* Je viens de tomber, par hasard, sur cet article publié en juillet 2014. J'ai dû le relire 3 fois pour être bien certaine d'avoir bien lu et bien compris. Je me suis assurée que ce n'était pas un faux site ou un hoax. Je suis tellement imprégnée par la série "Homeland", qui démontre justement les pratiques vicieuses et criminelles du FBI et de la CIA, que j'ai pensé que cet article était une projection d'un fantasme intellectuel !
Nous avons ici la preuve que les "false flag" ou "faux attentats" ne sont pas des délires conspirationnistes, que des attentats terroristes peuvent être des stratégies utilisées par des autorités policières, gouvernementales et des agences du renseignement pour viser un objectif XYZ (à un niveau géopolitique, au nom de la sécurité intérieure, pour mousser une campagne électorale, etc.).
La police fédérale américaine (FBI) a « encouragé, poussé et parfois même payé » des citoyens américains de confession musulmane pour commettre des attentats sur son territoire dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001, selon un rapport de l'organisme Human Rights Watch (HRW).
« Le ministère américain de la Justice et le FBI ont ciblé des musulmans américains dans des opérations clandestines de contre-terrorisme abusives, fondées sur l'appartenance religieuse et ethnique », dénonce HRW. L'organisme a recensé plus de 500 affaires de terrorisme devant les tribunaux américains.
Appuyée par l'Institut des droits de l'homme de l'École de droit de l'Université de Columbia, HRW a particulièrement suivi 27 dossiers, de l'enquête au procès. Les deux organismes ont rencontré 215 personnes – inculpés, proches, avocats, juges et procureurs - en lien avec ces affaires.
« Dans certains cas, le FBI pourrait avoir créé des terroristes chez des individus respectueux de la loi en leur suggérant l'idée de commettre un acte terroriste », résume HRW, estimant que la moitié des condamnations résultent de coups montés.
« On a dit aux Américains que leur gouvernement assurait leur sécurité en empêchant et en punissant le terrorisme à l'intérieur des États-Unis », a déclaré l'un des auteurs du rapport, Andrea Prasow. « Mais regardez de plus près et vous réaliserez que nombre de ces personnes n'auraient jamais commis de crime si les forces de l'ordre ne les avaient pas encouragés, poussés, et parfois même payés pour commettre des actes terroristes. »
Quand le gouvernement fournit « l'idée et les moyens » du crime
Le rapport souligne que l'agent d'infiltration a joué un rôle actif dans la tentative d'attentat dans 30 % des cas étudiés.
HRW cite le cas des quatre suspects de Newburgh, accusés d'avoir fomenté des attentats contre des synagogues et une base militaire américaine. Le juge a finalement statué que le gouvernement avait « fourni l'idée du crime, les moyens, et facilité » les attentats en plus de transformer des hommes, « dont la bouffonnerie, était shakespearienne », en « terroristes».
Le FBI a également ciblé des personnes vulnérables, dont certaines souffraient de problèmes mentaux et intellectuels. Le rapport souligne également le cas de Rezwan Ferdaus, qui a été condamné à 17 ans de prison pour sa tentative d'attaquer le Pentagone et le Congrès avec des mini-drones bourrés d'explosifs.
Un agent du FBI avait indiqué que Ferdaus avait « de toute évidence » des problèmes mentaux. L'opération avait été entièrement conçue avec l'agent d'infiltration.
Source
Illusion of Justice
Human Rights Abuses in US Terrorism Prosecutions
https://www.hrw.org/report/2014/07/21/illusion-justice/human-rights-abuses-us-terrorism-prosecutions
Nous avons ici la preuve que les "false flag" ou "faux attentats" ne sont pas des délires conspirationnistes, que des attentats terroristes peuvent être des stratégies utilisées par des autorités policières, gouvernementales et des agences du renseignement pour viser un objectif XYZ (à un niveau géopolitique, au nom de la sécurité intérieure, pour mousser une campagne électorale, etc.).
La police fédérale américaine (FBI) a « encouragé, poussé et parfois même payé » des citoyens américains de confession musulmane pour commettre des attentats sur son territoire dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001, selon un rapport de l'organisme Human Rights Watch (HRW).
« Le ministère américain de la Justice et le FBI ont ciblé des musulmans américains dans des opérations clandestines de contre-terrorisme abusives, fondées sur l'appartenance religieuse et ethnique », dénonce HRW. L'organisme a recensé plus de 500 affaires de terrorisme devant les tribunaux américains.
Appuyée par l'Institut des droits de l'homme de l'École de droit de l'Université de Columbia, HRW a particulièrement suivi 27 dossiers, de l'enquête au procès. Les deux organismes ont rencontré 215 personnes – inculpés, proches, avocats, juges et procureurs - en lien avec ces affaires.
« Dans certains cas, le FBI pourrait avoir créé des terroristes chez des individus respectueux de la loi en leur suggérant l'idée de commettre un acte terroriste », résume HRW, estimant que la moitié des condamnations résultent de coups montés.
« On a dit aux Américains que leur gouvernement assurait leur sécurité en empêchant et en punissant le terrorisme à l'intérieur des États-Unis », a déclaré l'un des auteurs du rapport, Andrea Prasow. « Mais regardez de plus près et vous réaliserez que nombre de ces personnes n'auraient jamais commis de crime si les forces de l'ordre ne les avaient pas encouragés, poussés, et parfois même payés pour commettre des actes terroristes. »
Quand le gouvernement fournit « l'idée et les moyens » du crime
Le rapport souligne que l'agent d'infiltration a joué un rôle actif dans la tentative d'attentat dans 30 % des cas étudiés.
HRW cite le cas des quatre suspects de Newburgh, accusés d'avoir fomenté des attentats contre des synagogues et une base militaire américaine. Le juge a finalement statué que le gouvernement avait « fourni l'idée du crime, les moyens, et facilité » les attentats en plus de transformer des hommes, « dont la bouffonnerie, était shakespearienne », en « terroristes».
Le FBI a également ciblé des personnes vulnérables, dont certaines souffraient de problèmes mentaux et intellectuels. Le rapport souligne également le cas de Rezwan Ferdaus, qui a été condamné à 17 ans de prison pour sa tentative d'attaquer le Pentagone et le Congrès avec des mini-drones bourrés d'explosifs.
Un agent du FBI avait indiqué que Ferdaus avait « de toute évidence » des problèmes mentaux. L'opération avait été entièrement conçue avec l'agent d'infiltration.
Source
Illusion of Justice
Human Rights Abuses in US Terrorism Prosecutions
https://www.hrw.org/report/2014/07/21/illusion-justice/human-rights-abuses-us-terrorism-prosecutions
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