03 novembre 2014

Un constat s'impose : C’est la violence d'une minorité qui gouverne !

Toute la presse crie à la bavure des gendarmes dans la mort du jeune homme, lors du maintien de l’ordre au barrage de Sivens.

Le comble a été atteint mardi soir au journal de RTL où l’on a pu entendre l’animateur Fogiel attiser les foules contre les gendarmes.
Sa méthode est simple. Comme il a le courage d’une poule et ne veut pas assumer ses opinions, il répète toutes les minutes une interrogation. « Les gendarmes ont-ils commis une bavure ? »

Le mot d’ordre est clair dans les milieux parisiens. Il faut bouffer du gendarme. Il faut soutenir le parti ultra-minoritaire mondialiste et violent des écologistes. (1)
C’est sur l’antenne la plus écoutée de France que cet animateur, sous couvert d’informer, laisse entendre que les gendarmes ont volontairement lancé une grenade offensive sur un individu qui passait par là.
Les blancs dans les informations sont significatifs de ce que les médias français veulent imprimer dans la conscience collective. Il ne s’agit ni plus ni moins que de manipulation, conduite délibérément.

La violence des manifestants est passée sous silence, les armes qu’ils utilisent pour attaquer les forces de l’ordre n’existent pas. Enfin leur méthode d’occupation des terrains et de mise en cause systématique de la volonté du plus grand nombre est toujours passée sous silence. Enfin on ne sait pas qui ils sont véritablement.
C’est bien en face de forces qui ne reconnaissent pas le scrutin universel que se trouvent les gendarmes. Ces forces qui ne sont pas concernées par les élections ni par les représentants que le peuple se donne, méprisent la population dans son ensemble, en imposant à force de renforts étrangers, toujours violents, la volonté d'une minorité au plus grand nombre.

Nous nous retrouvons dans la configuration où les écologistes incapables d’obtenir des suffrages suffisants, imposent à la nation leur seule volonté au plus grand nombre, par l’envoi d’éléments violents. Faut-il interdire ce parti politique ? La question est aujourd’hui d’actualité.
Mais voilà, nous ne bénéficions pas de l’esprit supérieur de ces totalitaristes masqués, de ces insurrectionnels voilés et nous en restons aux principes traditionnels d'« un homme une voix », ou du « ce sont les élus qui dirigent le pays ». Nous n’avons pas encore assimilé leur principe à eux, que nous pouvons résumer dans la formule : « Comme nous sommes les plus intelligents, vous êtes donc des ânes, vos décisions sont nulles ».

La position de l’opposition est nette. Silence. Il n’y a plus d’opposition. C’est Bayrou qui nous a expliqué dans la journée de dimanche pourquoi il n’y avait plus d’opposition. En fait nous sommes gouvernés par une force politique qui va de gauche au centre jusqu’à l’UMP.

L’UMP reconnaît de fait, la parole du gouvernement comme la sienne.

Dans tous les cas, gendarmes, n’attendez jamais le moindre soutien de l’UMP qui s’est illustrée en mettant en œuvre la disparition de la gendarmerie.

Dans ce concert, les responsables des forces de l’ordre, le ministre de l’intérieur, ont tenté dans un premier temps de faire front face aux forces anti-démocratiques soutenues par les élus EELV, mais cela n’a pas duré. Il ont immédiatement reculé et ont pris la décision de désarmer les gendarmes, de désarmer notre république, pour laisser le champ libre à toutes ces personnes qui contestent la volonté populaire.

La conclusion s’impose, nous ne sommes plus en république. C’est la violence qui gouverne.

Il est évident que la vérité est cachée au plus nombre.
Nous devons savoir combien il y a eu blessés dans les forces de l’ordre, nous devons connaître les moyens employés pour les agresser et quel était le dispositif mis en place par les responsables.

A t-on envoyé les gendarmes à la boucherie ?

De toutes façons avec les décisions de Cazeneuve de désarmer les gendarmes, leurs épouses peuvent préparer leurs mouchoirs et leurs enfants peuvent s’attendre à ne plus voir leurs pères ou peut-être des pères brûlés, dévisagés par les acides ou les flammes que les "gentils écologistes" leur ont lancé à la figure sous les applaudissement des médias parisiens.
Oui, en conscience, Caseneuve envoie les gendarmes se faire abattre, se faire mutiler, ou se faire tuer. Je pense que je n’exagère pas puisque je fais le constat des moyens inhabituels employés pour les attaquer.

Nous exigeons de notre côté que des poursuites soient engagées contre les responsables des manifestations, contre ceux qui les soutiennent dans leurs attaques en bandes armées contre les représentants de l’ordre.

L’aboutissement de cette affaire est simple. L’Etat n’est plus en mesure d’assurer la paix publique. Demain, naturellement, le peuple s’organisera lui-même pour que ses décisions soient respectées et cela en faisant front face à ceux qui brûlent le drapeau national sur la place de Gaillac. Leur message a été clair, pas de nation, place à la violence et à l’arbitraire.

jmestries

(1) Les écologistes parisiens seront crédibles lorsqu’il produiront de énergie en plaçant des éoliennes sur les toits de Paris et en plaçant des centrales électriques le long de la seine. Mais non, cela gênerait les bobos. La gène ce n’est bon que pour le populo des campagnes, ces rustres mal léchés....

Source

Paul : il faut reconnaitre que dans cette affaire les médias et les politiques sont à charge et ne diffusent pas de photos ou vidéos où l'on voit des mondialistes écologistes ultra-violents jeter de l'acide, enflammer des Gendarmes ou lancer des projectiles explosifs ! Qui mène la danse ?
N'oublions pas que le mouvement écologiste mondial est un instrument du Mondialisme, une peste verte financée et instrumentalisée par des cartels apatrides. Des pions...

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