Ces gens n’ont honte de rien. Montez le son et écoutez ce discours de sociopathe et cette foule d’abrutis.
D’après la presse locale, le 16 décembre 2014, deux jeunes filles ont appelé la police, terrorisées par Abdoulaye Camara, qui se promenait dans les rues du Havre avec son couteau. Quand les policiers arrivent, ils voient Abdoulaye en train de larder un homme de 20 coups de couteau dont plusieurs au visage. Puis, Abdoulaye leur fonce dessus, très menaçant. C’est alors que les policiers criblent Abdoulaye de balles. La vidéo-surveillance ne fait aucun doute : les policiers étaient en légitime défense et l’IGPN les a totalement blanchis.
Fabien, 33 ans, l’homme poignardé par Abdoulaye Camara, a perdu l’usage de sa main droite et il est défiguré : « J’ai la rage (…), il a bousillé ma vie », a-t-il déclaré au journal Paris Normandie.
Grâce à de multiples opérations chirurgicales, Fabien a évité l’amputation, mais il ne peut plus se servir de sa main. Paris Normandie a publié la photo mais n’a pas montré son visage, beaucoup trop abîmé.
La main de Fabien, 33 ans, poignardé par Abdoulaye Camara
Évidemment, Abdoulaye Camara était connu défavorablement de la police pour «vol à main armée», «vol avec violences», «violences sur agent de la force publique» et «trafic de stupéfiants».
Non seulement le frère d’Abdoulaye fait sa pleureuse dans une manif soutenue par les associations antiracistes grassement subventionnées, mais Félix Mubenga, un « journaliste » du Bondy Blog, en partenariat avec le journal Libération payé par nos impôts, soutenu par la région Île-de-France, financé par l’Open Society de George Soros, a relayé cette vidéo et a présenté Abdoulaye comme une pauvre petite victime dans son article sur la manif. A aucun moment le Bondy Blog n’évoque le fait qu’Abdoulaye était littéralement en train de tenter d’assassiner un homme et les policiers.
Extrait du témoignage de la victime, Fabien, 33 ans :
"Mon nez a été coupé en deux, il pendait sur mon menton, vous vous rendez compte... Il m’a aussi sectionné le muscle du bras gauche.» Il a des fils au nez, vingt-deux aux fesses, quinze dans le dos, trois aux mollets, vingt à chaque bras, et une vingtaine à la main droite. «Je ne peux même plus écrire mon prénom»"
Et évidemment, Libérafion présente l'agresseur comme une victime:
http://www.liberation.fr/debats/2017/03/18/contre-le-racisme-et-l-etat-policier_1556244
Source
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