Les communautés autochtones de Stanley Mission et du Lac la Ronge, situées au nord de Prince Albert en Saskatchewan, sont en deuil après le suicide de trois jeunes filles âgées de 12 à 14 ans cette semaine. La salle du conseil de bande de Stanley Mission est depuis ouverte 24h/24.
Elle accueille ceux qui ont besoin d’aide, mais elle est aussi devenue un lieu de recueillement pour les familles et les gens de la communauté qui pleurent la mort de ces jeunes filles survenues lors du long week-end de l’Action de grâce.
La cheffe de bande de la réserve du Lac la Ronge dont l’une des trois filles était originaire, Tammy Cook-Searson, parle d’un «état de crise», a rapporté le «Saskatoon StarPhoenix».
Elle a expliqué combien il est important de rappeler aux jeunes qu’ils sont aimés. D’après elle, sur la vingtaine de jeunes qui risquent de se suicider, neuf d’entre eux sont passés à l’acte ces dernières semaines.
Certains parlent d’un «pacte de suicide».
Des travailleurs en santé mentale sont venus des régions avoisinantes pour apporter leur soutien. Le ministère de la Santé a également annoncé qu’il financera les coûts de traitements et de déplacements de trois thérapeutes en santé mentale qui devraient se rendre chaque fin de semaine à Stanley Mission, et ce jusqu’à décembre.
Plus tôt cette année, une vague de suicides avait aussi frappé la réserve d’Attawapiskat, située dans le nord de l’Ontario.
Le taux de suicide chez les jeunes autochtones serait cinq fois plus élevé que la moyenne nationale.
Source
Elle accueille ceux qui ont besoin d’aide, mais elle est aussi devenue un lieu de recueillement pour les familles et les gens de la communauté qui pleurent la mort de ces jeunes filles survenues lors du long week-end de l’Action de grâce.
La cheffe de bande de la réserve du Lac la Ronge dont l’une des trois filles était originaire, Tammy Cook-Searson, parle d’un «état de crise», a rapporté le «Saskatoon StarPhoenix».
Elle a expliqué combien il est important de rappeler aux jeunes qu’ils sont aimés. D’après elle, sur la vingtaine de jeunes qui risquent de se suicider, neuf d’entre eux sont passés à l’acte ces dernières semaines.
Certains parlent d’un «pacte de suicide».
Des travailleurs en santé mentale sont venus des régions avoisinantes pour apporter leur soutien. Le ministère de la Santé a également annoncé qu’il financera les coûts de traitements et de déplacements de trois thérapeutes en santé mentale qui devraient se rendre chaque fin de semaine à Stanley Mission, et ce jusqu’à décembre.
Plus tôt cette année, une vague de suicides avait aussi frappé la réserve d’Attawapiskat, située dans le nord de l’Ontario.
Le taux de suicide chez les jeunes autochtones serait cinq fois plus élevé que la moyenne nationale.
Source
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.