Les maires de Québec et Lévis craignent une remontée du front salin jusqu’à leurs prises d’eau dans les prochaines décennies, ce qui les forcerait à investir massivement dans les usines de traitement des eaux ou à trouver de nouvelles sources d’eau potable. L’étude de 300 000 $ servira à établir un modèle prévisionnel à long terme.
La CMQ a également confié un mandat d’environ 50 000 $ à l’organisme L’APEL afin d’établir une nouvelle méthodologie visant à caractériser les fosses septiques.
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