Une marche sponsorisée par le système
Il n’est pas difficile d’imaginer les cris d’horreur, les procès, les attentats qui se produiraient si des Blanches organisaient, dans leur pays, sur leur terre, une marche réservée exclusivement aux Blanches et dénonçant le racisme dont elles sont victimes de la part des envahisseurs....
Mais le racisme antiblanc assumé des occupants non seulement ne choque pas les autorités et ses médiats, mais ces derniers en font abondamment la publicité. Il en est ainsi d’une Marche des femmes pour la dignité (MFD, dite MAFED), organisée à Paris samedi.
« Il faut encore une fois sortir dans la rue, dénoncer la police qui assassine, le racisme structurel au sein de la société. Si nous ne demandons pas justice, personne ne le fera à notre place, a expliqué aujourd’hui Amal Bentounsi, membre du Mafed (Marche des femmes pour la dignité), un collectif autonome composé exclusivement de femmes affirmant subir le racisme d’État.
La “Marche de la Dignité”, qui dénonce l’islamophobie, la négrophobie et la romophobie et affirme vouloir “poursuivre la décolonisation” en s’inscrivant dans la lignée des luttes anti-impérialistes du passé, partira samedi de Barbès à 14h pour rejoindre la place de la Bastille, où des prises de parole sont prévues, suivies d’un concert auquel doivent notamment participer Kery James, Médine, Disiz, Tunisiano, Princess Erika »,
Éliminer les Blancs de France
L’affiche de l’événement ne laissait guère de place au doute : elle montre deux hommes et deux femmes aux types clairement non-européens, affublés parfois de vêtements ostentatoires caractéristiques d’une appartenance religieuse – l’islam en l’occurrence.
S’il prétend dénoncer le « racisme » – les occupants ne font en réalité qu’énoncer leur refus de s’intégrer et de se plier aux pourtant très peu contraignantes lois de leur République ainsi que leur volonté d’imposer leurs mœurs aux Français –, la MAFED est clairement raciste et prône ouvertement la ségrégation des Blancs.
« Le MAFED est exclusivement constitué de femmes noires, arabes, musulmanes, roms », précise ainsi sans la moindre ambiguïté le site raciste antiblanc « Scred connexion ».
Il s’agit bien d’une guerre menée contre la France, contre les Blancs :
« Il s’agit de nous réinscrire dans l’histoire des luttes de l’immigration »,
affirme l’une des membres de ce collectif raciste et colonialiste, Sihame Assabague, en référence aux émeutes de 1983 notamment.
Il n’y sera évidemment aucunement question du seul racisme qui tue en France : le racisme antiblanc, et ces femmes, qui prétendent lutter aussi pour leur sexe, n’auront aucun mot de compassion pour les nombreuses Françaises victimes de leurs frères et de leurs cousins ces dernières années, d’Anne-Lorraine à la jeune fille torturée et violée à Évry parce que blanche, un racisme que les ignobles juges de Christiane Taubira ont refusé de reconnaître. Là encore, bien loin des mensonges misérabilistes des occupants, le choix du système est clair.
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