03 janvier 2017

Cancer de l'utérus chez une jeune femme vaccinée contre !


Photo d'illustration
Le vaccin Gardasil contre le HPV a été mis sur le marché pour empêcher le cancer. Dans le cas de cette jeune femme, au lieu d’empêcher le cancer, le vaccin l’a provoqué. Les parents et les jeunes-filles ont réellement besoin de comprendre les dangers que présente de vaccin. Pour les aider à comprendre, cette vidéo constitue une information des plus précieuses.


L’expérience a appris à cette jeune-fille qu’il n’était parfois pas approprié de faire une confiance aveugle aux conseils médicaux actuels souvent basés sur la cupidité.

Pour son cancer, cette jeune-femme a refusé la chimiothérapie et la radiothérapie qui lui avaient été proposées. En lieu et place elle a eu recours à des méthodes alternatives intensives. Dix ans plus tard, elle est là pour nous raconter son histoire !

J’ose espérer qu’un maximum de personnes pourront écouter son témoignage passionnant de 10 minutes !

Erin Crawford a fréquenté l’université de Louisville qui avait réalisé un contrat avec Merck pour la recherche et le développement du Gardasil. C’est, par hasard, à l’université que le vaccin lui fut proposé. Elle a accepté de se faire vacciner pour se protéger du cancer du col de l’utérus.

Au cours de la vidéo (9.33) la jeune femme explique qu’après son amygdalectomie d’urgence et après l’ablation du col de l’utérus cancéreux, un pathologiste indépendant a examiné les tissus des amygdales, du col de l’utérus, et a constaté que les types 16 et 18 du HPV y étaient présents. Les deux souches du vaccin Gardasil étaient présentes dans les tissus biopsiés.

Extraits de la vidéo :

C’est quand j’étais à l’université que j’ai reçu la première dose du vaccin Gardasil. Un professionnel de santé m’a expliqué qu’il existait un vaccin contre le cancer du col de l’utérus et le lui a proposé.

Au moment où on m’a proposé ce vaccin, j’avais bien en tête que 3 membres de ma famille étaient décédés de cancer. Cette situation a évidemment joué dans ma peur, et c’est comme cela que j’ai accepté la première injection, croyant bien faire. La nuit qui a suivi, je me suis réveillée pour vomir. Je me sentais terriblement faible. Je ne parvenais plus à bouger ni mes jambes, ni mes bras qui me semblaient peser des tonnes. J’avais aussi de la fièvre. Dans les jours qui ont suivi, les ganglions de mon cou sont devenus énormes. Une semaine plus tard, mes amygdales avaient tellement gonflé que j’ai dû être transportée aux urgences.

J’ai ainsi été malade pendant 6 mois. Finalement on a dû m’enlever les amygdales en urgence. Mes règles avaient aussi complètement disparu. On finit par me diagnostiquer un cancer du col de l’utérus stade 3, cette maladie que j’avais précisément voulu éviter.

Trois mois avant de me faire vacciner, j’avais fait mon frottis annuel et tout était parfait ; bilan de santé parfaite.

Après la vaccination, chaque fois que je me fâchais ou m’énervais, je m’évanouissais.

J’ai aussi commencé à mal réagir à plusieurs aliments qui auparavant ne m’avaient jamais causé le moindre problème.

Pendant un an et demi, j’ai suivi plusieurs traitements pour mon cancer. Le diagnostic de cancer a été posé 3 fois à différents intervalles jusqu’au jour où il fut décidé de m’enlever le col de l’utérus.

Plusieurs mois plus tard, alors même que je n’avais plus de col de l’utérus, je reçus le 4ème diagnostic de cancer. C’est à ce moment-là que j’ai réalisé que la communauté médicale ne pouvait guère m’aider.

Mon cancérologue m’expliqua que j’allais mourir si je n’acceptais pas la chimiothérapie et la radiothérapie. C’est alors que je me suis rappelé que la santé des 3 membres de ma famille qui avaient été traités par chimiothérapie et radiothérapie, n’avait fait que se dégrader. – J’ai alors refusé les traitements qui m’étaient proposés.- Malgré le fait que j’étais dans la peur, j’ai commencé à faire mes propres recherches, à étudier. – J’ai finalement découvert le protocole du Dr M. Gerson (jeûne avec jus de fruits et de légumes, et lavement au café). J’y ai ajouté plusieurs autres thérapies alternatives. C’est ainsi que j’ai eu recours à la chiropraxie, à la chambre hyperbare, à l’acupuncture. J’ai aussi appris à méditer. J’ai ainsi pendant 6 mois, et de manière intense eu recours à différentes thérapies alternatives.


Dans mon alimentation, j’ai eu l’attention particulièrement attirée par les aliments ayant des propriétés anti-inflammatoires.- Ma nourriture était essentiellement bio ; pas de pesticides.

J’ai aussi pris des doses importantes de vitamine C. Je veillais à prendre des aliments sans gluten, sans produits à base de soja. J’avais aussi supprimé tous les produits laitiers. Des graisses comme l’huile de coco m’ont redonné de l’énergie car, pendant environ 2 ans je m’étais sentie très fatiguée, ne voulant pratiquement plus quitter mon lit. Ce régime à base de bonnes graisses est aussi favorable au bon fonctionnement du cerveau. J’ai aussi pris beaucoup d’Oméga 3.


Une chose qui m’a beaucoup aidée : l’exercice (yoga et marche) Sur le plan de l’exercice, il me fallait aussi être très prudente.

J’ai aussi essayé d’éviter toutes les formes possibles d’aluminium, de fluor.


D’une certaine manière, je me rends compte que c’est une chance de n’avoir eu qu’une seule injection. C’est peut-être grâce à cela que je suis encore là aujourd’hui. C’est en effet après la première injection que j’ai de suite été malade. – Il y a maintenant 9 ans que je n’ai plus de cancer.

Je ne sais personnellement pas si c’est le vaccin qui a causé tout cela ; je ne suis pas compétente en la matière. Ce que je puis dire cependant c’est que la maladie contre laquelle je voulais me protéger, je l’ai finalement contractée, et ce fut une longue et dure bataille.

Je veux aussi dire aux victimes du Gardasil qu’il y a de l’espoir grâce à l’alimentation et au style de vie.


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