02 mars 2014

Extraits du livre de Stan Maillaud: "Protocole des ignobles en robe noire"

Stan Maillaud

La reproduction des criminels pédophiles...
génération après génération

Il est un phénomène insoupçonné du « grand public », véritable toile de fond de la problématique que nous traitons dans ce dossier. Il s’agit du processus « d'initiation à la pédophilie » subie par d'innombrables enfants, en France et dans le monde.
Cette notion, comme vous le verrez, explique à elle-seule le "dysfonctionnement" chronique de notre institution judiciaire.
C’est dans le cadre de « soirées spéciales » que l'enfant de « notable » subit très certainement un procédé formel « d'initiation à la pédophilie ».
Beaucoup de témoignages font état d’enfants qui sont amenés par leur propre géniteur à « tourner » dans ces soirées spéciales, y subissant régulièrement viols collectifs et tortures. La majorité des cas, le parent qui fait subir ces horreurs à son propre enfant est un homme, mais il est quelques cas où il peut également s’agir du couple, ou uniquement de la mère. Si on a du mal à imaginer qu’une femme puisse pratiquer des violences sexuelles sur des enfants, ça n’est pas pour autant que cela ne se produit pas. En fonction de l’écrasement du traitement et de sa durée, la programmation appliquée aux enfants par la violence s’applique également sur des fillettes, lesquelles deviennent donc elles aussi prédatrices à l’âge adulte. C’est probablement ainsi que nous notons des cas où des femmes sont dénoncées par des enfants, en tant qu’agresseur sexuel.
Ce fut le cas dans « l’affaire Vincent », où l’enfant accusait la compagne de son géniteur, Virginie F., de violer son petit demi-frère très régulièrement.
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Les malades mentaux appartenant aux cercles « d’élite » sont donc invités à amener leurs propres enfants dans les séances qui permettent de « les préparer » à devenir les prédateurs soumis que le réseau veut en faire, à la grande gloriole de leurs géniteurs.
Donc, en fonction de « l’importance », de la loge et du grade des « notables » en question, ces enfants peuvent même subir jusqu'à « l'initiation à l'assassinat sacrificiel », par lequel très probablement leurs propres géniteurs seront passés eux-mêmes dans leur enfance, faisant d’eux ce qu'ils sont aujourd'hui. En l’occurrence, les malheureux enfants sont destinés à officier un cran très largement au dessus de la moyenne, probablement au niveau politique.
En outre, il est d’autres milieux formellement utilisés pour l’application de ces plans odieux, et créer les sujets programmés pour la « société » de demain, à différents niveaux sociaux.

Crime sexuel incestueux : La déviance pédophile en question

Il est essentiel, pour comprendre l’ampleur du problème dans « notre » société, de considérer qu’une victime non secourue devient le plus souvent bourreau elle- même.

La souffrance subie dès les premières années, tant sur le plan physique que psychologique, ne peut être supportée sur le long terme que si le sujet finit par adhérer au traitement qui lui est infligé. (Sur du très court terme, la seule occultation de la réalité peut suffire, sans que pour autant les répercussions en terme de troubles de personnalité ne soient bénignes.)
Cette souffrance, jamais traitée, d’enfant martyrisé sur du long terme et jamais secouru, sera alors enfouie dans son subconscient, avec le message que rentrer dans le jeu du tortionnaire aura été le seul moyen de survivre à ses monstruosités. A ce niveau, effectivement, le « sujet » aura été invité à passer du rôle de victime à celui de bourreau, faisant le constat indicible qu’il s’agissait de l’unique moyen de ne plus être victime.

On retrouve également dans ce processus un peu du syndrome de Stockholm, où l’otage en vient à prendre le parti du preneur d’otage et à adhérer à sa cause, suite au traumatisme qu’il subit, entre terreur et impuissance.
La notion d’injustice rentre quant à elle en ligne de compte dans l’inconscient du « sujet », comme une frustration majeure, jamais conscientisée, et donc jamais traitée. Cette notion n’aura jamais été conscientisée parce que le « sujet » aura été conduit à l’enfouir dans son subconscient, en occultant également cette notion d’injustice et en privilégiant la seule issue qui était de devenir lui-même bourreau. N’oublions pas que pour supporter l’insupportable, le cerveau humain active un processus de négation et d’occultation du réel vécu, qui conduit au dédoublement de la personnalité. Il est très facile à des bourreaux avertis, à l’instar des vulgaires briseurs de victimes des réseaux « classiques » de proxénétisme, d’atteindre le seuil du supportable chez leurs proies, au point que celles-ci déclenchent naturellement ce processus de « survie » psychologique qui fait d’elles des esclaves incapables de la moindre rébellion.

Mais la souffrance reste bien présente, profondément enfouie dans le subconscient de toute victime brisée. Cette souffrance et ces ressentis la parasiteront toute sa vie de façon envahissante.
Pour éponger cette souffrance et ses frustrations inconscientes, le « sujet » aura été amené, encouragé par ses tortionnaires au fil des années, à développer des mécanismes à la base déjà naturels, de transfert sur d’autres sujets vulnérables. Ce « sujet » d’origine, devenu adulte, à défaut d’une thérapie profonde, continue donc à traiter ses propres souffrances par l’agression sexuelle qu’il reproduit le plus souvent sur ses propres enfants.

