demander notre avis, fait passer tous ces jeunes gens devant nous, leur redonnant l’alcool pour qu’il passe directement en caisse. Ils sont prioritaires!
Quoi dire ? Je suis avec mes enfants, j’ai sûrement été un lâche. J’ai discuté avec la superviseuse qui, semble t-il, était plus préoccupée par le fait que ces jeunes mineurs repartent avec leur alcool sans accroc que par une famille qui fait ses courses dans ce magasin depuis 20 ans : AUCUNE EXCUSE de sa part…
La pauvre caissière s’est, elle, excusée. Elle m’a dit que la priorité c’est d’éviter tout conflit. C’est sûr que ce n’est pas une gentille petite famille qui va mettre le feu au Super U! »
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