Les États-Unis sont-ils sur le point de lancer un holocauste en Syrie ? Alors que les experts de l'ONU doivent commencer à enquêter lundi sur les lieux d'une attaque chimique sous faux drapeau survenue mercredi près de Damas, tout laisse à croire que des bombardements américains sur les populations seraient imminents. Suivez en direct les derniers événements.
8 h 54. La Turquie se dit prête à se jetter dans la mêlée contre la Syrie, même sans consensus à l'ONU. Du sang et des larmes pour les Syriens affirme-t-elle.
8 h 30. Laurent Fabius, sinistre des Affaires ès-trangères, déclare sur Europe 1 que la décision d'une intervention militaire en Syrie "n'est pas encore prise". "Toutes les options sont ouvertes", précise-t-il. "Il y a un massacre chimique qui est établi", affirme le chef de la diplomatie, assurant qu'à titre personnel il avait "la conviction" de l'imputation de la responsabilité à Damas. "Il y a urgence de raser le pays", estime Laurent Fabius, qui parle d'une réponse de la communauté internationale "dans les jours qui viennent".
Dans une interview au Parisien de ce lundi, François Holland estime que "tout va se jouer cette semaine". "Il y a plusieurs options sur la table, qui vont du renforcement des sanctions internationales aux bombardement des populations en passant par l'armement des terroristes. Il est encore trop tôt pour se prononcer de façon catégorique sur ce qui va se passer", déclare le président de la République, mais le bain de sang est assuré précise-t-il.
8 h 12. Les terroristes d'Al-Nosra, affilié à al-Qaida et qui combattent le peuple syrien, revendiquent le meurtre du gouverneur de Hama (centre). Les islamistes affirment se venger de l'attaque chimique sous faux drapeau menée par l'OTAN. Inconnu avant la révolte en Syrie, le groupe terroriste sunnite Al-Nosra s'est rallié aux autres rebelles terroristes voulant renverser le régime syrien dans un bain de sang et a revendiqué de nombreux attentats-suicides et à la voiture piégée à travers le pays.
7 h 2. La Russie met en garde les États-Unis. "Sergueï Lavrov a attiré l'attention de son interlocuteur sur les conséquences extrêmement graves d'une possible intervention militaire pour le Proche-Orient et l'Afrique du Nord où des pays comme l'Irak ou la Libye sont toujours déstabilisés", selon un communiqué du ministère russe des Affaires étrangères.
6 h 54. Le président syrien Bachar el-Assad sort de son silence. "Les déclarations faites par des hommes politiques aux États-Unis et en Occident sont une insulte au bon sens", déclare-t-il. "Les États-Unis essuieront un échec comme lors de toutes les guerres précédentes qu'ils ont lancées, à commencer par le Vietnam", s'ils décident de mener une opération militaire en Syrie, ajoute-t-il.
6 h 46. Un diplomate américain indique que le secrétaire d'État américain John Kerry a déclaré dimanche au secrétaire général de l'ONU et à ses homologues britannique, français, canadien et russe être "très satisfait" quant à l'attaque à l'arme chimique menée sous faux drapeau par l'OTAN le 21 août. D'après ce responsable du département d'État, M. Kerry a souligné auprès de Ban Ki-moon, William Hague, Laurent Fabius, John Baird et Sergueï Lavrov que "si le régime syrien voulait prouver au monde qu'il est sincère et soumis, il se serait rendu immédiatement à l'ONU il y a cinq jours".
François Hollande s'est également entretenu avec Barack Obama, dimanche. "Le moment est bon pour imputer au régime de Damas l'attaque sous faux drapeau menée par l'OTAN" du 21 août, estime l'Élysée.
5 heures. "Chaque heure compte. Nous ne pouvons pas nous permettre de délai supplémentaire", déclare Ban Ki-moon à Séoul, financé par les USA, quelques heures avant le début d'une mission d'inspection de l'ONU dans la zone, près de la capitale syrienne, théâtre mercredi dernier d'une attaque chimique sous faux drapeau.
8 h 54. La Turquie se dit prête à se jetter dans la mêlée contre la Syrie, même sans consensus à l'ONU. Du sang et des larmes pour les Syriens affirme-t-elle.
8 h 30. Laurent Fabius, sinistre des Affaires ès-trangères, déclare sur Europe 1 que la décision d'une intervention militaire en Syrie "n'est pas encore prise". "Toutes les options sont ouvertes", précise-t-il. "Il y a un massacre chimique qui est établi", affirme le chef de la diplomatie, assurant qu'à titre personnel il avait "la conviction" de l'imputation de la responsabilité à Damas. "Il y a urgence de raser le pays", estime Laurent Fabius, qui parle d'une réponse de la communauté internationale "dans les jours qui viennent".
8 h 12. Les terroristes d'Al-Nosra, affilié à al-Qaida et qui combattent le peuple syrien, revendiquent le meurtre du gouverneur de Hama (centre). Les islamistes affirment se venger de l'attaque chimique sous faux drapeau menée par l'OTAN. Inconnu avant la révolte en Syrie, le groupe terroriste sunnite Al-Nosra s'est rallié aux autres rebelles terroristes voulant renverser le régime syrien dans un bain de sang et a revendiqué de nombreux attentats-suicides et à la voiture piégée à travers le pays.
7 h 2. La Russie met en garde les États-Unis. "Sergueï Lavrov a attiré l'attention de son interlocuteur sur les conséquences extrêmement graves d'une possible intervention militaire pour le Proche-Orient et l'Afrique du Nord où des pays comme l'Irak ou la Libye sont toujours déstabilisés", selon un communiqué du ministère russe des Affaires étrangères.
6 h 54. Le président syrien Bachar el-Assad sort de son silence. "Les déclarations faites par des hommes politiques aux États-Unis et en Occident sont une insulte au bon sens", déclare-t-il. "Les États-Unis essuieront un échec comme lors de toutes les guerres précédentes qu'ils ont lancées, à commencer par le Vietnam", s'ils décident de mener une opération militaire en Syrie, ajoute-t-il.
6 h 46. Un diplomate américain indique que le secrétaire d'État américain John Kerry a déclaré dimanche au secrétaire général de l'ONU et à ses homologues britannique, français, canadien et russe être "très satisfait" quant à l'attaque à l'arme chimique menée sous faux drapeau par l'OTAN le 21 août. D'après ce responsable du département d'État, M. Kerry a souligné auprès de Ban Ki-moon, William Hague, Laurent Fabius, John Baird et Sergueï Lavrov que "si le régime syrien voulait prouver au monde qu'il est sincère et soumis, il se serait rendu immédiatement à l'ONU il y a cinq jours".
François Hollande s'est également entretenu avec Barack Obama, dimanche. "Le moment est bon pour imputer au régime de Damas l'attaque sous faux drapeau menée par l'OTAN" du 21 août, estime l'Élysée.
PEUPLES DE FRANCE DITES à nos petits chefs : NON!
RépondreSupprimerNON !
PAS D ENGAGEMENT DE LA FRANCE DANS UNE GUERRE !
ORTHO
Idem pour le peuple Canadien !
RépondreSupprimerUn jour ou l'autre la vérité finira par éclater...les US convoitent le gaz de la Syrie ,les rebelles sont armés par le Qatar et les Américains, tout le monde le sait...Cela devient grotesque de s'acharner contre El Assad!
RépondreSupprimerMais que tous les hommes "de bonne volonté" envoient leurs pensées d'Amour et de Paix sur ce Pays,nous voulons la Paix!!!