Car si l’ex victime subissait elle-même comme enfant les abus de la part de ses propres parents, sa propre progéniture est ce qui lui permet justement ce transfert, cette forme « d’exorcisation » des souffrances vécues.
Ces processus psychiques ont été très largement étudiés et décodés, depuis des lustres, par ceux qui entendent contrôler l’Humanité.
Parallèlement à cela, le lavage de cerveau et la manipulation mentale appliqués dans les réunions de sociétés secrètes de type franc-maçonnerie, dès certains niveaux, répandent la croyance que la pratique de ce type de « magie sexuelle » appliquée jusque sur ses propres enfants, est ce qui permet à l’initié d’exalter son potentiel de domination, tout en préparant les générations futures – sa progéniture - à suivre ce chemin « d’élu » . Cette malheureuse progéniture est ainsi programmée pour devenir l’élite de demain, parfaitement détraquée psychologiquement, véritable « docteur Jekyl et mister Hyde ».

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Ceci permet aux notables concernés, aux criminels pédophiles de la pseudo élite et à leurs réseaux d'influence, de conforter le grand public manipulé dans la croyance qu'il n'y a, en fait de réseau « pédophile », que des criminels isolés, spécimens monstrueux issus du « bas peuple ».
Mais, si le problème peut être évité - ou qu'il ne s'agit pas en réalité d'une campagne de communication organisée par l'imposture politico-judiciaire - le criminel en question sera volontiers protégé par ce qui semble être le bras armé du réseau ; l'appareil judiciaire !

Il y a un autre schéma aujourd'hui très répandu ; le criminel auquel vous, en tant que parent protecteur, pouvez avoir affaire, fait partie de cercles d'influence tels que la rose-croix ou la franc-maçonnerie, d'où il tire son impunité.
Derrière des sociétés secrètes de ce type, nous retrouvons tout un procédé de cooptation et d'initiation rituelle, qui dérive graduellement et formellement vers le satanisme.
Au delà du dix huitième degré pour la franc-maçonnerie, les rituels deviennent de plus en plus odieux, allant jusqu'au rituel sacrificiel d'enfant.

Évidemment, la grande majorité des personnes cooptées dans ces sociétés secrètes ne doute pas, de prime abord, qu’il puisse s’agir de crime organisé, de satanisme. Cela lui est présenté comme tout son inverse, et, au comble du machiavélisme, l’on parle de philanthropie, de bienfaisance. Ça ne sera qu’en grimpant les échelons, au fil du temps, qu’un franc-maçon percevra ce à quoi il appartient en réalité. Il aura entre-temps été profondément compromis, et aura goûté les fruits empoisonnés de la débauche et du pouvoir, du crime impuni, de ce sentiment exclusif d’être au dessus de lois et des « masses incultes et stupides ». Comme il en est des religions – instaurées dans toute culture pour manipuler l’humain – des croyances sont véhiculées, mixées avec des pratiques ésotériques de plus en plus noires.
Avant d'en arriver là, les membres sont insidieusement orientés vers des pratiques sexuelles de groupes, les orgies si « tendance » et ouvertement plébiscitées par l'imposture politique qui nous parle de « libéralisme ». L’orgie est donc devenu le divertissement privilégié des « notables ». Au delà de la « joyeuse soirée », les sujets concernés glissent imperceptiblement vers la magie sexuelle, très prisée en satanisme.

Pour celles et ceux qui, naïvement, pensaient juste s’amuser entre amis de « la haute », à un moment donné, tout bascule.
Pour les initiés déjà bien avertis, dans ces joyeuses soirées, l’expression de leur pouvoir s’exalte d’autant plus que d’innocentes victimes pré-pubères subissent l’effet de leurs pulsions, avec cette parfaite impunité que leur réserve leur statu...
Le viol de l’être pur et innocent, avec son sacrifice, constitue la constante en matière d’expression de domination d’autrui, ainsi qu’un support essentiel en matière de rituel satanique.

Plus le crime est odieux, plus l’impunité qui s’y attache confère à celui qui le commet un sentiment de pouvoir suprême, et, si nécessaire, un peu de cocaïne anile toute capacité de se ressaisir.

Si tout le monde se tient par la... ...barbichette, dans ce type de cercles privés, le goût du pouvoir malsain sur autrui et de la débauche se développe rapidement, pour les membres sévèrement compromis. Ceux-ci choisissent de ne voir plus que les « bons côtés » de la situation, plongeant corps et âme dans l'abîme où ils sont précipités au fil des passages de grades et des rituels initiatiques. Les pseudos élites concernées en arrivent, en fonction de leur loge et grade, à apprécier des soirées privées où des enfants sont collectivement violés, certains étant parfois même torturés, cela pouvant aller jusqu'à la mise à mort sacrificielle.

Il peut également s’agir de garden-parties avec de parties de chasses suivis de barbecue de chair humaine fraîchement chassée et débitée, dans des propriétés somptueuses, assez isolées et très protégées.
Dans certains cas, l’horreur qui peut concerner de malheureux enfants n’a même pas d’équivalent cinématographique connu...
Notre enquête en cours sur cette extension du présent sujet, tenterait, à l’heure actuelle, à prouver que ces pratiques sont répandues sur l’ensemble du territoire national, à l’instar de la Belgique, tout comme le Satanisme, et ce, précisons-le toujours, au niveau des cercles dits de pouvoir.......

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