Pourtant, un refroidissement se prépare. Il se peut, même, que l’hiver actuel en soit le début. L’astronome Valentina Zharkova a fait récemment une découverte capitale : les taches solaires peuvent être prédites et elles sont signe de réchauffement s’il y en a beaucoup, de refroidissement s’il y en a peu.
Depuis des siècles, l’homme observe les taches solaires et le parallèle entre le nombre de taches et le temps qu’il fait. Il y a 200 ans, William Herschell, l’astronome qui a découvert la planète Uranus, attirait l’attention de ses collègues sur le lien entre le prix du blé en Angleterre et… le nombre de taches solaires. S’il y a peu de taches solaires, le ciel est couvert, il fait froid et les récoltes sont faibles ; s’il y en a beaucoup, le ciel est dégagé, il fait chaud et les récoltes sont généreuses. D’épouvantables périodes de refroidissement climatique avec très peu de taches solaires – connues sous le nom de « Périodes de Maunder et de Dalton » – entre 1600 et 1800 ont été encadrées de périodes plus clémentes de 1300 à 1600 et de 1800 à 2000.
Aujourd’hui, le GIEC, organisme politique de l’ONU, financé pour démontrer le rôle climatique de l’homme, nie ou minimise l’importance des prédictions de Valentina Zharkova. Pourtant, un an plus tard, aucun astronome ou autre scientifique n’a émis la moindre critique sur sa découverte.
Jusqu’en octobre 2015, l’évolution du magnétisme solaire qui conditionne, pour l’essentiel, ces variations du climat restait imprévisible.
La mathématicienne astronome Valentina Zharkova et ses collègues ont résolu ce problème à la Northumbria University (Angleterre) et un article a été publié dans la célèbre revue Nature.
Que se passe-t-il ? Imaginons un double moteur thermique à la surface du Soleil. L’un est visible, l’autre – sous la surface — invisible. Leur mécanique est presque synchrone. Le passé magnétique du Soleil peut alors être parfaitement reproduit… et le futur peut être décrit. Il nous annonce un refroidissement climatique pour bientôt…
Cette découverte recevrait le prix Nobel d’astronomie si un tel prix existait mais elle reste dans l’ombre car elle ridiculise définitivement les élucubrations du GIEC sur le rôle de l’homme dans les changements climatiques…
« On » est allé jusqu’à s’organiser pour que la recherche sur Google, quand on tape « Valentina Zharkova », ne mène pas directement à son article mais à une pleine page de noms d’articles qui nient tous l’importance des conséquences de sa découverte pour le temps à venir. Ces articles sont souvent écrits par des personnes dont on ne mentionne pas les compétences…
Pour finir, on ne pourra jamais libérer assez de CO2 à temps pour compenser la perte d’activité des plantes obligées de résister aux froids intenses annoncés pour 2030 ! Il s’agit, bien entendu, des régions où les températures seront encore suffisamment élevées pour permettre une végétation, pas de régions « polaires ». Et précisons que le CO2 seul est concerné. Il est accompagné le plus souvent de pollutions réelles, nocives. Il est évident que nous devons tout faire pour les diminuer…
En conclusion : préparons-nous à avoir froid – sans savoir à quel point nous aurons froid – et cessons d’écouter les lobbies pour qui « changement climatique » signifie uniquement « augmentation des bénéfices ».
Notes
Ainsi, la quête du « boson de Higgs » a duré des décennies, tout comme la recherche de la mécanique solaire qui régit les taches solaires. Pour les deux recherches, on est arrivé à un degré de précision extrême qui les a fait passer du stade de « théorie » au stade de « découverte ».
V.V.Zharkova et alt. : Heart Beat of the Sun from Principal Component Analysis and prediction of solar activity on a millenium timescale – Nature
Al Gore a reçu le prix Nobel pour son film Une vérité qui dérange. Son contenu le plus impressionnant portait sur l’analyse des carottes de glace extraites des zones polaires. Celles-ci révèlent un parallèle étroit entre la variation de la température terrestre et le taux de gaz carbonique de l’atmosphère durant les 800.000 dernières années. Une analyse plus fine des glaces a montré que la croissance du CO2 suivait l’augmentation de la température et non le contraire, thèse fondamentale d’Al Gore et du GIEC. En fait, quand la Terre se réchauffe, les océans crachent leur CO2… ce rôle de l’homme qui est la seule justification des investissements dans l’éolien et autres « énergies renouvelables » ruineuses pour les citoyens. Énergies renouvelables qui devraient nous épargner des températures de plus en plus élevées, des catastrophes à tous les niveaux… alors que Valentina Zharkova nous apprend qu’une nouvelle « ère glaciaire » débute. De très violentes éruptions volcaniques refroidissent aussi occasionnellement la planète tandis que, à plus long terme, d’autres phénomènes liés à l’orbite terrestre jouent des rôles climatiques décisifs…
Et je précise être mathématicien, avoir enseigné le cours d’astronomie à l’université de Lubumbashi (République démocratique du Congo) et me tenir au courant des recherches dans ce domaine passionnant.
Source
Vu ici
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.