J’aime les miens...
Vous n’avez pas l’air d’aimer les allemands ? Réponse : J’en ai contre les chauffeurs et la direction vers laquelle l’autobus se dirige, pas contre les passagers... Et ça vaut pour la planète l'univers et le reste. Ceci dit, culture, valeur, personnalité, j’aime les miens. Je crois que la langue cultive la personnalité et les valeurs, et la langue française le fait mieux que tout autre. Pas que je n’aime pas les autres nations, je préfère les miens parce que je sais à quoi m’attendre et je ne peux en dire autant des autres. Ils sont différents de nous. Ils ne pensent pas comme nous. Ils n’ont pas les mêmes valeurs que nous. La nature profonde des peuples. Une nature qui se retrouve chez tous les individus qui partagent la même nation. Une sorte de culture de société qui est un mélange des choix et des réactions les plus faciles et les plus adaptés à une société et une génétique donnée. Ça se cultive et ça prend des générations et des générations avant de changer. - C’est le problème de l’immigration massive. En très petite quantité, un poison mortel devient un médicament. Plus que ça et il y aura un bouillon de culture profonde qui se transmettra, exactement comme cela était dans leurs pays natifs. Il y aura création d’une autre race dans le même parc. Quand les rats sont installés dans les sacs à poubelles, c’est difficile de les déloger. Une micro société dans la société. Une confrontation des valeurs va suivre. C’est ce qui est souhaité. - J’aime les miens et pas les autres. Appelle ça comme tu veux.Pierre de Châtillon
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