17 février 2015

L’hystérie vaccinale actuelle pourrait déclencher un cauchemar totalitaire


Le Dr Lee Hieb qui écrit pour WND.com rejoint le nombre de médecins de plus en plus nombreux qui ont décidé de s’exprimer contre les vaccinations forcées, ainsi que contre l’hystérie qui se répand actuellement dans les médias traditionnels. Le Dr Lee Hieb est chirurgienne orthopédiste spécialisée en chirurgie vertébrale. Elle a été présidente de l’Association des Médecins et Chirurgiens Américains.

La voix du Dr Hieb est celle de la raison et du bon sens dans le débat actuel sur les vaccins. Sa position contraste avec celle des grands médias d’aujourd’hui, largement financés par l’industrie pharmaceutique, qui voudraient faire appel à la force pour imposer les vaccins et supprimer les permis d’exercer des médecins qui sont en désaccord avec eux.

Le Dr Hieb souligne à juste titre les conclusions logiques qui devraient s’imposer si on permettait au gouvernement de prendre des décisions médicales « pour le plus grand bien de la société » en l’autorisant à injecter des produits chimiques dans notre corps :

« L’éthique médicale est très claire. Personne ne devrait être forcé de subir un traitement médical sans son accord et sans son consentement éclairé. Nous condamnons la stérilisation forcée des années ’20 et des années ’30, les expérimentations médicales de Tuskegee qui ont infecté des détenus noirs, ainsi que la médecine nazie qui avait recours à « l’euthanasie » involontaire, à l’expérimentation, ainsi qu’à la stérilisation. Comment pourrions-nous forcer la vaccination sans consentement ? La vaccination est un traitement médical qui comporte des risques, y compris celui de décès. Il est tout à fait contraire à toute éthique médicale d’imposer ces risques à quiconque.

Si vous pensez que le gouvernement a le droit de vacciner les gens par la force – pour le bien de la société – qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de stériliser de force, d’euthanasier de force ou d’implanter de force un dispositif de suivi – tout cela pour le bien de la société ? Vous pouvez penser que ces exemples sont extrêmes (bien que les deux tiers se soient déjà produits), mais le principe est le même. Vous autorisez que le gouvernement ait l’autorité suprême sur votre corps. »

Le Dr Hieb ne s’en tient pas uniquement à son analyse sur l’éthique médicale et les implications politiques d’une vaccination forcée, elle continue de répondre à deux questions cruciales que vous avez peu de chances d’entendre un jour dans les médias grand public : les vaccins sont-ils sûrs et efficaces ?

Les médecins qui veulent promouvoir la liberté de choix en matière de santé sont confrontés à la persécution et à la censure

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Comme le Dr Hieb aura été mise en vedette sur le réseau de santé Health Impact News et comme ses commentaires vont être repris dans d’autres médias alternatifs qui ne sont pas financés par Big Pharma, elle ira vraisemblablement rejoindre les rangs des médecins qui seront attaqués et ridiculisés publiquement. Les médecins pro-vaccins vont vraisemblablement apparaître à la télévision pour demander la suppression de son permis de pratiquer la médecine et faire connaître leur position dans les grands médias.

Health Impact News veut inviter tout médecin qui désire rejoindre ces courageux confrères qui ont osé s’exprimer pour dire la vérité et réclamer la liberté en matière de Santé aux Etats-Unis. L’Amérique a besoin de vous entendre aussi sur les problèmes de liberté en matière de santé, et nous voulons vous encourager vous à rejoindre vos amis et collègues qui ont risqué leur carrière et peut-être leur vie pour dénoncer la contrainte vaccinale d’un gouvernement tyrannique, pour avoir osé aborder le problème de la sécurité et de l’efficacité des vaccins

Comme le précise le Dr. Hieb : « La science ne conclut jamais définitivement ».

«M. Obama et autres idéologues peuvent penser que la vérité est fixée une fois pour toutes « la science est indiscutable (incontestable), mais la réalité de notre compréhension de la maladie et des traitements doit constamment être remise à jour. Tout juste comme le paradigme d’un univers mécanique de Newton a été supplanté par la physique d’Einstein, les physiciens d’aujourd’hui continuent de modifier ce point de vue. C’est comme cela que l’on peut dire que « la vérité » médicale n’est pas une vérité pour très longtemps. Dans une tentative de quantifier le changement en médecine il y a quelques années, un journal de cardiologie a évoqué « la demi-vie de la vérité ».

Les cardiologues ont jeté un coup d’œil sur leurs journaux parus 20 ans plus tôt pour se rendre compte à quel point ce que l’on croyait à cette époque était encore vrai aujourd’hui. La réponse ? 50 pour cent ! Ainsi, en cardiologie au moins, - et dans toute la médecine, à des degrés divers, - seulement la moitié de ce que nous croyons vrai aujourd’hui le sera encore dans une vingtaine d’années.

Le dernier mot sur la vaccination n’a pas encore été dit. On n’a même pas encore commencé à l’écrire. »

Ici à « Health Impact News », nous continuerons à écrire et à publier.

Ce que dit le Dr Lee Hieb est tout à fait évident. Plus de 50 ans plus tôt, un parlementaire comme le Français Roger Duveau, sonnait le même tocsin dans un texte absolument superbe qui était en fait une proposition de loi en vue d’empêcher toute obligation vaccinale, précisément pour éviter ce type de tyrannie. Encore avant lui, le Dr Emery Coderre, de l’université de Montréal, publiait en 1875 un avertissement conséquent sur les vaccinations, leurs funestes effets et la véritable idéologie officielle qui n’entend pas appliquer le débat ou le questionnement proprement scientifiques à cette pratique. Le temps est venu de constater le chemin parcouru, et d’oser voir que la santé globale des populations s’est considérablement aggravée/dégradée, en n’ayant pas la bêtise de ne se focaliser QUE sur telle ou telle maladie infectieuse mais en regardant GLOBALEMENT. Le temps est venu de dire que ceux qui veulent s’entêter dans la vaccination pour eux et leurs enfants n’ont qu’à le faire en gardant leurs croyances pour eux, sans espérer les imposer jusque dans le corps d’autrui, tout simplement parce qu’il n’y a pas d’un côté, certains hommes qui auraient des droits sur plus que leur corps et de l’autre, des personnes qui en auraient sur moins que leur corps. La liberté de ne pas se faire injecter de force des substances chimiques dans le corps au prétexte qu’elles ont une étiquette factice de « scientifiquement prouvé » constitue la liberté la plus évidente, la plus primordiale et la plus urgente à faire respecter, tout simplement parce que sans santé, aucune qualité de vie, aucune vigilance politique ne sont réellement possibles pour une collectivité. Il est donc urgent de le dire et urgent d’agir et l’avenir des générations futures dépend clairement de ce choix. 

Source : Health Impact News 

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