Jeune fille de 15 ans fouillée à nu dans une école au Québec !

Montée de lait à la commission scolaire de la Capitale et au ministre de l’Éducation Bolduc. - Je résume en deux mots à l’usage de mes lecteurs des autres pays. Nous venons tous d’apprendre qu’ici au Québec, lorsque des adolescents dont l’âge varie entre 11 et 17 ans sont soupçonnés par l’école de posséder de la drogue, c’est la fouille à nu. N’allez pas croire que c’est là, la dernière trouvaille d’un directeur d’école sans jugement, non, non, c’est une méthode légale documentée, et entérinée par les plus hautes instances politiques du Québec. Ainsi une jeune fille de 15 ans soupçonnée de posséder de la drogue, a été fouillée à nu. Et comme s’il fallait ajouter l’insulte à l’injure, la petite a été mise à la porte de l’école, même si rien n’a été trouvé. - L’examen m’apparait assez incomplet. Pourquoi n’y a t’il pas eu de fouille anale et vaginale tant qu’à y être! Car je suis persuadé que des gants de latex et une lampe dans le trou du cul n’auraient pas plus d’effet sur elle que votre mise à nu. Mais êtes-vous complètement rendu malade? Auriez-vous fait ça si son père avait été avocat ou notable? Ou à une jeune musulmane? Mais où se croyaient ceux qui ont mis ça en place, dans un état policier? Ça s’appelle de l’abus de pouvoir et vous n’êtes que des incompétents. Légal ou pas on s’en crisss et c’est là ou vous avez manqué de jugement. C’est votre job de protéger l’intégrité de nos jeunes avec une empathie sans mesure pour chacun d’entre eux. Vous avez failli à votre devoir à tout point de vue. Je peine à croire que des gens comme vous conduisiez une école et vous occupiez de nos jeunes. Tout ça, agrémenté par un ministre qui se fait un devoir de feindre l’incompétence comme toujours. Coup donc, il n’a pas de patron ce type-là? - Bien que je sois un individu pacifique monsieur le directeur je peux vous garantir main sur le coeur que je vous aurais piqué une crise d’enfer si vous aviez traité ma petite de cette façon. Juré craché. Le poil me frise dans le cou quand j’y pense.

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