08 novembre 2014

Organisations mondialistes ultra-violentes : qui mène la danse ?

Pour suivre des militants entraînés, qui sont prévenus en temps réel de leurs mouvements et de leur présence à des kilomètres à la ronde, les policiers et les gendarmes doivent s’organiser.


Ils n’hésitent pas à utiliser les réseaux sociaux pour anticiper les assauts et identifier les leaders afin de savoir où ils se situent. Un gendarme confie que la tâche est compliquée : « L’utilisation des réseaux sociaux est efficace, mais les militants désactivent désormais la géolocalisation de leurs messages, ce qui rend notre mission plus difficile. »

Confrontés à un véritable cache-cache à ciel ouvert, les policiers et les gendarmes ne peuvent plus compter sur les interceptions téléphoniques : « Les militants les plus aguerris communiquent de manière cryptée et protègent leurs connexions Internet pour ne pas pouvoir être identifiés », commente un fonctionnaire de police qui ne cache pas que les forces de l’ordre se sentent démunies contre ces groupes très professionnels.

Pour essayer tout de même de récupérer des informations, elles recourent à une méthode qu’elles connaissent bien : l’infiltration. Cette technique a fait ses preuves, mais les militants sont méfiants. « Les organisateurs des contestations sont conscients de l’existence de cette méthode. Dès qu’ils ont un doute sur un membre de leur entourage, ils n’hésitent pas à l’éloigner de leur premier cercle », confie un policier.

Source

Paul : Si les "forces de l'ordre" veulent savoir comment ces "terroristes organisés" connaissent leurs déplacement, s'adresser naturellement au ministre de l’Intérieur ou à Wallz... M'est avis qu'ils instrumentalisent les 2 côtés !

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