Nuit de cristal |
Depuis deux mois, de nombreux tags ornaient la façade du local, mais les choses se sont accélérées samedi dernier, puisque la porte a été fracturée et un bloc de béton projeté à travers les vitres. Le tout en marge d’une manifestation organisée par un « collectif fasciste "antifasciste" » qui appelait à manifester pour « montrer au Front national qu’il n’est pas le bienvenu à Brest La Rouge » (sic).
Le secrétaire départemental du Finistère du FN, Éric Dechamps, a annoncé le dépôt d’une plainte, la quatrième en un mois.
En juin dernier, 200 manifestants appartenant à la mouvante fasciste d’extrême gauche brestoise (CNT, SCALP, « autonomes », « anarchistes », « redskinheads », etc.) avaient pu défiler tranquillement dans les rues de Brest, armes blanches à la main – bâtons, tessons de bouteille, ceintures cloutées…) pour rendre un dernier hommage à Clément Méric, ce militant fasciste « antifa » brestois décédé après avoir reçu un mauvais coup alors qu’il « chassait » des militants d’extrême droite.
Toujours à Brest, en 2011 ces mêmes fascistes « antifas » avaient bien failli tuer un jeune couple, simplement parce qu’ils étaient soupçonnés, à tort, d’appartenir à « l’extrême droite ». Sans suites judiciaires.
À l’image de Rennes, où les agressions émanant de groupuscules clairement identifiés à l’extrême gauche fasciste se multiplient, il semblerait que des milices particulièrement violentes puissent agir en toute impunité sur Brest. « Ils ont pignon sur rue, ils fréquentent, les bars de la place Guérin », confie un sympathisant FN. « En juin, ils organisaient plusieurs fois dans la semaine des patrouilles à la recherche de personnes à agresser. À Saint-Renan, ils louent même une salle plusieurs fois dans l’année pour y organiser des concerts. » Certains policiers et gendarmes travaillant dans l’agglomération brestoise avouent « en avoir par-dessus là tête » des agissements de cette mouvance.
À quelques mois des élections municipales, la municipalité socialiste brestoise ne semble pas vouloir prendre la mesure de ces troubles répétés à l’ordre public et à la sécurité des habitants. De quoi donner du grain à moudre aux opposants à François Cuillandre … en plus de tous les autres dossiers déjà très chauds.
Source
Paul : gouvernement socialiste d’extrême droite aux abois, protège et manipule tous les paumés alcoolisés lâches et décérébrés en quête d'en découdre violemment avec n'importe qui. Leur guide : Herr Manouel Wallz.
Pauvres de nous ! Quand nous rendrons-nous compte que ces stupides affrontements servent les desseins de nos dirigeants ?
RépondreSupprimerDiviser, c'est régner...