« les morts massives d'animaux marins : est-ce qu'une des raisons ne pourrait-elle pas être l'absorption par les poissons et/ou mammifères des déchets de nos continents flottants (plastiques, toxines, BPC... j'en passe ? »
Ce que tu dis est évident et nous avons là une liste de causes possible et de celles-ci, une cause majeure et globale, car la fréquence est très importante. Ça n’était jamais arrivé avant 2004 et depuis, il y en a eu près d’un millier de cas rapportés. Globale, car depuis les évènements avec les abeilles, ça arrive de partout. Tant pour la faune marine, terrestre ou aérienne. Les biologistes ne connaissent pas la cause des changements qu’ils constatent et ne peuvent qu’évoquer des possibilités soutenues par des preuves circonstancielles, qui incidemment nous ont toutes été fournies par les médias dans la dernière décade.
Les causes possibles sont de deux sortes.
Celles de bouleversements naturels, qui vont de pair avec les grands changements climatiques que nous vivons, et celles occasionnées par la bêtise humaine. Or les cas qui ne possèdent pas de preuves circonstancielles accolées, accusant autre chose que la bêtise humaine, ne sont simplement pas présentés dans les médias traditionnels, et il n’y a que celle anecdotique, dans lequel on montre le ventre ouvert d’un requin qui laisse tomber les sacs de plastiques dont il s’est nourri, qui fera la nouvelle à répétition. Ainsi, ils ne donnent pas la véritable mesure des causes, ni de la situation.
Ça ne se retrouve pas que chez les morts de masse, idem pour le climat, où j’ai pu constater que des sommités étaient écartées des médias, uniquement sur les causes prétendues. C’est ainsi qu’au moment des sommets climatiques par exemple, ce ne sont pas des scientifiques du climat qui expliquent leurs découvertes et leurs points de vue à la caméra populaire, mais des spécialistes en communication qui expriment un point de vue sur le sommet. Cette réalité des médias n’est pas vraie qu’au Québec, mais dans tous les pays de l’Ouest.
L’anecdotique est présenté comme une vérité absolue, s’il pointe l’humain comme responsable, et tout ce qui laisse une empreinte terrestre est maintenant coupable d’avoir vécu. Les radiations de Fukushima, les sacs de plastique, les émanations de pétrole du golfe du Mexique etc. L’éventail de causes nous a été fourni sur un plateau d’argent et tout ce qui en sort ne relève pas de la bonne pensée.
Ce que les anciens disaient, c’est que des causes célestes importantes se produisant à grands intervalles occasionnaient de telles choses. Il est surprenant de constater que de tels hommes des cavernes aient eu une opinion aussi détaillée et précise sur une telle question, mais il l’est encore plus de constater qu’elle n’est jamais, mais jamais évoquée nulle part comme une possibilité.
Source
Ce que tu dis est évident et nous avons là une liste de causes possible et de celles-ci, une cause majeure et globale, car la fréquence est très importante. Ça n’était jamais arrivé avant 2004 et depuis, il y en a eu près d’un millier de cas rapportés. Globale, car depuis les évènements avec les abeilles, ça arrive de partout. Tant pour la faune marine, terrestre ou aérienne. Les biologistes ne connaissent pas la cause des changements qu’ils constatent et ne peuvent qu’évoquer des possibilités soutenues par des preuves circonstancielles, qui incidemment nous ont toutes été fournies par les médias dans la dernière décade.
Les causes possibles sont de deux sortes.
Celles de bouleversements naturels, qui vont de pair avec les grands changements climatiques que nous vivons, et celles occasionnées par la bêtise humaine. Or les cas qui ne possèdent pas de preuves circonstancielles accolées, accusant autre chose que la bêtise humaine, ne sont simplement pas présentés dans les médias traditionnels, et il n’y a que celle anecdotique, dans lequel on montre le ventre ouvert d’un requin qui laisse tomber les sacs de plastiques dont il s’est nourri, qui fera la nouvelle à répétition. Ainsi, ils ne donnent pas la véritable mesure des causes, ni de la situation.
Ça ne se retrouve pas que chez les morts de masse, idem pour le climat, où j’ai pu constater que des sommités étaient écartées des médias, uniquement sur les causes prétendues. C’est ainsi qu’au moment des sommets climatiques par exemple, ce ne sont pas des scientifiques du climat qui expliquent leurs découvertes et leurs points de vue à la caméra populaire, mais des spécialistes en communication qui expriment un point de vue sur le sommet. Cette réalité des médias n’est pas vraie qu’au Québec, mais dans tous les pays de l’Ouest.
L’anecdotique est présenté comme une vérité absolue, s’il pointe l’humain comme responsable, et tout ce qui laisse une empreinte terrestre est maintenant coupable d’avoir vécu. Les radiations de Fukushima, les sacs de plastique, les émanations de pétrole du golfe du Mexique etc. L’éventail de causes nous a été fourni sur un plateau d’argent et tout ce qui en sort ne relève pas de la bonne pensée.
Ce que les anciens disaient, c’est que des causes célestes importantes se produisant à grands intervalles occasionnaient de telles choses. Il est surprenant de constater que de tels hommes des cavernes aient eu une opinion aussi détaillée et précise sur une telle question, mais il l’est encore plus de constater qu’elle n’est jamais, mais jamais évoquée nulle part comme une possibilité.
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C'est de la "canalisation", cela paraît assez pertinent cette fois mais la "culture générale" du "medium" ou de son "interlocuteur psy" est peut-être suffisante pour expliquer cela.
RépondreSupprimerQuoi de plus sensé que de supposer que dans les épisodes de mortalité d'animaux (sauvages et d'élevage d'ailleurs), il y a des causes liées à la bêtise humaine (ou à l'avidité des élites et du système marchand) et des causes liées aux changements globaux (fréquentiels, cosmiques, telluriques, climatiques...) ne serait-ce que parce que le système solaire se déplace dans la galaxie...
L'ami Pierrot