26 novembre 2016

Bernard de la Villardière dénonce l’idéologie multiculturaliste à la con des «bobos de merde»


Critiqué fin septembre pour son sujet intitulé L’islam en France: la République en échec diffusé en prime time sur M6 dans Dossier tabou, Bernard de La Villardière avait répondu à ses détracteurs dans un long message publié sur Facebook. «Cette fausse polémique m’a évidemment atteint car elle révèle le mal profond dont souffre la presse française» avait-il notamment écrit le 6 octobre. «J’aurais aimé qu’elle commente plutôt ce que nous avons contribué à révéler à travers ce premier numéro de Dossier Tabou : l’incapacité des autorités publiques – au niveau national et local – à encourager voire organiser un islam conforme aux valeurs de la République.»

Il avait également épinglé le directeur adjoint de la rédaction de L’Express.fr, Eric Mettout. «Il demande de pisser de la copie à longueur de journée à des journalistes bien planqués derrière leur ordinateur et qui ne connaissent pas grand-chose du monde qui les entoure, avait-il critiqué. Il en fait des snipers pour régler ses comptes avec la vie et ses fantasmes fracassés par la dure réalité.» Même son de cloche auprès de nos confrères du magazine Society. «L’Express est devenu un journal bobo con, avec cette idéologie bobo de merde que je déteste de plus en plus» a-t-il déclaré. Bobo, c’est l’idéologie multiculturaliste à la con. Tout va bien dans le meilleur des mondes, etc. C’était sympa dans les années 70. Mais là, c’est juste con.»

Autre cible de ses critiques, le magazine Télérama qu’il accuse de n’avoir jamais rien d’écrit de positif sur lui. «Pourquoi? Parce qu’ils font du délit de sale gueule, estime-t-il. C’est de la pure paresse intellectuelle. Quand on a lancé Enquête exclusive, on m’a caricaturé. L’homme qui marche, obsédé par la drogue et les putes, c’était Le Petit journal. C’était drôle d’ailleurs. Le problème, c’est que tous les journaux ont repris le truc au premier degré, sans regarder le contenu des émissions.» Une caricature qu’il trouve injuste, arguments à l’appui, et qui l’agace profondément. «C’est l’autre là, Morandini, qui me caricaturait en obsédé du sexe! Eh bah, il est tombé par là» a-t-il conclu, tout en assurant être «blindé» désormais face à toutes ces attaques.

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