20 mai 2015

Les populations n’ont pu être transposées directement sur la terre...



« Bonsoir Pierre, J'aurai aimé connaitre votre avis concernant cet état de chose : Corolaire : Nous sommes d'accord qu'il y a eu plusieurs lignées génétiques humaines de par le passé. Questions : Les 2 dernières lignées sont-elles incompatibles (en terme de reproductions) ? À combien estimes-tu les populations de ces 2 lignées aujourd'hui, en terme de pourcentage ?
Je demande cela car : - une très grande majorité de la population aujourd'hui est de rhésus positif (plus de 90%) ,- Le rhésus négatif est présent surtout dans les populations "blanches" (très peu en Afrique ou en Asie). Serait-ce le "sang bleu" des rois ? - il y a de gros problèmes dans les grossesses quand, par exemple, une femme de rhésus négatif attend un enfant d'un père rhésus positif et que cela donne naissance à un fœtus de rhésus différent de celui de la mère qui le porte. Il est par ailleurs admis que les défenses immunitaires de la mère se mettent à "combattre" l'enfant. Un cas unique dans le règne animal. - Autre fait intéressant : de par le passé, il n'était pas rare de voir les hommes (surtout les chefs des tribus) "sceller leur sang", en s'entaillant le bout du doigt par exemple. Hors, on sait aussi parfaitement bien que le mélange d'une goutte de sang de rhésus positif avec une goutte de sang du rhésus opposé produit une réaction tellement violente qu'elle est même visible à l’œil nu. Serait-ce un moyen de reconnaissance entre "lignées génétiques" ? En bref, rhésus et lignées génétiques seraient-ils liés ? [...]»

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Sans aucun doute. D’autant plus que les yeux bleus étaient chez un individu indicateur de la présence du rhésus négatif. Les populations n’ont pu être transposées directement sur la terre et elles ont dû être créées et acclimatées par de l’ajout humain, simiesque ou autre. S’il y a des techniques pour accroître l’affinité entre les races, au mieux trois à cinq générations sont certainement nécessaires avant d’entrevoir une base susceptible de devenir noyau et d’essaimer. Le résultat sera peut-être viable, à la rigueur acceptable selon nos normes, mais de nombreuses générations seront encore nécessaires avant que la lignée ne soit stable. Ce qui pourrait expliquer des aberrations comme celles que vous avez mentionnées, ou le fait que l’haploïde arabe ne survit pas à l’extérieur du sud de la Méditerranée, ou ces races qui choisissaient le retour à la voie animale en copulant avec la race ajoutée. - Les nazis parlaient d’apports exogènes dans la détermination de la race. Possible même que le mot « martien » ait été utilisé. Au moins un auteur ancien parlait du visage en pointe de certaines races pour souligner leurs jeunesses, ajoutant qu’elles devraient être patientes.

PDC

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