Principaux obstacles à l’embauche invoqués par les patrons : une mauvaise maîtrise de la langue et l’absence de qualifications certifiées. Conséquence : le nombre de réfugiés Syriens, Irakiens et Afghans pointant au chômage ne cesse d’augmenter. Ils étaient 346.000 en août, soit 150.000 de plus qu’en juin. Berlin plaide pour l’intégration via la formation.
A 6,1%, le taux de chômage est au plus bas depuis la réunification et les besoins en main d’œuvre qualifiée sont réels dans un pays au taux de natalité le plus bas d’Europe. Selon une étude réalisée l’an dernier par la Fondation Bertelsmann , pour maintenir sa force de travail au niveau actuel, l’Allemagne aurait besoin de 500.000 réfigiés par an jusqu’en 2050.
En ouvrant ses portes aux demandeurs d’asile du Proche-Orient, l’Allemagne a connu sa plus forte croissance démographique en 20 ans en 2015. La plupart de ceux qui ont trouvé un emploi ont été recrutés par des petites sociétés de services, essentiellement dans les villes et villages de province.
Source
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.