Le sociologue américain Mark Regnerus a publié un article dans le journal américain « Social Science Research, intitulé « How different are the adult children of parents who have same-sex relationships? Findings from the New Family Structures Study » (A quel point les enfants devenus adultes de parents ayant eu une relation homosexuelle sont-ils différents ? Résultats de l’Étude sur les nouvelles structures familiales), qui dresse la bilan de la longue étude qu’il a menée sur 2988 personnes interrogées.
Les résultats de cette étude du chercheur universitaire sont surprenants. Ils ont été repris dans le site d’information américain Slate. Selon cette étude, les enfants élevés dans leurs familles biologiques disposent d’un meilleur niveau d’études, d’une meilleure santé mentale et physique, ils consomment moins de drogue, se tiennent plus éloignés des activités criminelles et se considèrent plus heureux que les enfants élevés par un couple homosexuel.
A l’inverse, les enfants issus de familles homoparentales, et en particulier de couples lesbiens sont bien plus sujets aux dépressions, il ont plus de problèmes physiques, il consomment plus de marijuana et ont plus de chance d’être au chômage (69% des enfants issus de familles homoparentales vivent des prestations sociales contre 17% pour les enfants de couples hétéros). Surtout, contrairement aux théories de Jean-Michel Aphatie et de Caroline Fourest, selon lesquelles les hétérosexuels sont de violents alcooliques qui frappent leurs enfants et en abusent, les enfants de couple lesbiens seraient en moyenne 10 fois plus victimes d’attouchements sexuels que dans les familles « hétéro-parentales » (23% contre 2% de moyenne).
Aux États-Unis, le lobby gay a été choqué par cette étude et l’a dénoncée si violemment (appuyé par des journalistes progressistes) qu’un mouvement de scientifiques s’est créé pour soutenir ces travaux et leur sérieux méthodologique.
Il est étonnant de constater que cette étude n’a jamais été évoquée par le moindre journaliste, en France, alors que nous sommes censés être en plein débat sur l’homoparentalité. Les journalistes préfèrent suivre les socialistes dans leur chasse aux « dérapages » homophobes plutôt que de s’interroger sur le fond du sujet et sur les dangers d’une telle loi.
Il est clair que les études sociologiques peuvent être controversées, mais pourquoi nous cacher celle là, alors que tous les défenseurs du mariage pour tous les homos, sans jamais rien citer, disent, l’air sûrs d’eux, que les premières études prouvent qu’il n’y a pas de différence éducative entre l’homoparentalité et la parenté « classique » ? Pourquoi personne ne parle tout haut de cet élément qui pourra certes être débattu mais qui ne peut qu’apporter des faits nouveaux aux discussions.
Qu’on montre toute les études et chacun se fera son idée, pourquoi laisser Caroline Fourest nous expliquer que les enfants de couples homosexuels sont en pleine forme sans mettre en doute cette vérité énoncée qui ne coule pourtant pas de sens ?
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Source
Certains journaux l'ont évoqué comme le nouvelle obs, pour le dénoncer.
RépondreSupprimerL'audience préférentielle accordée aux gays et lesbiennes en tant que minorité souffrant d'inégalité, rend inaudible toutes critiques, au prétexte d'homophobie.
Edouard
C’est le mélange des genres, ou l’indifférenciation comme mode de représentation culturelle, unisexe,unipôle, le un.. qu’on retrouve dans nombre de canalisations new-âgeuses, l’ombre d’huxley et d’Orwell se profilent, je pense que les gens, enfin ceux qui s’aperçoivent qu’on veut leur faire passer une pilule, qu’ils trouvent passablement amère pour ne pas dire indigeste se rendent compte qu’on les forçent à se soumettre à un Diktat, à une idéologie qui choque ,il y a comme un malaise, ce glissement vers une société totalement dépolarisée est en fait l’antichambre d’un monde dépouillant l’être humain de son identité, c’est le prélude à une mise en « robotisation » de l’humanité, une robotisation que nombre d’entre nous perçevons et qui pour ma part représente une dévastation de notre espèce, à ce stade on est en droit de se demander, mais qui est derrière tout cela, il faut être mû, soit par un total aveuglement ou inhumanité pour ne pas s’aperçevoir de la pente dans laquelle nous sommes engagés, et tout ceci se passe sous nos yeux, il faudra bien que quelque « chose » arrive pour rompre ce « maléfice » ce cauchemar dans lequel on veut nous faire entrer....
RépondreSupprimerT'es pas loin d'avoir tout compris, pas loin, ou peut-être déjà arrivé ?
SupprimerC'est le un, mais le un à l'envers, à contre-sens.
Le monde que tu décris, c'est l'Enfer.
Et notre espèce, pas l'essentiel.
Qui est derrière ? Bonne question.
Quelque "chose", à quoi tu penses ?
Merci.
J'ai été entraineur de football récréatif et élite (on dit soccer au Québec) pendant environ 10 ans dans ma ville et je peux vous assurez que pour une personne attentive au détails on remarque assez rapidement quels enfants viennent de famille normale et ceux dont les parents sont soient divorcés ou de couples homosexuels.
RépondreSupprimerDans la catégorie des divorcés qui vivent avec leur mère uniquement, on remarque que ces jeunes ont des réactions féminines face à des contraintes. L'absence de modèle masculin fait en sorte que ces enfants ne savent pas réagir comme le ferais un homme. Dans le cas de couple lesbiens c'est encore plus prononcé car l'enfant tend même à adopté des postures féminines et sont souvent incapable d'interéagir normalement avec leurs pairs masculin. Je n'oserais pas généralisé mes observations à tous les cas , je ne suis pas un spécialiste en psychologie mais cela vient de mon expérience de vie sur le terrain de foot.
Mon commentaire n'a pas pour but de blesser qui que ce soit mais après 10 ans passé dans le sports, on voie la différence sur le terrain. Quoi qu'on en dise l'équilibre normale de l'enfant dans son identification personnelle et ses relations avec autrui est beaucoup plus équilibré quand ses parents sont un homme et femme . . . Une vrai famille à l'ancienne quoi !
D'un vieux entraineur à la retraite qui a fait de son mieux pour aider ces jeunes en détresse.
Entièrement d'accord avec toi,anonyme 17 22;il nous reste à décrypter quelle est cette force qui veut mettre en place la déshumanisation perfide et la mettre à nu!La Loba
RépondreSupprimerIl semble qu'un conflit d'intérêt existe chez ceux qui mettent en avant cette étude : « ...le coût de l'étude a été couvert par le Witherspoon Institute, dont l'un des buts numéro 1 est ... de combattre le mariage homosexuel et la Bradley Foundation, qui se voue à la défense des valeurs conservatrices... »
RépondreSupprimerSource : http://tom-goldschmidt.blogspot.fr/2013/02/homoparentalite-une-etude-pas-censuree.html