C'est devenu une habitude. Les manifestants anti-Hollande ont sifflé le chef de l'Etat ce lundi lors des cérémonies du 14 juillet. Ils avaient déjà fait de même le 14 juillet 2013 et lors des dernières commémorations du 11 novembre. Les cris et sifflets, facilement identifiables sur les images diffusées à la télévision, sont cependant restés l'oeuvre de quelques poignées de manifestants. Une grande partie de la foule (Paul : bobos socialistes) a également applaudi le président.
Faut-il, peu importe ses opinions, huer le chef de l'Etat lors des cérémonies de la fête nationale? La question refait surface après cet épisode. "C'est une honte, ce n'est pas le jour", s'était notamment indigné un professeur d'histoire le 11 novembre dernier, alors que des anti-Hollande sifflaient.
Une "question de droits de l'homme"
David Van Hemelryck, animateur du mouvement "Hollande démission", est l'un de ces militants qui appellent régulièrement à siffler le chef de l'Etat (et qui ont notamment participé à la manifestation "Jour de colère" en janvier dernier). Contacté par L'Express ce lundi, il explique avoir été interpellé avec une dizaine de personnes avant même le passage du président. Une décision qu'il conteste: "Quel est le crime dans le fait de huer un président?", souffle-t-il.
N'a-t-il pas, tout de même, choisi le mauvais moment pour faire passer son message? "Le 14 juillet, c'est un jour de liberté, rétorque-t-il. C'est une question de droits de l'homme. Nous avons le droit de contester."
Avoir été mis à l'écart ne l'a d'ailleurs pas empêché de s'époumonner quand François Hollande est arrivé sur les Champs-Elysées. D'autant que certains de ses camarades sont, eux, passés entre les mailles du filet. "J'ai vu qu'on nous avait quand même entendus à la télévision, c'était le but", se félicite-t-il.
Source
Paul : Nombre de morts du pugilat qu'a été la "Révolution Française" : entre 600 à 800 000 morts ! Le perdant : le peuple, les grands gagnants et initiateurs de ce crime : la bourgeoisie commerçante et la finance...
Faut-il, peu importe ses opinions, huer le chef de l'Etat lors des cérémonies de la fête nationale? La question refait surface après cet épisode. "C'est une honte, ce n'est pas le jour", s'était notamment indigné un professeur d'histoire le 11 novembre dernier, alors que des anti-Hollande sifflaient.
Une "question de droits de l'homme"
David Van Hemelryck, animateur du mouvement "Hollande démission", est l'un de ces militants qui appellent régulièrement à siffler le chef de l'Etat (et qui ont notamment participé à la manifestation "Jour de colère" en janvier dernier). Contacté par L'Express ce lundi, il explique avoir été interpellé avec une dizaine de personnes avant même le passage du président. Une décision qu'il conteste: "Quel est le crime dans le fait de huer un président?", souffle-t-il.
N'a-t-il pas, tout de même, choisi le mauvais moment pour faire passer son message? "Le 14 juillet, c'est un jour de liberté, rétorque-t-il. C'est une question de droits de l'homme. Nous avons le droit de contester."
Avoir été mis à l'écart ne l'a d'ailleurs pas empêché de s'époumonner quand François Hollande est arrivé sur les Champs-Elysées. D'autant que certains de ses camarades sont, eux, passés entre les mailles du filet. "J'ai vu qu'on nous avait quand même entendus à la télévision, c'était le but", se félicite-t-il.
Source
Paul : Nombre de morts du pugilat qu'a été la "Révolution Française" : entre 600 à 800 000 morts ! Le perdant : le peuple, les grands gagnants et initiateurs de ce crime : la bourgeoisie commerçante et la finance...
Communiqué de presse de l’Élysée – Mercredi 9 juillet 2014
Entretien avec le Premier sinistre israélien
Le Président de la République a eu ce soir un entretien téléphonique avec le Premier sinistre israélien, Benyamin NETANYAHOU. Il lui a exprimé la solidarité de la France (Paul : sa solidarité, pas celle des Français !) face aux tirs de roquettes en provenance de Gaza ( Paul : camp de concentration à celle ouvert !). Il lui a rappelé que la France condamne fermement ces agressions.
