08 février 2014

Farida Belghoul, une chance pour la France


Farida Belghoul existe-t-elle ?

Celle qui fut à l’origine de Convergence 84 n’a pas été entendue. Son discours ? effacé ! Son message ? occulté ! Son mouvement ? détourné par une nuée de petites mains « touche pas à mon pote » : tout avait été soigneusement préparé pour violer son combat. Elle voulait la réconciliation black-blanc-beur au nom de l’égalité, pas la discrimination positive au nom de la différence, pas la pleurniche communautaire. Alors l’antiracisme institutionnel n’a pas voulu d’elle.

Exit Farida et sa volonté d’unir les Français de toutes origines !

Place à SOS Racisme, à sa vocation de clivage, à l’image imposée dans toutes les banlieues d’une France « moisie », collaborationniste, colonialiste, esclavagiste… pour s’assurer que les votes des descendants d’immigrés ne puissent jamais se tourner vers ceux qui aiment la France.

Jusqu’à ce que, lentement, ces Français venus d’ailleurs réalisent que derrière la petite main jaune il n’y avait ni Blacks ni Beurs, mais le PS et l’UEJF, et que leurs yeux étaient tournés vers Sion.

Trop tard, Farida Belghoul n’existait plus.

Celle qui a été à l’origine du REID (Remédiation éducative individualisée à domicile) n’a pas été entendue. Ses recherches de financement pour combattre l’illettrisme en banlieue ont été vaines, ses demandes de soutien sans réponse.

Exit Farida et sa volonté de sortir par le haut les enfants de l’immigration du ghetto des banlieues !

Place aux « politiques de la ville » et aux associations subventionnées pour les maintenir dans leurs tours et la nostalgie de leurs origines, rêvant de gloire en courant derrière un ballon et crachant leur haine de la France dans un rap rageur.

Alors elle est partie exister ailleurs.

Mais aujourd’hui la voilà revenue. Parce qu’elle a vu que la France se réveillait de trente ans de manipulations. Parce que le PS au pouvoir a permis de faire comprendre à ceux qui n’étaient pas encore nés sous Mitterrand que la gauche n’est pas l’amie du peuple. Ni celui de souche, ni celui de branche. Parce qu’elle n’a pas voulu égoïstement rester à l’abri avec ses enfants, à regarder sombrer la France, détruire la famille, saper les fondements d’une civilisation millénaire qui rejoint dans ses traditions les fondements de toutes les grandes civilisations du monothéisme, elle est rentrée chez elle.

Bienvenue Farida !

Place à la lutte contre l’expérimentation de la théorie du genre à l’école ! Déjà le gouvernement recule. Il a beau affirmer par la voix de sa porte-parole que la théorie du genre, ça n’existe pas : il a peur. Il entend gronder la France ; il voit se nouer des alliances qu’il avait voulues impossibles. Le site de la Ligne Azur est hors service. La « loi sur la famille » attendra des jours meilleurs. Qu’elle attende, et longtemps !

Nous, les Français, blacks, blancs, beurs, chrétiens, musulmans ou juifs qui refusons la destruction de la famille, l’embrigadement des enfants dans l’idéologie queer et l’hypersexualisation des relations entre individus asexués, nous nous levons derrière Farida Belghoul et le mouvement JRE (Journée de retrait de l’école) qu’elle a créé et qui fait trembler le pouvoir.

Aujourd’hui, Farida Belghoul existe.
Et c’est une chance pour la France !

Anne Lucken
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