Dans la matinée du vendredi 10 janvier, le Mobilier national en charge de l’aménagement des palais nationaux et autres résidences de l’État (ministères et ambassades) est appelé en urgence à l’Élysée pour procéder à une intervention sur site. À l’arrivée au Palais, le haut fonctionnaire découvre dans des salons et dans le bureau attribué à Hollande, du mobilier et des objets décoratifs tels que vases précieux de Sèvres, pendule signée par un grand horloger du début du XIXe siècle, consoles, guéridons, fauteuils renversés voire brisés comme pour les garnitures de cheminée gisant en morceaux épars au milieu de papiers et de matériel de bureau, le dessus de la table de travail ayant été balayé avec violence semble-t-il (vases de la manufacture de Sèvres en porcelaine et monture en bronze doré, objets d’art de très grande valeur artistique et historique).
Les dégâts sont estimés à trois millions d’euros, compte tenu de la grande valeur patrimoniale de ce mobilier d’art et du coût de la restauration pour ce qui est réparable. Les débris ont été soigneusement récupérés pendant que les aides de camp réunissaient les papiers confidentiels éparpillés sur le tapis ; de nouveaux objets ont été livrés pour remplacer ceux brisés ou mutilés.
Gros émoi donc à l’Élysée, mais une seule question demeure : qui paye ? Quand un type se dispute avec sa régulière ou sa copine et que les deux protagonistes en viennent à casser la vaisselle et plus si mésentente très grande, ce sont les deux tourtereaux en rupture d’affection qui payent avec leurs deniers sous les bris et dégâts. Mais dans ce cas, ce sera facturé aux contribuables (pour ce qui est réparable, le reste étant du patrimoine perdu définitivement). De quel droit Hollande et sa mégère règlent-ils leurs comptes avec le patrimoine de la France (car jamais la facture ne sera présentée aux deux misérables) ?
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Monsieur le Président,
RépondreSupprimerJe peux comprendre qu'une rupture puisse être sportive et déclencher un tsunami ménager.
Je peux comprendre que vous ayez deux maîtresses, une à l'Elysée, l'autre dans le voisinage... c'est plus pratique, il y va de votre sécurité. Quoique..
Je vous assure que je peux raisonnablement le comprendre. Et puis, très franchement, je m'en moque !
Mais... hé oui nous arrivons au "mais", de là à ce que vous cassiez MON mobilier, MES vases de Sèvres, que vous esquintiez avec Madame ex -que vous le vouliez ou pas vous êtes co-responsable, il ne manquerait plus que vous passiez pour une victime !- plus les cheminées et autres structures architecturales.. NON !!!
Trois millions d'euros dit-on, si cela est avéré, mon p'tit doigt me dit que c'est bien possible, vous nous les devez.
Vous êtes chez Moi, dans MON palais de l'Elysée. Grâce à Mes impôts; Au fait, je suis tondu, inutile de repasser la sébile.
Comme disent les Créoles :
""Ka sa yé misyé bobo, fo pa'w kon-prann bibi sé on kouyon." Je vous traduis, cela vous sera utile lorsque vous jouerez les rockers dans une résidence antillaise... qui sait une retraite au soleil ? : "Hé ben Monsieur bobo, ne prends pas bibi pour un couillon !"
Il ne s'agit pas de la vaisselle de mamie ou du téléviseur avec le taureau en plastique, souvenir d'Espagne, sur le dessus et de la photo des moutards... non. A ce niveau de la hiérarchie, l'explosion est grand luxe, on casse de l'historique, comme on casse l'Histoire de France dans les écoles.
Je vous propose quelques casseroles encore en ma possession, elles ne sont pas neuves mais sont parfaites pour le lancé rageur. En vous les attachant à l'endroit que vous choisirez, nous vous entendrons venir...
A moins que nous venions devant l'Elysée avec nos casseroles.
Monsieur le Président, veuillez prendre dans la face, mes non salutations.
Edouard
vont être content les contribuables de savoir ou part leur fric ; 8 millions d'euros par an pour la sécurité de monsieur , 3 millions d'euros parce que sa femelle a piqué une crise , sans parler de ce qu'on ne sait pas.....quel gachis....
RépondreSupprimermarie
De véritables traîtres irresponsables, vivant au crochet du peuple.
RépondreSupprimer...Et dire que De Gaule voulait payer ses factures d'électricité!
Quelle décadence!
...Fier peuple français, qui courbe l'échine quand tes maîtres te crachent à la figure.
Haro sur la base.
Comme dirait Dieudo, çà nous coûte de l'oseille quand la femelle du Bonobo s'est mise en pétard parce qu'on lui a piqué ses bananes ( de toute façon, avec ces occupants là, çà pouvait QUE nous coûter des pépettes; trop de "normalité" sans doute?!!....
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