01 mai 2017

ONG en Méditerranée : les négriers du XXIème siècle


Lampedusa (Breizh-Info.com) – Que des Organisations Non Gouvernementales patrouillant en Méditerranée favorisent le trafic d’êtres humains et entravent volontairement le travail des gardes-frontières, c’est ce dont nous informait déjà un rapport Frontex, l’Agence européenne des gardes-cotes, en décembre 2016.
Ces associations seraient utilisées comme des “taxis” par les passeurs : en contacts téléphoniques directs, ils avertiraient certaines ONG de leur départ pour se faire “secourir” à quelques miles des plages libyennes “où le danger est nul”.

Ces dernières illumineraient alors les caps à tenir pour aborder leurs navires, et conseilleraient l’arrêt quand nécessaire du transpondeur rendant invisible aux radars l’embarcation.

Ces actions d’ONG en connivence avec les organisations criminelles de traite humaine seraient responsables d’une augmentation exponentielle des arrivées de clandestins par la mer (+50 % par rapport à 2016) et une détérioration des conditions des traversées (embarcations toujours plus surchargées, absence du passeur sachant conduire le bateau, quantité d’eau, de nourriture et de carburant minimale, etc).

C’est le procureur de Catane Carmelo Zuccaro, qui l’a affirmé.

Mais ce sont bien trois parquets qui enquêtent actuellement, et la controverse a atteint les plus hautes institutions italiennes comme le Sénat et le Parlement et cela fait la Une des grands médias.

Le magistrat va plus loin. Dénonçant “un trafic aussi lucratif que celui de la drogue”, il s’interroge sur les fins subversives de ces obscures associations comme “la déstabilisation de l’économie italienne” soutenant que “qui spécule sur la situation de faiblesse économique italienne incrémentée par l’afflux incontrôlé d’immigrés, y trouvera des avantages”.

En parallèle, Georges Soros, le spéculateur mondialiste ayant juré d’en finir avec les frontières européennes – qui écrivait en septembre 2015 : “au cours d’un avenir proche, il appartiendra à l’UE d’accepter au moins un million de demandeurs d’asile chaque année. … l’UE devra apporter 15 000 € par demandeur d’asile au cours de chacune des deux premières années, afin de contribuer à couvrir le logement, la santé et les coûts d’éducation de ces populations – et inciter plus activement les États membres à accepter les réfugiés ”-, a annoncé un investissement de 500 millions de dollars dans le soutien aux migrants.

Une somme colossale comparée aux 250,000 millions d’euros de budget annuel de Frontex (2016).

Face à la propagation de telles informations, taxer de “complotistes” les voix qui se sont élevées depuis le début de la crise pour dénoncer le caractère organisé de l’invasion migratoire devient toujours plus difficile.

Audrey D’Aguanno

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