Les clients ont "flippé" quand David Rubenstein, le patron de Claren Road, a choisi non pas d'interdire, mais de décaler les retraits des capitaux demandés par ces mêmes clients...
Inutile de préciser que l'ambiance est à couper au couteau et qu'ils ne passeront sans doute pas l'hiver comme on dit :
"In an attempt to avoid a forced liquidation, Carlyle's hedge fund had no choice but to gate redemption requests". Juliet Chung du WSJ écrit (sans même une seule pointe d'humour noir): "The delayed-repayment schedule, unusual since the financial crisis ended" (note: ASRPT pour "à se rouler par terre") "has rankled some investors. The firm’s executives have said they believe the extended payout is the best way to protect both remaining and redeeming investors. The firm has told clients it won’t immediately pay back about two-thirds of the nearly $2 billion in withdrawals requested in the third quarter. It wasn’t clear when fourth-quarter redemption requests will be paid in full. The continued outflow of client money is the latest blow for Claren Road, a firm that wagers on and against debt and was known for its steady performance before notching several large losses starting in the fall".
Donc, si même les grands cerveaux (ici Mr Rubenstein) au cœur du système de Wall Street perdent progressivement le contrôle de la machinerie, alors la grande chute ne doit plus être bien loin. Lire ici le WSJ, ici le sujet de Bloomberg, et ici le bon papier de OctaFinances qui analyse leur 13F.
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Donc, si même les grands cerveaux (ici Mr Rubenstein) au cœur du système de Wall Street perdent progressivement le contrôle de la machinerie, alors la grande chute ne doit plus être bien loin. Lire ici le WSJ, ici le sujet de Bloomberg, et ici le bon papier de OctaFinances qui analyse leur 13F.
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