Il appartient au gouvernement israélien de prendre toutes les mesures pour protéger sa population face aux menaces.
Le Président de la République rappelle la nécessité de prévenir l’escalade des violences.
Commentaire :
Entretien avec le Premier sinistre israélien
Le Président de la République a eu ce soir un entretien téléphonique avec le Premier sinistre israélien, Benyamin NETANYAHOU. Il lui a exprimé la solidarité de la France (Paul : sa solidarité, pas celle des Français !) face aux tirs de roquettes en provenance de Gaza ( Paul : camp de concentration à celle ouvert !). Il lui a rappelé que la France condamne fermement ces agressions.
Il appartient au gouvernement israélien de prendre toutes les mesures pour protéger sa population face aux menaces.
Le Président de la République rappelle la nécessité de prévenir l’escalade des violences.
Commentaire :
@ Djamel,
Ceux qui ont voté pour F.Hollande l’ont fait dans un sens positif : pour les idéaux de la gauche et pour que N.Sarkosy n’accède pas une deuxième fois au pouvoir.
Imaginez N.S. Président de notre Pays depuis 2012, après ce que nous avons vécu de 2007 à 2012. Ce n’était pas possible. Il fallait donc voter !
Seul Hollande pouvait être pour nous le bélier qui pouvait l’éjecter. Donc aucun regret. N.S aurait fait sans doute pire que F.H.
Que F.H. fasse la même politique que N.S., sachant pourquoi il à été élu par les Français et après ses promesses électorales, c’est cela la trahison. Qu’il soutienne Israël alors que manifestement il y a instrumentalisation d’un mensonge d’État pour justifier l’inacceptable : le déchainement barbare criminel, sans limite, auquel nous assistons sans pouvoir rien faire.
Nous n’avons pas élu le pouvoir Sioniste qui a accaparé tous les pouvoirs la France depuis 2007 et qui la rend criminelle.
Le vote pour F.Hollande à eu au moins l’ avantage d’être un révélateur : on sait maintenant à l’évidence ce qu’il se passe en France depuis 7 ans. Que voter PS ou UMP cela ne veut plus rien dire, notre démocratie est morte.
Après ce qu’il s’est passé en Libye puis en Syrie et maintenant en Ukraine et à Gaza la très grande majorité des Français savent qu’ils se sont fait rouler et que les cinglés qui nous dirigent nous font jouer un très mauvais rôle, auquel nous n’adhérons absolument pas.
Le déchainement criminel à Gaza est pour eux le pas de trop !
Ceux qui ont voté pour F.Hollande l’ont fait dans un sens positif : pour les idéaux de la gauche et pour que N.Sarkosy n’accède pas une deuxième fois au pouvoir.
Imaginez N.S. Président de notre Pays depuis 2012, après ce que nous avons vécu de 2007 à 2012. Ce n’était pas possible. Il fallait donc voter !
Seul Hollande pouvait être pour nous le bélier qui pouvait l’éjecter. Donc aucun regret. N.S aurait fait sans doute pire que F.H.
Que F.H. fasse la même politique que N.S., sachant pourquoi il à été élu par les Français et après ses promesses électorales, c’est cela la trahison. Qu’il soutienne Israël alors que manifestement il y a instrumentalisation d’un mensonge d’État pour justifier l’inacceptable : le déchainement barbare criminel, sans limite, auquel nous assistons sans pouvoir rien faire.
Nous n’avons pas élu le pouvoir Sioniste qui a accaparé tous les pouvoirs la France depuis 2007 et qui la rend criminelle.
Le vote pour F.Hollande à eu au moins l’ avantage d’être un révélateur : on sait maintenant à l’évidence ce qu’il se passe en France depuis 7 ans. Que voter PS ou UMP cela ne veut plus rien dire, notre démocratie est morte.
Après ce qu’il s’est passé en Libye puis en Syrie et maintenant en Ukraine et à Gaza la très grande majorité des Français savent qu’ils se sont fait rouler et que les cinglés qui nous dirigent nous font jouer un très mauvais rôle, auquel nous n’adhérons absolument pas.
Le déchainement criminel à Gaza est pour eux le pas de trop !
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