FRAYEUR - Une centaine de jeunes âgés de 9 à 13 ans se sont rassemblés mercredi, avant de progresser jusqu'à la zone commerciale de Mas Balande pour saccager le cinéma. Ils ont d'abord forcé l'entrée avant de débouler dans l'une des salles où était projeté le film "Paranormal activity".
Les raisons de ce déferlement de violence restent inconnues. Mercredi après-midi, une centaine de jeunes âgés de 9 à 13 ans qui s’étaient rassemblés un peu plus tôt près de la zone commerciale de Mas Balande dans la banlieue de Perpignan, sont entrés de force dans le cinéma. Ils ont déboulé dans l'une des salles où était projeté le film Paranormal activity, rapport le journal régional L'indépendant.
Une fois à l’intérieur, les jeunes se sont emparés des lunettes 3D des spectateurs, avant de les piétiner et jeter à travers la pièce ou en direction de l'écran de projection, qui a aussi été la cible de divers autres projectiles avant d’être transpercé. Une soixantaine de policiers ont alors été mobilisés sur place pour faire sortir les agitateurs de la salle et ramener le calme au plus vite. Dans le même temps, tous les accès au cinéma ont été bouclés sans que les projections dans les autres salles ne soient interrompues.
"L'écran est hors-service"
Deux jeunes mineurs ont été interpellés et conduits au commissariat pour "outrage et rébellion". Un bus a finalement dû être appelé afin de ramener les jeunes, sous escorte policière toujours, jusqu'à leur domicile dans les quartiers du Bas-Vernet et du Champ-de-Mars, précise le journal régional. Au cours du trajet, un véhicule de police aurait été caillassé avant que tout ne rentre définitivement dans l'ordre.
La direction fait état de nombreux dégâts dans le cinéma : "Ils sont arrivés en bande et ont mis une vraie pagaille". Le cinéma va déposer plainte pour les dégradations occasionnées : "L'écran est hors-service, les lunettes rendues inutilisables. C'est la première fois que l'on vit une émeute de cette ampleur. Peut-être que c'était lié au film et qu'ils s'étaient regroupés avant, sur Internet, on ne sait pas." Des phénomènes de cette nature avaient été constatés lors de la sortie du film d'horreur Annabelle, dont les projections avaient été interrompues en raison d'incidents dans plusieurs cinémas de France.
Source
Les raisons de ce déferlement de violence restent inconnues. Mercredi après-midi, une centaine de jeunes âgés de 9 à 13 ans qui s’étaient rassemblés un peu plus tôt près de la zone commerciale de Mas Balande dans la banlieue de Perpignan, sont entrés de force dans le cinéma. Ils ont déboulé dans l'une des salles où était projeté le film Paranormal activity, rapport le journal régional L'indépendant.
Une fois à l’intérieur, les jeunes se sont emparés des lunettes 3D des spectateurs, avant de les piétiner et jeter à travers la pièce ou en direction de l'écran de projection, qui a aussi été la cible de divers autres projectiles avant d’être transpercé. Une soixantaine de policiers ont alors été mobilisés sur place pour faire sortir les agitateurs de la salle et ramener le calme au plus vite. Dans le même temps, tous les accès au cinéma ont été bouclés sans que les projections dans les autres salles ne soient interrompues.
"L'écran est hors-service"
Deux jeunes mineurs ont été interpellés et conduits au commissariat pour "outrage et rébellion". Un bus a finalement dû être appelé afin de ramener les jeunes, sous escorte policière toujours, jusqu'à leur domicile dans les quartiers du Bas-Vernet et du Champ-de-Mars, précise le journal régional. Au cours du trajet, un véhicule de police aurait été caillassé avant que tout ne rentre définitivement dans l'ordre.
La direction fait état de nombreux dégâts dans le cinéma : "Ils sont arrivés en bande et ont mis une vraie pagaille". Le cinéma va déposer plainte pour les dégradations occasionnées : "L'écran est hors-service, les lunettes rendues inutilisables. C'est la première fois que l'on vit une émeute de cette ampleur. Peut-être que c'était lié au film et qu'ils s'étaient regroupés avant, sur Internet, on ne sait pas." Des phénomènes de cette nature avaient été constatés lors de la sortie du film d'horreur Annabelle, dont les projections avaient été interrompues en raison d'incidents dans plusieurs cinémas de France.
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