Vers 15h30, les gens du voyage sont retournés sur le terrain duquel ils avaient été expulsés quelques heures plus tôt. La communauté d'agglomération a annoncé se donner du temps pour trouver une solution.
En milieu de matinée jusqu'à 12h30 environ ce mercredi, les gens du voyage ont bloqué le rond-point du littoral près de Quartier Libre à Lescar. Ils étaient une centaine et avaient placé 16 caravanes aux entrées du giratoire. Délogés de l'ancien site d'Emmaüs près de l'usine à incinération, ils protestaient pour obtenir un autre terrain pour pouvoir passer l'hiver au sec. La police et la gendarmerie ont bloqué les accès en amont pour éviter des embouteillages. La circulation à proximité de la zone Lescar Soleil a été fortement perturbée.
"Personne n'est venu nous voir, il n'y a pas de solution proposée", s'est offusqué Jean, chef de la communauté. Adjoint au maire de Lescar, Joël Gratacos est arrivé sur place un peu plus tard. "A Lescar, on ne peut rien faire. Nous accueillons déjà 80 caravanes, il n'y a plus de place. La situation est bloquée mais ce n'est pas de notre ressort". Quant au commandant de police Philippe Capdevielle, il s'est montré plus vindicatif tout en tentant d'apaiser les esprits. "Il n'y a aucune négociation possible et la Préfecture ne veut pas laisser passer. S'ils ne partent pas d'eux-mêmes, nous irons au contact..."
Peu après midi la situation aurait pu dégénérer. Tandis que le commandant Capdevielle négociait avec les manifestants, une dépanneuse est arrivée pour enlever les caravanes. Les gens du voyage ont donc immédiatement rejoint leurs véhicules pour éviter qu'elles ne soient déplacées. CRS armés de flashball et gens du voyage se sont ensuite fait face pendant plus de 30 minutes. Face à cette impasse, les gens du voyage ont décidé de quitter les lieux, pour éviter l'affrontement avec les forces de l'ordre, notamment en raison de la présence de nombreux enfants.
Source
En milieu de matinée jusqu'à 12h30 environ ce mercredi, les gens du voyage ont bloqué le rond-point du littoral près de Quartier Libre à Lescar. Ils étaient une centaine et avaient placé 16 caravanes aux entrées du giratoire. Délogés de l'ancien site d'Emmaüs près de l'usine à incinération, ils protestaient pour obtenir un autre terrain pour pouvoir passer l'hiver au sec. La police et la gendarmerie ont bloqué les accès en amont pour éviter des embouteillages. La circulation à proximité de la zone Lescar Soleil a été fortement perturbée.
"Personne n'est venu nous voir, il n'y a pas de solution proposée", s'est offusqué Jean, chef de la communauté. Adjoint au maire de Lescar, Joël Gratacos est arrivé sur place un peu plus tard. "A Lescar, on ne peut rien faire. Nous accueillons déjà 80 caravanes, il n'y a plus de place. La situation est bloquée mais ce n'est pas de notre ressort". Quant au commandant de police Philippe Capdevielle, il s'est montré plus vindicatif tout en tentant d'apaiser les esprits. "Il n'y a aucune négociation possible et la Préfecture ne veut pas laisser passer. S'ils ne partent pas d'eux-mêmes, nous irons au contact..."
Peu après midi la situation aurait pu dégénérer. Tandis que le commandant Capdevielle négociait avec les manifestants, une dépanneuse est arrivée pour enlever les caravanes. Les gens du voyage ont donc immédiatement rejoint leurs véhicules pour éviter qu'elles ne soient déplacées. CRS armés de flashball et gens du voyage se sont ensuite fait face pendant plus de 30 minutes. Face à cette impasse, les gens du voyage ont décidé de quitter les lieux, pour éviter l'affrontement avec les forces de l'ordre, notamment en raison de la présence de nombreux enfants.
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